« C'est toi ou moi, l'un de nous est de trop! »

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 I will survive - Partie 1 (OS, évolution)

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Riku A. Nagel
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Riku A. Nagel
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Âge du personnage : 22 ans, née un 29 septembre
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MessageSujet: I will survive - Partie 1 (OS, évolution)   I will survive - Partie 1 (OS, évolution) EmptyLun 26 Juin 2017 - 22:33




I WILL SURVIVE - Part 1
évolution de NICKO


Spoiler:
« Allo, Leanne ? »

Le jeune homme qui ne m’a pas lâché d’une semelle depuis que je l’ai pris par le bras, sous la tente du théâtre des évènements récents semble au bout du rouleau. Quelques temps après que Weston et Brooke nous aient laissé après que la jeune femme mal en point se fut calmée, il a filé appeler sa sœur, qui est à Amanil. Il commence à se faire un peu tard, avec tout ça. J’entends d’ici la voix de la sœur en question s’agiter à l’autre bout du fil. Elle doit avoir vu les nouvelles, et devait flipper depuis chez elle. Au moins, ils sont une famille unie. Pas que la mienne ne le soit pas, mais on ne vit plus ensembles, et on a toujours été un peu à la masse, pour prendre des nouvelles. Néanmoins, tout cela me rappelle qu’ils me manquent, et que notre vie à trois, avec Liza et Klaus, me manque, bien que nous soyons trois hystériques qui se prennent tout le temps le chou. Ces derniers temps, et aujourd’hui plus que jamais, j’ai l’envie de retourner en Angleterre, de me reposer. Pendant que le petit gars (même s’il doit être plus âgé, je l’appelle comme ça, ouaip, pour une fois qu’un gars fait ma taille de naine) téléphone, je me suis assise sur les marches de l’entrée de mon appartement, en et je tire sur une cigarette. Les événements des dernières heures passent et repassent dans mon esprit, et plus j’y pense, plus je mesure qu’ils ne m’ont pas mise bien du tout. Je tente de calmer mon anxiété grandissante seule, comme une grande, peu disposée à me pendre au téléphone alors que je serais paniquée ou en pleurs. N’importe qui aura assisté à ce qui s’est passé tout à l’heure aura compris que la situation va recommencer à s’envenimer. Je n’ai jamais fait confiance aux Résistants ni à aucune forme de combat politique, à vrai dire, mais là, je crois que je vais définitivement arrêter les frais. Appelez ça de la lâcheté, mais il n’y a pas grand-chose qui me retient ici, dans la manière dont je vois actuellement les choses. Bon, c’est encore à chaud, tout ça, si ça se trouve, je me réveillerais demain matin en mode « on s’en bat les couiiiilles », et ce sera reparti pour un tour.

« V’z’allez bien ? »
« Hein ?! »


Je sursaute, alors que la voix nerveuse de mon camarade de galère se manifester dans mon dos. Le binoclard semble encore bouleversé par les ce qu'il s'est passé aux portes de la ville, et à du remarquer mon trouble. Pas compliqué en un sens, quand je suis contrariée, ça se lit sur mon visage. C’est de famille, la transparence. Sauf chez un certain blond extrêmement doué pour jouer la comédie et t’envoyer les pires mensonges dans la face sans même sourciller. Merde, j’avais pas besoin de penser à lui maintenant. Bref, je me retourne vers l’autre et l’invite à s’asseoir à mes côtés, sur les marches. J’ai besoin de compagnie, là, je le sens. D’ici, on a une vue sur les projecteurs de l’amphi, les cintres, c’est assez sympa. Non loin de là Kalafina, ma Cryptéro, se repose sur les perches, dégageant une aura apaisante.

« Pour être franche, ça va pas super bien, m’enfin, j’vais chiller. »
« C’vraiment g-gentil de m’laisser m’abriter chez vous le temps que j'appelle et que je me calme.. Merci, vraiment. »
« Ah, bah, pas d’soucis. Toute manière j’me sentais pas trop de rester toute seule après ce qui s’est passé.. Dis-toi que tu m’rends aussi service, héhé ! »


Je lui envoie un sourire sincèrement reconnaissant. L’autre qui bégaie n’a pas l’air très à l’aise, et surtout peu habitué à ce genre de sincérité. Je pensais que son débit de parole et ses quelques désagréments d’élocution étaient particuliers avec son stress de tout à l’heure, mais visiblement, il les a tout le temps. Bah. Du moment qu’on peut causer tranquilles. Je lui tends une cigarette que j’avais roulée au cas où, mais il refuse en secouant fébrilement la tête. Je sais que l’habit fait pas le moine, mais c’est clair qu’avec son look de parfait étudiant modèle major de sa promo, ses petites lunettes et ses rouflaquettes, ça ne doit pas trop être son genre de cloper… Quoique, les chercheurs, ça fume vachement non.. ? Oh. Non, ils sont tous à la vaporette, c’est vrai.

« Ahah ! En eff-effet m-mais j’sais pas si j’suis de t-très bonne compagnie ! »
« Dans c’cas, on est deux. M’enfin, bref, j’sais même pas comment tu t’appelles. »
« Moi c’Mell. Mell Straum. »
« Riku Nagel. Enchantée, Mell. »
Il a un drôle de nom, quand même. Je lui serre la main. « Alors, t’es d’Amanil ? Ils t’ont vraiment fait venir de là-bas ? »
« Bah.. ou-oui. J’voulais pas v’nir. J’savais que ça allait pas bien tourner. C’toujours comme ça. »

Je ne peux pas le contredire. Enfin, j’en sais certainement moins que lui, s’il est né ici, et a vraiment assisté à tout ce que le Régime a pu faire depuis le début. Mais bon, certainement a-t-il envie de parler d’autre chose, pour le moment. Après quelques secondes de silence j’écrase ma clope qui commençait à lui envoyer de la fumée dans la figure (et je n’ai pas l’impression que ça lui plaisait).

« Et tu fais quoi, là-bas, dans la vie, à Amanil ? »

Il me répond et commence à me raconter, sa passion pour les sciences et les Pokésciences, ses projets de recherche sur les capacités d’apprentissage des Pokémon, sa volonté de diriger un Centre un jour en faisant valoir ses expertises internationalement. Je ne connais absolument pas tout ça, et l’écouter me change les idées. Je lui donne donc toute mon attention, et lui demande plus de détails. En plus, j’ai l’impression que quand il parle de ses études, il est lui aussi plus à l’aise, en tout cas, il bégaye moins.

« Et v-vous, Mamzelle Nagel.. ? »


Sur le coup, j’ai gloussé, c’est plutôt bon signe. Bordel, ça fait des lustres qu’on ne m’a pas appelée ainsi.

« Eh, tu peux m’tutoyer et appeler « Riku » ! J’suis plus jeune que toi ! »
« Mais, euh… »
« Aller, c’est cool ! »
Je me remémore sa question, histoire de passer à autre chose. « Bah, t’as dû comprendre que je suis championne coordinatrice ici. La gloire, le luxe, tout ça, quoi… »
« .. M-mais pourtant votr—ton appart, l’est t-tout petit ! »


Hein, il ne m’a pas prise au sérieux, quand même ? Je souris de nouveau. L’est rafraîchissant, mon nouveau pote le nabot. Je glousse devant sa candeur avant de reprendre.

« Eh, je déconne, hein, je fais pas ça pour le succès ou la thune ! »

Ce serait hypocrite d’avancer que ma situation n’est pas enviable ou bien pratique, et que j’aurais bien tord de l’abandonner, m’enfin. Au moins, ce n’est pas avec cette thune que j’aurais des choix limités dans ma première destination. Meh, faut vraiment que j’arrête de penser à cette histoire de départ, je ne peux juste pas décider sur un coup de tête, même si j’aimerais bien. Il y a un an, sans boulot, j’aurais été plus libre, mais là, il va y avoir des trucs à régler avec la compétition.. Et je ne peux pas partir non plus sans dire au revoir à certaines personnes. Ce n’est pas le moment d’y penser de toute manière, je n’ai pas le recul pour ne pas me prendre la tête, actuellement. Je ferais mieux de relancer la conversation.

« Ça allait, ta sœur, au fait ?
« Euh-Euh.. Ouais.. Elle avait vu les infos, et elle était inquiète. »
Je crois qu’il a souri un peu tristement. « Ça faisait vraiment longtemps que j’l’avais pas s-sentie si paniquée. En f-fait, ça f’sait pas mal d’années qu’on se parlait pu aussi s-sincèrement… T-tout ça à cause de la guerre. »

Tiens, lui aussi a une sœur qui a tendance à se la jouer un peu, car elle a du mal à montrer qu’elle tient à ses proches ? Ça me rappelle un peu Liza, sous certains aspects. Enfin, tout ça à cause de la guerre ? Est-ce que la guerre les aurait séparés, d’une manière ou d’une autre, ou créé entre eux des divergences d’idéaux ? L’idée n’est pas de savoir dans quel camp ils préfèrent se battre : je m’en moque bien, de tout ça. En tout cas, j’ai l’impression que les événements d’aujourd’hui ont déclenché ou ranimé quelque chose entre Mell et sa sœur.

« Ah, j’vois. J’peux te demander des détails, ou c’est indiscret ? »

Il hausse les épaules. Il ne me connaît même pas, je comprendrais bien qu’il refuse de se confier à une quasi-inconnue sur ce genre de détails personnels. Ce n’est pas moi non plus qui irait balancer mes histoires de famille alambiquées, parce que je voudrais pas endormir mon audience.

« N-non, c’est pas… Y’a pas grand-chose à dire. Elle adhère à la Résistance, et m-moi, non. Ça a créé des s-sales histoires entre n-nous, on a vécu des t-trucs pas marrants qui nous ont éloignés et pis, Leanne peut pu marcher à cause de tout ça. »
« Ah, dur. »
« On s’en est sortis, mais c’pas facile tous les jours, y’a des trucs qui restent. M’enfin, j’crois qu’ma sœur a changé de perspective avec c’qui vient de s’passer. D’autant plus qu’j’y étais. »
« Bah, c’est normal, qu’elle s’inquiète pour toi. »


Il baisse les yeux vers ses pieds, après avoir forcé un sourire qui ne camoufla pas vraiment sa tristesse évidente. J’ai dit un truc qui fallait pas ? Hm, c’est vrai que ça doit pas être facile, tout ça. Mell finit par renifler, et se détourne, en cachant son visage derrière son bras. Oh, merde, j’aurais pas du demander trop de détails, il a l’air secoué. Puis s’il chiale je vais avoir envie de chialer aussi.

« J’pensais qu-qu’elle m’en voulait en-encore et… »

Oh, c’est dur, la famille, des fois, hein. Mais bon, c’est dans les moments durs de ce genre qu’ils se montrent les plus sincère, pour le meilleur et pour le pire, mais surtout pour le meilleur. En tout cas, de ce que Mell m’a raconté, ça a eu l’air plutôt positif. Mais le soulagement aussi, ça peut faire mal (oui je dis des choses très évidentes, ce soir). Je passe une main réconfortante dans le dos du chercheur, qui sursaute, ne semble pas trop habitué à ce genre de contacts. Je lui envoie un sourire rassurant, modérant moi-même mon envie de me mettre à chouiner. J’ai vraiment besoin d’appeler ma famille, moi aussi.

« Eh, ça va aller. D’ailleurs, si tu veux rentrer là-bas, je te prête le téléport de ma Cryptero. »
« M-Merci Riku. J’vais juste rester l’temps d’me calmer s-si ça t’dérange pas. »


Je secoue la tête. Il ne m’importune pas du tout. Mais c’est à moi de renifler, maintenant. Je sors mon portable de ma poche et me lève avant de tourner les talons.

« Faut aussi que j’appelle ma famille en Angleterre. J’te laisse deux minutes, j’reviens. »

Fis-je, en forçant à mon tour un sourire, pour ne pas me mettre à sangloter aussi. Je m’en vais donc dans ma chambre, et m’affaisse sur mon lit pour me laisser un peu pleurer, avant de composer le numéro de mon père adoptif. Je reste pendu au téléphone un bon quart d’heure, en écoutant la voix posée de Klaus, qui me calme presque instantanément. Alors que je me suis rassise sur le bord de mon lit, j’entends un cri venir de l’amphi. Ouhla, je crois que c’est Mell. J’espère qu’il s’est pas pris un projo sur la tête, ça arrive qu’il y en aient qui se décrochent. Je laisse donc mon paternel avec qui j’avais de toute manière fini, et file hors de mon appart. Je trouve Mell couvert de perches, et d'autres tiges sorties de coulisses, et en train de se faire enguirlander par un… Attends, j’ai un Nidoking depuis quand, moi ? Nicko, c’est mon Nicko ! Il a évolué ! Avant de le féliciter et de le calmer, je commence par sortir Mell de sous les perches, et se dernier se carapatte derrière moi. Ah, il avait l’air malin, comment a-t-il fait son compte ? Et comment un type aussi rasibus que lui peut faire autant de dégâts, à part en étant encore plus maladroit que mon tonton une fois bourré ?

« Il m’a fait p-peur, j’ai cru qu’il allait m’b-bouffer ! »

Le Nidoking fulmine, et pose croises ses pattes sur son « torse ». Je crois pas qu’il ait jamais aimé passer pour le bourrin de service.. Bah, oui, l’est tout gentil, le Nicko, vraiment, une bête adorable, et pas franchement bagarreuse, pour son espèce. Dans tous les cas, j’explose de rire.

« Pfff ! Nicko, bouffer quelqu’un ?! Tu rêves, mon gars, tu trouveras pas plus gentil. »

Le gros Pokémon poison acquiesce, en faisait la tête au chercheur, qui sort de derrière mon dos, pour aller observer Nicko de plus près.

« M-mais j’ai toujours lu partout que les Nidoking étaient très bagarreurs, et dangereux, m-même domestiqués. » Le concerné râle et se vexe de plus belle. « Ah ! P-Pardon m’sieur Nidoking !! »

Il est drôle, décidément, le rasibus à lunettes.

« Eh ben, on dirait que pour un chercheur, tu manques d’expérience du terrain, mon p’tit Mell ! »
« Ehhh ! J’suis pas si- p-p’tit !! Et puis euh… B-bah, j’ai p-pas d’argent, j-j’peux pas me balader qu-quand j’veux p-partout, m-moi ! »


Fit-il, embarrassé, en avouant qu’il manque effectivement de pratique dans ses expertises. Alors que je m’en fais féliciter Nicko par un gros câlin, ce dernier semble pardonner son « affront » à Mell, il me vient une idée.

« Bah, t’auras qu’à venir avec moi la prochaine fois que j’sors me balader à la campagne. Un téléport, et zou ! »
« Qu-quoi ? M-mais.. ! T-t’es pas obligé d’me prendre en pi-pitié ! Puis tu m'connais à peine, pourquoi tu f'rais ça ? »
« Meuh non. J’avais prévu de faire un petit tour de l’île, de toute façon. Puis, après avoir passé quelques heures à flipper ensembles à a parler de nos névroses, on est plus tellement des inconnus. »
Il n'a pas l'air de savoir comment me donner tord. « C’est plus marrant entre potes. J’te préviendrais, si tu m’files ton numéro ! »

Le chercheur me regarda bouche-bée. Quoi, c’est la première fois que quelqu’un lui propose son numéro pour garder le contact, ou quoi ? Héhé, il est marrant ! Mais je ne vais pas m’amuser à ses dépens plus longtemps. Après tout, ce tour de l’île, ce sera ma façon de lui dire au revoir, je pense. J’aurais plusieurs personnes à qui dire « beubye », pendant ce petit voyage que j’entamerais bientôt. Je me laisse le choix de changer d’avis en cours de route, mais je crois que le coup de fil de Klaus m’a un peu décidée. Dans tous les cas, même si ce n'est pas pour quitter Enola une bonne fois pour toute, j'ai besoin de retourner me ressourcer « à la maison ». Une petite demi-heure plus tard, après qu’on ait pu causer encore un peu, Mell repartit grâce au téléport de Kalafina vers Amanil. Je lui ait souhaité de prendre bien soin de sa famille, et de tenir bon jusqu’à ce que ce merdier se termine. De mon côté, j’ai pas mal à penser, mûrir mes idées de départ, afin de ne pas risquer de prendre une décision que je regretterais trop rapidement. J’ai du temps devant moi, mais je préfère ne pas trop attendre, au cas où la situation viendrait à empirer…

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