I've got nothing left to live for
Got no reason yet to die

Je suis debout au millieu d'une grande salle. Mes poignets sont attaché avec une corde et accroché a deux poutre en bois dans une salle complettement vide dont les murs sont fait de béton tout comme le sol et le plafond. J'ai mal. Horriblement mal. Une douleur inhumaine traverse tout mon corps. A croire que je brûle de l'interrieure.
Je sais que tout ceci n'est qu'un rêve. Je sais que ce n'est qu'une hallucination éphémère. Et pourtant la douleur est bien là. Elle me brûle, mon corps brûle de mille feu. Mais je ne me réveille pas. Pourtant je donnerais n'importe quoi pour me retrouver dans mon lit, enfouilli au fond de mes draps.
Enfait non ce n'est pas un rêve. C'est bien plus que ça. C'est un fragement de ma mémoire perdue. Un souvenir de mon passé. Ce passé que j'ai oublié, qui d'après mes parents devrais être rempli de souvenirs heureux. Mais ils me mentent je le sais. Ce n'est pas le premier souvenir d'antant qui me revient. Et ce ne serra pas le dernier. Et a chaque fois qu'ils me reviennent, ces fragements, je me rend compte a quel point ma vie est un mensonge. Mes parents me cachent quelque chose. Mais quoi?
Le claquement d'une porte retentit et un homme en costard blanc apparait dans mon champ de vision. C'est bizarre car je ne peux pas contrôler mes pensées. Ni mes actes. Car tout ceci n'est qu'un souvenir, une partie de ma vie qui s'est déjà passé.
L'homme, un asiatique, se raproche de moi en rajustant sa cravate grise. Il s'avance d'un pas assuré et reste planté devant moi. Il sors une petite machine, pas plus grande qu'un simple dé et la tend dans ma direction. Je le regarde a travers les mèches de cheveux qui me tombent devant le visage. Mes cheveux sont collé pars la transpiration et mon coeur s'emballe pars la peur. Je regarde le petit dé gris qui s'ouvre et grossi lentement. Deux bras se forment sur ses cotés. Les bras se raproche de ma poitrine nue et alors que l'un se colle la ou devrais être mon coeur l'autre entoure mon bras gauche. L'homme regarde des chiffres qui s'affiche sur un petit écran sur le dos du dé puis semble réfléchire.

- Hmmmm. Bizarre. La préssion de ton sang est tout a fait normal. Alors que ton coeur bats bien trop vite. Je sais qu'une partie c'est a cause de ta peur. Mais même. Tu devrais être morte!

Il range sa machine puis sors une seringe de son autre poche. Un liquide argenté y repose a l'interrieure.

- Bon, nous allons avoir des invité ce soir et j'aimerais bien leur montré ma création. Alors je vais devoir te piqué.

La peur que ressent mon autre moi est inhumain. Elle est si présente, si dévastatrice que j'ai l'impression que je vais mourire. Mourire de peur, litteralement.
L'asiatique plante la seringue dans ma jambe gauche puis la jette au sol et se retourne pour partire.

- Ah et encore une chose! Essaye de te comporté comme il le faut sinon...!

Il s'empresse de quitter la salle. Au même moment ou la porte claque derrière lui je ressent une douleur tellement brûlante que je me perds dans les ténèbres.

When I'm standing in the fire
I will look him in the eye
And I will let the devil know that
I was brave enough to die

Je me réveille en hurlant. Hurlant d'une terreure tellement profonde qu'elle m'arrache le coeur. La douleur n'est plus là mais je ressent les ravage qu'elle a causé sur mon coeur. Je me recroqueville et tremble de tout mon corps, transpirant pars tout les pores.
Après mettre plus au moin calmé je me rend compte que je ne suis pas dans ma chambre. Non, je suis au millieu de la forêt d'erode en pleine nuit. Comment suis je venu jusqu'ici?
Je me relève et m'adosse contre un mur. Le silence devient pesant. J'ai peur de bouger. De faire le moindre mouvement. Alors je reste ici, assise dans le noir toute seule.
Je n'arrive plus a me retenire. Je commence d'abord a sanglotter, sanglot qui en peu de temps se transforme en des pleurs de déséspoire et de peur.

When your dreams all fail
And the ones we hail
Are the worst of all
And the blood’s run stale♫

A travers le bruit de mes sanglots je peux entendre des bruits de pas. Pourtant ils sont d'une telle puissance que ça me donne l'impression que le sol tremble. Je me recoroqueville encore plus sur moi même, m'imaginant voir un monstre sortire des fourrées. Et ce ne fut pas que mon imagination. Ce fut réellement un monstre qui apparut devant moi, me regardant de ses deux mètres et demi. Je crois appercevoir quelque chose en haut sur son dos, ou plus top quelqu'un.
Une jeune homme glisse le long du dos de l'imposant animal et marche dans ma direction. Je regarde le jeune homme sous les rayons de la lune. Il est grand, blond avec un bandeau pourpre qui cache ses yeux. Bizarre, comment peut il voir comme ça?
Le jeune homme d'une vigntaine d'année se raproche de moi. Je me suis arrété de pleurer et le regarde se raprocher de moi avec surprise et m'éffiance. Il se met a genoux a mes cotés et me demande comme je vais. Il me dit qu'il s'appelle Tek et il me présente ses pokémons. Le premier est un Kaiminus qui s'appelle Dimrost. Et le deuxième s'appelle Rex. Pourtant un pokémon comme lui je n'en ai jamais vu. Peut être a la télé mais il y a longtemps de cela. Il est imposant avec une carrure intimidante et pourtant celui là a l'aire de ressembler plus a un gros toutou qu'a un roi des prédateurs.
Le pokémon, surement un Rexilius que je connais des histoirs, se couche derrière son dresseur comme un chien sage avec une lueur dans les yeux qui me donne presque l'envie de le carresser. Toute peur envers le pokémon s'est envolé.
Tek me dit qu'il est le champion de Zazambe... Mais bien sûr! Tek Halestorme, le maitre de la beauté aveugle. Il est champion coordinateur alors qu'il est en fait aveugle. Je me rapelle de lui, je l'ai vu bien souvant a la télé et j'en ai entendu parlé.
Je rougis en me rendant compte que je fait face a une célébrité d'Enola. Surtout qu'il est mon idole, comme Althéa. Un jours j'aimerais devenire championne coordinatrice comme eux!
Il me demande ce que je fais ici en pleine nuit dans la foret... Le pire c'est que je ne le sais même pas moi...
Je le regarde et tout de suite je sais que je peu avoir confiance en lui. Il a juste cette aire sur le visage, ce petit quelque chose qui me souffle que je peu me confier. Pars contre le fait qu'il me vousvoye me déconcentre un peu.

I want to hide the truth
But with the beast inside
There’s nowhere we can hide♫

J'ouvre la bouche balbutie:

- Je...Je sais p-pas.

Je ressent ce flot de peur m'envaillire ainsi qu'un déséspoire sans fin. Ce sentiment d'impuissance qui me dévaste et qui m'enace de m'engloutire. Je vais me noier, je sais. Ce n'est qu'une question de temps.
Est ce qu'il vas me prendre pour une folle? Je veux dire: Personne de normal ne marche plusieur kilomètre a pied en étant somnanbule.
Pourtant il faut que je le lui dise. Que je puisse enfin me confier a quelqu'un. Rendre ce point que j'ai sur le coeur un peu plus léger.

- Je me suis révéillé ici, je sais pas comment je suis venue jusque là.

Je fixe mes mains que je frotte avec nervosité. Je n'ose pas lever le regard pour le regarder. Trop timide et honteuse pour le faire.

- En tout... tout cas m-m-merci d'être venu, j'ai d-déja moin peur maintenant

Begayais je en murmurant. Je détourne le regard et me recroqueville un peu plus sur moi même.

Don’t get too close
It’s dark inside
It’s where my demons hide♫

Sa voix rassurante et en même temps pressante me fit frissonner. La question qu'il me posa attira mon attention. Pense il que quelqu'un m'aurrais...?
Je secoue la tête et me recroquiville encore plus sur moi même a cette idée forte déplesante. Il ne c'est rien passé, enfin pas que je sache. Je me souvient juste m'être endormie dans ma chambre comme d'habitude. Et apres ce cauchmars, non se souvenir horrible je me suis retrouvé ici. Dans cette Forêt qui ressemble a la Forêt d'Erode, qui pourtant et bien loin de chez moi. Alors comment je me suis retrouvée ici? Est ce que c'est possible que j'ai marché? Que j'ai été somnabule sur une telle distance?
Il interomps le court de mes pensées en me demandant si j'aimerais me confier. Je baisse le regard et fixe mes mains comme si elles étaient la chose la plus interressante de toute la terre. Je me sens horriblement gêné. Je dois avoir l'air de quoi? D'un gamine abendonnée et complettement folle?
Pourtant sa proposition me fait réfléchire. Bien sûr que j'aimerais me confier. J'en ai envie depuis un moment. Et c'est aussi pour ça que ma mère a pris rendez-vous chez cette Psy. Sauf qu'elle elle étais pas louche et en plus de manquer de tact elle ne m'inspirais pas confience. C'est la que j'ai commençé a douter de ma mère. C'est a ce moment la que je me suis rendue compte que peut être elle était derrière tout ça. Mon père avec elle. Mais maintenant reste la question... Pourquoi? Pourquoi m'avoir fais ça a moi, leur fille? Et pourquoi m'avoir effaçé la mémoire? A croire qu'ils voulaient cacher quelque chose.

Le jeune homme essaye de me rassurer, et pour tout dire il arrive plus top bien. Ce n'est pas seulement ces paroles qui me rassurent mais aussi son aura. Les trais de son visage, l'énèrgie qu'il dégage... Tout est rassurant. Je le connais depuis seulement quelque minute et j'ai déjà l'impression de le connaitre depuis des années. Il m'inspire confience plus que n'importe qui. La seule personne qui a réussi a gagner ma confience ces derniers temps c'est Julianne. Mais elle je la connais depuis plus longtemps et pas seulement depuis 5 minutes.
Il répette qu'il est près a m'écouter et qu'en plus il ne le dirais a personne. Si il est étudiant en Psycologie, est ce que le Secret Médical compte aussi pour lui?
Il m'offre un sourire doux et rassurant puis me demande mon nom.

- Je m'apelle Lana, Monsieur. Je viens d'Amanil et j'ai 16 ans. Je vais au Lycée comme tout les autres jeunes de mon age et je fait partie de la compétition d'Enola comme Coordinatrice. J'ai déjà réussi a attrapper une Nirondelle, une Lainergie, un Obalie, un Togetic et une Chlorobule... Dit comme ça tout est normal mais enfait.....

Je sais pas pourquoi mais les mots sortent tout seule de ma bouche. C'est a peine comme si je pouvais les freiner. Je rougis une nouvelle fois, il dois me prendre pour une folle. Les larmes brouillent une nouvelle fois ma vue. Je ne l'ai jamais dit a personne. Je n'ai jamais parlé de tout ces cauchmars que j'ai eu. Et de ce sentiment de certitude que ce sont des fragments de mon passé.
Il y a eu ce souvenir ou j'étais enfermée dans un cachot. Celui ou je fuiais dans la forêt. Celui ou les deux hommes on essayé de me tuer.... De tout ce que j'ai vu jusqu'au aujourd'hui celui de cette nuit été le pire. Car la douleur était réelle. J'avais mal, pour de vrai. Pourtant ça devrais être qu'un simple rêve, non?
Je m'aggripe au bras de Tek, comme on s'accroche a une bouet de sauvetage. Le monde tangue autour de mes yeux. J'ai froid et chaud tout a coup et l'aire commence a manquer. Mon coeur bats la chamade. Qu'est ce qu'il m'arrive? Ma vue se brouille. Ma tête tourne. Je vais tomber. Mais je suis déjà assise. Comment faire pour tomber?

- Me laissez pas, je vous empris

Je sens son bras m'échapper. Mon coeur bas tellement vite et fort que je suis sûr que toute la forêt dois l'entendre. Est ce que je fais une crise d'angoisse?

Il me prends dans ses bras. Je suis étonnée de son geste et pourtant... Les larmes montent dans mes yeux et je me laisse faire, pose ma tête sur l'épaule de l'inconnu et me laisse bercer pars le doux son de sa voix rassurante. Mes larmes salée tachent son ses vêtments et les rends légèrement plus fonçé. Je m'appuie contre lui, cherchant du réconfort. Je n'ai jamais été le genre de personne a faire confiance au premier venu. Mais Tek est différent. Il a ce quelque chose qui m'inspire confiance. Je me calme, lentement je sens ma réspiration reprendre son cours normal. Mon coeur ralentit mais les coups qu'ils me donne dans ma poitirne sont d'une telle puissance et irrégulier que ça me fait presque mal. Je continue de trembler et me love dans les bras de Tek, comme une soeur contre son frêre.
Je me laisse aller et ferme les yeux, chassant les dernières larmes. Il me dit quoi faire. J'inspire et expire comme il me le dit et pour finir je me calme totalement, même mon coeur reprend son cours normal. Il me parle. Je ne comprends pas tout a fait les paroles, je me concentre plus sur le son da sa voix. Pour la première fois depuis longtemps, trop longtemps, je me sens en sécurité.
Il me caressa la tête et me dit de venire chez lui ce soir. De toute manière ou est ce que je veux aller? A cette heures si la plus part des garres sont rempli de jeunes idiots. Je mourrais de peur avant même de réussir a monter dans un train. Ce qui me dérange c'est mes pokémons. Ils sont tous chez moi en train de dormire. Comment Nyvia vas réagire lors ce qu'elle vas voir que je ne suis plus la?
Il se lève, me forçant me lever avec lui. Son Rexilius se couche près de nous. Il tourne sa grosse tête brune dans notre direction attendant les ordres de son maitre. Un Kaiminus se raproche de nous. Il me regarde avec ses grand yeux et sa grande bouche ouverte rempli de petit crocs blanc.
Tek me demande de lui dire quand je suis prête. Je ne sais pas trop quoi dire. Je ne veux pas le déranger, paraitre malpolie. Apres tout c'est malpolie d'aller chez lui alors qu'il me connais a peine? Mais d'un autre coté c'est lui qui me la proposé. Puis je me rapelle ce que tout les enfants appreinent en enfantine. Ne jamais faire confiance a un inconnu. Je secoue la tête pour chasser cette idée. Tek n'est pas un inconnu. Tout le monde le connais, il est champion coordinateur.
Mon regard tombe sur l'énorme pokémon qui attends. Je tends la main pour carresser sa peau rugueuse. Je passe ma main dessus presque machinalement, un mouvement que je fais quand je suis incertaine ou simplement un mouvement qui me rassure. Sauf que c'est pas un Rexilius que je caresse mais une petite Nirondelle perché sur mon épaule. Je regarde Tek sans césser de carresser Rex.

- Je suis prête Monsieur. Mais pourquoi vous êtes aussi gentil avec moi?

La fatigue me gagne. Mes yeux deviennt lourd et commencent a me piquer. Voilà le prix a payer pour pleurer autant.

Ses paroles me firent écarquiller les yeux. Je le regarde avec tristesse. Je suis bien égoiste moi. Même si j'ai longtemps était seule j'ai toujours eu mes pokémons et en plus de ça j'ai rencontré Julianne. Elle manque parfois un peu de tacte mais en fait elle peut être très gentille et avec elle je peux oublier mes porblèmes. Elle m'enseigne ce que j'aimerais savoir et s'occupe toujours de moi. Et maintenant Tek est la lui aussi et j'esspère qu'il le restera. Lui il n'a eu personne. Oui je suis vraiment égoiste.
Je me sens honteuse tout a coup et baisse la tête pour fixé mes pieds nues, comme si ils étaient la chose la plus interessante que j'ai jamais vue. Je me tortille gêné alors qu'il grimpe sur son imposant pokémon. Le Rexilius vient de fléchire les genoux pour se coucher sur le ventre, permettant ainsi a son dresseur de l'éscalader. Il me demande de monter et tends une main vers moi. C'est a peine si j'ose le regarder. Je suis qui pour profiter ainsi de l'hospitalité d'un jeune homme?
Je ferme très fort les yeux, pour voir si tout ça n'est pas un rêve. Un autre rêve comme les autres. Pourtant les images reviennent. Des nouvelles s'ajoutent a la liste déjà longue que j'ai dressé. Mon amnésie est sur le point de se lever, je le sais, je le ressens. Ce n'est qu'une simple question de jours ou peut être même d'heures avant qu'elle ne mette les voils. Et a ce moment la qu'est ce que je vais faire? Il y a quelques jours a peine je voulais absolument découvire la vérité. Au point de me proposer comme assistante au pres de Julianne et donc d'entrer dans le Regime. Alors que je n'aime pas le Régime. Pas apres ce qu'il m'a fait. C'était il y a seulement quelques jours, lors de la compétition du premier janvier. C'était une manifique journée. Il y avait plein de coordinateur et de dresseur qui fesaient partie de la compétition. Même moi j'y ai participer, avec Fanfan ma Lainergie. Et au millieu de l'apres midi le Regime a fait exploser une bombe. Je me rapelle du Chaos comme si c'était hier. Des centaines de personnes courraient en hurlant. Des corps jongé le sol. Les soldats a l'uniforme blanche qui font leur apparition et tirent sur tout le monde. Je serais probablement morte si Julianne n'ahais pas raconté un mensonge au soldats, leurs fesant croire que je suis son assistente. Et c'est comme ça que j'ai eu l'idée. Mais maintenant je n'en suis plus ci sur.
Je rouvre les yeux et regarde la main de Tek. Je me hisse sur le pokémon. Un énorme coup de fatigue s'empare de moi au point que je ne contrôle plus mon corps. Je m'adosse contre Tek et ferme les yeux. La brûme de someille s'installe dans mon cerveau. Je sens comment je m'élève dans les aires, puis plus rien. Le trou noir. Et pour la première fois depuis un moment même pas les cauchmars viennent déranger mon someil.

Lors ce que je me reveilla je ne me rendis pas tout de suite compte de l'endroit ou je suis. Automatiquement je tatte sur le lit a la recherche d'un de mes pokémons. Mais mes mains ne touchent ni la douce laine de Fanfan, ni les plumes de Nyvia ou encore moi les pelage lisse de Clay, Kyla et Livana. Je me rends compte que quelque chose ne marche pas. Lors ce que mes yeux observent la chambre une peur soudaine d'empare de moi. Mais tout de suite je me calme. Je sais ou je suis. Ca doit être la résidance de Tek. Honteuse de dormire dans son lit et surtout gêné je me lève. Je baille a m'en décrocher la mâchoir puis sors de la chambre. Dans le salon plusieur pokémon s'y trouve, ainsi que couché sur un canapé, Tek. Je regarde avec émerveillement la Mysdibule. J'ai toujours beaucoup aimé ce pokémon. Les Mysdibules ont se petit quelques chose en eux qui me fait sourire. Puis je vois l'Obalie qui roule vers moi comme pour me saluer et mon coeur ce serre. Clay me manque...
Tek arrive, il dois m'avoir entendu. Il me demande si j'ai bien dormis. Je hoche la tête alors qu'il me présente ses pokémon. Le Tranchodon se nomme Othar, l'Obalie Nennival et la Mysdibulle Mormegirle. Une voiture vas venire me chercher d'apres lui. Je retient un soupire et me contente de lui sourire.
Une voiture viens nous cherchez. Je m'assied sur la banquette arrière et m'adosse contre la portière pour voir le monde deéfiler devant moi. Les arbres, les plaines, les pokémons et leur dresseur. Tout ces personnes que je ne connais pas mais que je croise pour seulement une demi seconde. Pourtant ils ne savent pas que je les ai vu et dans quelque minute je les aurais oublié et plus jamais je ne me rapellerais de leur visage.
Pendant le voyage personne ne dit un mot, je reste silencieuse en me demandant comment mes pokémons aurais pu réagire lors qu'ils ont remarqué que je ne suis plus avec eux.
Lors ce que nous arrivons enfin chez moi, une petite maison de famille au millieu d'une rangé de maison identique avec exactement le même jardin et la même cloture blanche, je sors en remerciant l'homme qui nous y a conduit. Je m'attarde un peu et remerciant beaucoup Tek. Je suis ce genre de fille qui ne peu jamais remercier asser une personne. Je lui souris.

- Je vous dois quelque chose Monsieur. En tout cas merci infiniment pour votre gentilesse. Je....J'éspère qu'on se reverra bientôt!

Je baisse le regarde timidement avant de sortire. Une bombe de plume bleue et rouge m'atterit dans les bras et manque de me renverser. Nyvia se lave au creu de mes bras tout en battant des ailes avec joie. Elle piaille puis grimpe sur mon épaule, sa place habituel. La petite Nirondelle me donne quelque coup de bec joyeux puis je me dirige vers ma maison. Ma mère m'attends devant la porte. Ses trais de visage sont sévère et agaçé mais ça voix est emplie de douceur. Elle se force a parler fort.

- Lana chérie ou était tu? On s'est fait du soucie ton père et moi!

Mensonge! Ces mots restent collé a mes lèvres mais ne les franchissent pas. Alors que ma mère me tire vers l'interrieure je lance un dernier regard dans la direction de Tek.

Je monte dans ma chambre rapidement. Apres avoir discuté avec mes parents ils m'ont en fin laisser monter. Je n'ai qu'une envie: Voir mes pokémons. Je rentre en courrant m'attendant qu'ils me sautent tous dans les bras. Mais non, ils forment tous un cercle au millieu de ma chambre. Nyvia s'envole pour les rejoindre. Je m'avance puis découvre le sol jongé de morceau de coquille d'oeuf. Mon coeur rate un battement lors ce que je comprends. Je coure, me fraye un chemin parmis mes pokémons et m'agenouille en face du Daim au pelage brun gris. Le jeune pokémon saison est couché au sol et regarde autour de lui, légèrement perdu. Il secoue sa tête comme pour pouvoir pensé claire.

- Vivaal!

Je pose ma main sur sa tête chaude et humide. Le jeune Vivaldaim essaye de se lever sur ses petites jambes tramblante, mais il manque de force et retombe. Fanfan le retient et le force a se tenir droit. Je me raproche et caresse sa tête avant de poser la mienne contre la sienne et de fermer les yeux.

- Bienvenu....Bambi