BIOGRAPHIE- Avant de lire l'histoir:
Cet histoir parle beaucoup de BMX Racing, mon sport préférée. Vu que ce n'est pas vraiment connu je vais vous éxpliquez ce que c'est. J'essaye de ne pas m'emporter et de faire court x)
Le BMX Racing est un sport de vélo ou huit candidat de la même catégorie s'affronte sur un parcours qui ressemble a peu près a
ça. Notez que les pilotes ne s'asseyent jamais sur leur vélo pendant la cours et que ces dernier on seulement un seul frein et son tout petit.
Il y a plusieur cathégorire. Les enfants jusqu'a 16 ans son mis dans la cathégorie de leurs age. A partire de 16 ans et plus on se trouve dans les Elites. Puis lors ce qu'on devient un peu plus agé on devient un Cruiser.
Lors ce qu'on fait partie des Elites un nouvelle partie de la piste est ouverte pendant la course. On appelle ça les ProSection. C'est une "route" suplémantaire qui se trouve n'importe ou a côté de la piste. Seul les élites et Cruiser on droit d'essayer de la passer car la le reglement est spécial. Les ProSection contiennent souvant deux double bosses qui d
oivent être sauter. Si le pilote ne réussi pas son coup il est disqualifié. Chaque Pilote a pars contre le choix de continuer la course sur la piste normal ou sur la ProSection, c'est tout a fait facultatif.
J'éspère vous avoir un peu aider avec ces infos' suplémantaires^^ Et si vous comprenez pas sur Youtube il y a quelques vidéos qui montrent quelques courses^^
16 ans - Si tu sautes tu perds de la vitesse. Il faut que tu passe pars dessus les bosses sur la roue arrière. La non seulement tu gagne de la vitesse mais en plus c’est dix mille fois plus facile que de sauter.Je sursaute, ne m’attendant pas du tout a entendre parler quelqu’un. Automatiquement ma main gauche se referme sur le frein. Les roues crissent sur les graviers. Je sens la roue arrière virer vers ma droite et je doit poser un pied parterre pour accélérer le freinage sinon je me serrais retrouvé le nez dans la poussière.
Je lève la tête et trouve perché en haut du virage en béton un jeune homme. Il est accroupi, ses avant bras sur ses genoux et m’observe. Je le reconnais tout de suite. Robin Lancardini. Un ado’ dont les parents sont venus d’Italie jusqu'à Enola. Il est un des meilleurs pilotes de l’île. De haut de ses 19 ans il a déjà gagné plus d’une course et il a même déjà eu le droit de participer au championnat du japon ainsi que ceux d’Europe grâce a ses origines italiennes. D’ailleurs je d’après ce que je sais il dois partir dans deux jours pour la France ou il y aura une cours a Besançon puis il ira en suisse a Grandson.
D’un mouvement vif je détache la lanière de mon casque qui me serre la gorge puis repose ma main gantée sur le volant et plante mon regard saphir dans celui de Robin d’un air de défis.
- Je suis pas bête a ce point. Je préfère sauter, c’est tout. Et je trouve que sauter est bien plus facile que de passer les bosses avec la roue arrière.
Il ricane. Je me sens rougir sous mon casque et continue de le fixer. Je ne devrais pas lui tenir tête pas a lui. Il fait partie des pilotes les plus prometteurs d’Enola. Il est presque en tête de la liste. Seule Pat’ Hirsig, un jeune allemand venu a Enola il y a 5 ans, du même age arrive a le battre. J’ai beaucoup a apprendre de sa part. Alors mieux vaut que je mette ma fierté de côté et que je me concentre sur ce qu’il a dire.
- Je pense que tu ose tout simplement pas te redresser sur la roue arrière.J’écarquille les yeux. Comment ose il dire une chose pareil !? Je lui lance un regard noir.
- Bien sûr que j’ose ! J’en ai juste pas l’envie !
Je porte mes mains gantée a mon cou, cherchant la lanière pour la refermer refusant de continuer a discuter avec lui. Pendant que j’essaye de refermer la lanière je l’entends parler.
- Tu sais pourquoi je le sais ? Ce n’est pas la première fois que je te voie t’entraîner. Tu viens tout les mardi, après l’entraînement des juniors et tout les jeudis après l’entraînement des élites. Je te vois tout le temps attendre dans l’ombre jusqu'à ce que nous soyons tous loin. Vu que j’entraîne les gosses tout les mardi j’en profite pour rester dans le coin et bricoler mon vélo. Sauf que tu ne t’en ai jamais rendu compte. Je suis tellement surprise que je me pince le doigt en referment la lanière de mon casque. Je le détache vivement et retire mon énorme casque noir. L’aire fraîche me caresse mon visage et sèche mon front en sueur. Avant que j’ai le temps de répondre il continue tout en se levant et en descendant du haut du virage penché. Ses baskets crissent sur le béton à cause gravier qui est rester coincé au dessous de ses semelles.
- Tu t’appelles Lorelei Shepard. Tu est la fille du grand Richard Shepard. Le célèbre chirurgien qui a sauvé la vie de mon grand frère il y a deux ans.Je hoche la tête. Il y a deux ans lors d’un entraînement de routine, le grand frère de Robin, Johnatan, a eu un accident grave. Il conduisait sans casque, entraînant les plus jeunes. Il voulait leur montrer comment passer les ProSection le plus rapidement possible. Il se trouve que lors d’un saut il a ratterit mal et a été projeté contre un des lampadaires qui éclaire la pise, tête première. Il a failli y rester. Mon père a du l’opérer a plusieurs reprises.
- Tu caches toujours tes affaires dans une des cabanes dans ton jardin, ce qui veut dire que tes parents ne connaîssent rien de ta passion. Tu te promènes toujours avec une Absol.Lyca, couché au sommet de la plus grande bosse pousse un léger grognement mais ne réagis pas plus.
- Et tu ne fais partie d’aucun club. Je comprends pas pourquoi tu n’a pas demandé a en faire partie. On aurait eu du plaisir d’avoir un nouveau membre aussi prometteur. Surtout si grâce a lui on arrive a gagner le Club de Vanawi ! Ca a toujours été un peu la guerre entre les Clubs de Vanawi et d’Amanil. L’un a Hirsig et l’autre a Lancardini.
Je ne réponds pas a ce qu’il viens de me dire. Il se rapproche et s’arrète quelques mètre de mon vélo, le bout de ses pieds effleurent la roue avant. Je le regarde alors qu’il inspire et dit :
- Tu sais pourquoi je sais que tu n’oses pas passer les bosses sur la roue arrière ? Pars ce que a chaque fois que tu essaye tu manque sois de tomber en avant ou en arrière. Sois tu donne trop de force sois tu te laisse tomber en avant puisque tu a peur de tomber en arrière. Il ne faut pas que tu combattes contre l’envie de rester avec les deux roues au sol. Si tu as peur tu mettra automatiquement ton poids en avant et a ce moment la, c’est claire que c’est plus dur de rester sur la roue arrière ! Il faut juste que tu mettes ton poids en arrière sans tirer sur le volant. Juste de coucher légèrement en arrière. C’est bien plus facile que de te casser les bras et les jambea a essayé de sauter chaque bosse !
Je me retiens de lui répondre. J’essaye de réfléchir a ce qu’il a dit. Mon regard bleu reste plongé dans le siens. Juste pour lui montrer que je l’écoute seulement pars ce que j’en ai l’envie et pas pars ce qu’il m’intimide. Je hoche la tête a contre cœur puis remet mon casque, décidé a mettre ce qu’il vient de me dire en pratique. Je raccroche ma lanière et m’aggripe au volant. Mais avant que j’ai le temps de m’eclipsé il se penche en avant et se laisse a moitié tomber sur moi, les bras tendus, ses mains se referment sur la petite barre en ferre rouge au milieu du guidon.
- J’ai un marché a te faire. Je t’entraîne mais en échange tu rejoins le Club d’Amanil !Je réfléchis quelques instants. J’ai toujours voulu les rejoindre mais je n’ai jamais vraiment oser. Je finis pars hocher la tête puis je donne un coup de pédale et me dirige vers la pente de départ. Je manque de le renverser au passage ce qui me fait bien rire.
20 ans Assise dans un Cybercafé je laisse mes doigts glisser sur le clavier de mon ordinateur et fixe l’écran, les yeux plissé. Je soupire et passe une main dans mes cheveux quand tout a coup quelqu’un dépose le gobelet de son café sur ma table. Je regarde d’abord le gobelet blanc sur lequel est écrit en grand : CAFE LATTE. De la fumée s’élèvent et l’odeur entre dans mes narines me faisant saliver. Je rêve d’en avoir encore un le seule problème c’est que j’en ai déjà bus trois. Si je continue je ne dormirais pas pendant une semaine !
Je lève le regard vers le jeune homme, âgé d’a peu près 5 ans de plus que moi, qui me regarde droit dans les yeux. Je ne l’ai jamais vu de toute ma vie et m’apprête a lui demander pourquoi il a déposer son gobelet sur ma table mais il me devance.
- C’est toi Skye ?Je suis tellement surprise que je reste pendant quelques secondes bouche bé. Le seule endroit ou on me connais sous le nom de Skye c’est sur l’ordinateur, sur internet. Beaucoup me connaissent a présent puisque pour m’entraîner en hackage je pirate plusieurs site internet juste pour m’amuser. Je sais, c’est méchant mais ça m’amuse. Et c’est pas comme si je volais des infos ou un truc du genre.
Je regarde l’homme qui attends toujours encore une réponse.
- Hum ça dépend. Si c’est pour lui offrir un verre, oui. Mais si c’est pour lui demander si elle a piraté quoi que ce sois, non. Il hoche les sourcilles et s’assied en face de moi. Je soupire et le regarde pars dessus mon écran. Il se penche au dessus de la table et reste a quelque centimètre de mon ordinateur portable. Un moitié de son visage caché pars l’écran.
- Tu as piraté mon site, tu le sais.Je ne réponds pas et lui lance un regard de défis. Il est hors de question que je le laisse m’intimider. Si il a un problème qu’on le règle, ici et maintenant !
Il semble légèrement déçus que je ne réagis pas a sa méthode d’intimidation. Je continue de garder la tête haute et le fixe, sans baisser les yeux. Il soupire et se redresse.
- Pourquoi ?Je hoche les épaules.
- Je voulais tester mes limites, savoir si j’arrivais a pirater un site de haute sécurité.Il y a quelques jours j’ai piraté un site hautement sécurisé. J’ai réussi a y entrer mais je n’ai pas fait plus. Je voulais juste m’entraîner.
Il ne semble pas vraiment me croire. Je ricane.
- Rooooh c’est pas comme si j’avais découvert que enfait tu est la réplique humaine de Mojo Jojo qui veux conquérir le monde !Il reste tellement sérieux que j’ai l’impression d’avoir touché juste. Devant mon aire perplexe il éclate de rire.
- Et bien tu est forte ! Si tu été resté seulement 30 secondes sur le site j’aurais jamais découvert que tu a réussi a rentrer ! Mais tu as beaucoup a apprendre. Je pourais te l’enseigner.Ce qu’il vient de me dire me rappelle il y a 4 ans ma rencontre avec Robin. Lors ce que lui aussi m’a proposé de rejoindre le club en échange du fait qu’il devient mon professeur. Depuis nous sommes devenu meilleurs amis. Je passe le plus de temps possible a m’entraîner ou a m’amuser avec lui. Ce mec’ n’est pas normal. Mais c’est ce qui fait de lui quelqu’un d’attachant.
- Si j’accepte j’aimerais au moins savoir a qui j’ai affaire. Rétorqué-je. Il soupire.
- Je m’appelle Miles.
- Miles, comme 1.6 fois 1 Kilomètre ?
- Pardon ?
- En anglais 1 Miles est 1,6 Kilomètre.
- Et Sky ? Ca veux pas dire Ciel ?
- Oui mais moi chez moi c’est pas la même chose.
- Sky et Ciel c’est la même chose !
- Euh non vu que le premier est anglais et le deuxième est francais….
- Oui mais je veux dire Sky et Sky.
- Bah oui ça c’est effectivement la même chose….
- Je disais TON NOM et Sky, ciel en anglais quoi.
- Ca c’est pas la même chose vu que mon non s’écrit avec E.
- Ca te serre a quoi d’ajouter un E muet ?
- Ca fait plus féminin.
- Oui mais tu l’entends pas. Il est donc inutile.
- Pas vraiment vu que Sky sans E veux dire Ciel. Et Skye avec E c’est mon nom.Il soupire et secoue la tête. Je ris.
- Désolée, j’aime bien exaspérer les gens !Il me regarde avec de grands yeux. Je ris encore une fois.
- Si tu veux appelle moi Skyeuuuuh !21 ans J’inspire un grand coup. L’aire semble rester coincé dans mes poumons. Je me force a expirer. Mes genoux tremble et la nervosité me donne l’envie de vomir. Je regarde la piste qui s’étends devant moi, les autres pilotes qui prennent place de part et d’autre de moi. Ils se préparent. Dans quelques secondes s’est partie. Le petit muret qui retient mon vélo de rouler en bas de la pente descendra et les 7 autres pilotes commencerons a pédaler comme des malade. Et moi ? Je vais réussir a les suivre ?
Je rajuste mon casque et reste assise sur la mini selle de mon vélo. Le vélo est tellement petit que assise mes genoux se cognent presque contre le volant. J’inspire, j’expire. J’étudie le parcours en face de moi. Je revois les virages, les différents bosses.
Derrière la prochaine séries de pilotes s’impassiente. Ceux qui viendrons après nous. Je regarde en arrière et reconnais tout de suite Robin juste derrière moi. Avec sa tenue blanche et noir avec l’emblème du club d’Amanil à la hauteur cœur je le reconnais tout de suite. Même si je ne voie pas un centimètre carré de sa peau. Son casque noir et blanc couvre sa tête et ses énormes lunettes de ski cache ses yeux. Beaucoup aiment mettre ces lunettes ridicules pour les courses. Ca fait cool comme ils disent. Il semble la bien plus musclé que ce qu’il est. Sûrement a cause des tonnes de protection qu’il a sous son T-Shirt, tout comme moi. J’ai l’impression qu’elles pèsent une tonne. Je me retourne et regarde a nouveau la piste puis une voie métallique et masculine retentit. La même voie que l’on trouve partout dans le monde, a chaque colline de départ de BMX.
- Okay Riders, we’re gonna start.
Je sursaute et me lève. Je pose mes pieds sur les pédales et essaye de rester en équilibre. Je fixe la roue de mon vélo, seulement retenue pars le petit muret.
- Riders are ready ? Watch the gate !Mon coeur bat la chamade. Puis…
Tutututuuuuuut !Au même moment ou le tintement métallique retentit le « gate » se rétraque brusquement et fond avec le béton. Mon vélo roule légèrement en avant et je commence a pédaler. Je vois deux pilote me dépasser. Le béton laisse place au gravier des que nous arrivons au plat. Je passe la première bosse sur la roues arrière comme Robin me l’a appris. Puis je recommence a pédaler, deux pilote m’encercle. Je ne les laisserais pas me dépasser ! La triple bosse qui vient après je stoppe de pédaler et pousse avec mes bras contre le guidon pour gagner de la vitesse. Puis le gravier laisse a nouveau place au béton pour le virage. J’essayer de passer le plus près du centre possible, me couchant carrément contre la droite. Le pilote a ma droite freine légèrement et je le dépasse. Si il ne l’aurais pas fait je l’aurais poussé hors du terrain et il serrais tombé. Pars contre celui a ma gauche passe près de moi sans pour autant me pousser vers l’intérieur.
Je continue de nouveau a pédaler une fois le premier virage passé. Je me retrouve en face de deux chemins différents. Sois je prends les ProSection, sois je continue la piste normal. Vu que je n’ai pas asser d’expérience je choisis la route normal. Mon adversaire de gauche, un pilote a l’équipement noir, prends les ProSection. Alors que je saute une double bosse je voie au coin de l’œil le pilote noir sur l’autre piste, parallèle a la mienne sauter les bosse bien plus grande que celle d’une piste normal. Si il rate son coup il est disqualifié.
A ma grande déception il réussi a les passer sans problème. Puis revient un virage, vers la gauche cette fois. Ceux qui viennent de la piste de ProSection on un sacré avantage puisqu’il peuvent prendre le virage vers l’interrieure. Je me couche sur le côté, je sens mon vélo glisser sur le béton puis les roues recommence a crisser alors que je me retrouve sur le gravier. Je fixe le dos du pilote noir qui a réussi a me dépasser. Apres deux autres virage et plusieurs bosse j’arrive enfin a la ligne d’arrivé. La fierté me fait sourire. D’accord je ne suis pas sur le podium. Mais avoir réussi 4ème en Final B Elite du Championnat d’Enola, c’est comme un rêve qui se réalise.
Quelques minutes plus tard je suis rejoint de Robin qui a terminé 2ème de la Final A Elite. Juste derrière Hirsig, ce qui le fait rager et me fait bien rire moi.
Pendant ces quelques instants j’arrive a oublier mes vrais problème. Pendant ces quelques minutes de bonheur ou encore ces quelques jours ou je me trouve émitoufflé dans mes protections, entouré de mes amis, le music qui résonne a travers tout le terrain et la voix du Speaker qui commente les courses. En ces moments la, je me sens réellement heureuse.
22 ans Debout dans la chambre plongée dans le noir je regarde Miles. Il ronfle paisiblement, couché sur le ventre. La couverture lui monte jusqu’au rein. Quelques rayons lunaire traversent les nuages et passe a travers la fenêtre éclairant son dos nue. Sa peau prend une couleur étrangement argentée. Je le regarde. Je fixe son visage d’ange. Il a vraiment l’aire tellement innoçant maintenant qu’il dort. Comme si ces années remplient de mensonges n’avaient jamais existé. Comme si il n’avait jamais essayé de me mentir. Je me mords les lèvres inférieures et sens un doux pelage se presser contre ma jambe. En baissant le regard je voie Kitty qui se colle a moi. Elle semble apeurée. Et elle a de quoi. Je la sens trébucher sur mes pieds nues, comme elle le fait a chaque fois qu’elle veux que je la prenne dans mes bras. Mais je peux pas. Pas maintenant. J’ai d’autres choses a faire. Je marche en direction du bureau qui se trouve a quelques pas de moi. Mes pieds nus gèlent sur le sol froid. Mais je n’ose pas chercher mes chaussures et mes chaussettes dans le noir. Ca a déjà été asser dur de trouver mes sous-vêtements, mon top et mes shorts. Je regarde sur la surface du bureau. Non il ne le cache sûrement pas la. Ce serrais trop facile. Je regarde autour de moi, scrutant la chambre a la recherche d’une cachette peu probable et difficile a trouvé. Juste asser grande pour que l’on puisse y cacher une clé USB.
La clé USB que je recherche contient des informations sur le Régime. Des informations des plus intéressante et je sais qu’elles pourraient bien plaire a la Résistance. J’ai découvert son existences pars hasard. J’ai découvert que pendant toutes ces années Miles voulait seulement m’entraîner pour que je devienne asser forte pour rejoindre le Regime. J’ai même déjà fait certaine de leurs missions sans le savoir. Je suis rongé pars le remord. Moi qui les a toujours détesté. Je les ai aidé. Et tout ça seulement pars ce que j’ai fait confiance a ce foutu Miles ! Pendant longtemps je me croyais amoureuse. Mais maintenant que je connais la vérité je me rends compte que c’était juste de l’admiration. Et aussi surtout le fait que Miles est un grand charmeur. Et moi je suis tombé dans son foutu piège.
Mon regard reste fixé sur un tableau juste derrière le bureau. Une étendue d’eau y est dessiné avec un couché de soleil juste derrière. Le tout dessiner tellement grossièrement que personne de normal n’accrocherais cet image dans sa chambre a couché. C’est le genre de tableau que l’on peux acheter pour quelques opals au marché au puce, ce qui n’on aucune valeur. Alors pourquoi l’avoir accroché juste derrière le bureau ? Je souris. Je sais ou ce trouve la clé USB.
Je m’avance a pas de loup priant pour pas qu’il se réveille. Kitty me suis, bien plus silencieuse que moi. Elle balance sa queue de gauche a droite et fixe le corps de Miles endormie, terrifié a l’idée qu’il se réveille.
Je décroche le tableau du mur et le pose avec douceur sur le bureau puis je fixe le mur et je souris. Une tache noire me fait face. Il fait trop sombre pour que je voit si oui ou non c’est vraiment un trou. Je tends ma main vers elle. Ma main semble passer a travers le mur. Je frisonne et la dépose sur le sol du trou, tâtant a la recherche de l’objet que je cherche. Apres quelques secondes je le sens sous mes doigts et les referment autours. J’attire mon bras contre moi et ouvre mon poing pour regarder l’objet si minuscule qui repose sur la paume de ma main. Cet objet minuscule a une plus grande valeur que n’importe quoi d’autre. Il contient beaucoup d’information concernant le Regime. Juste asser pour permettre a la Resistance d’avoir un sacré avantage. Mais je pense qu’il est crypté. Je vais donc devoir bosser la dessus.
Je remets le tableau en face. Je m’apprête a sortir de la chambre lors ce que mon regard tombe sur une corde qui repose près de la porte. Une corde que Miles utilise pour s’assurer lors ce qu’il part grimper. Une idée me vient. Je la prends et me dirige vers le lit ou je l’attache a la tête du lit avec le plus de douceur possible. Une fois ses mains attachée je sors le plus vite possible…. En claquant la porte. Eeeeeeeet merde !
Je l’entends remuer alors que je descends en trombe les escaliers en face de moi. Je me dépêche de sortir de la maison au même moment ou je l’entends hurler.
- Putain Skye ! Reviens ici tout de suite ! SKYEEE !Je cours le long de la rue. Le sol est tellement froid que je sens presque plus mes pieds. Mais je m’en fou je cours le plus vite possible au côté de Kitty. Je sers la clé USB contre mon cœur.
Une fois chez moi je fait passé une ficelle autours de la clé et l’attache a mon cou comme collier que je laisse disparaître dans mon décolleté. Je chope mon natel et compose un numéro que mon frère m’a donné il y a quelques temps. Je le lui avais demandé au cas ou je voulais rejoindre la Résistance.
Apres que j’entends sonner pendant quelques secondes une voix ensommeillé résonne dans mes oreilles. Je demande si je suis belle et bien a la bonne adresse puis avant que l’homme au bout du file raccroche pars méfiance je me dépêche d’ajouter.
- J’ai quelques choses qui pourrais intéresser la Resistance. Mais en échange j’ai l’envie de pouvoir rejoindre ses rangs.L’autre ne répond pas. Il réfléchit pendant quelques minutes puis :
- Comment ça quelque chose qui pourrais intéresser la Résistance ?Il ne dit pas qu’il en fait parti. Malin.
- Une clé USB qui appartenait a un des meilleurs Hackeurs du Régime. Il y a beaucoup d’information sur eux la dessus. Des info’ qui pourrais être très intéressante. Il hésite mais je le sens tenté pars mon offre.
- Pourquoi je devrais vous croire ?Je souris.
- Peut être pars ce que nous voulons tous nous débarrasser d’eux et que cette clé représente un énorme avantage dans cette guerre.
Il réfléchit.
- Et pourquoi je devrais vous faire confiance ?Je prends une inspiration.
- Vous ne pouvez pas, vu que nous ne nous connaissons pas. Et pourtant nous avons notre pire ennemi en commun.
Il semble convaincu.
- A 5 heures dans les ruines de Baguin.
- Bien.Je m’apprête a raccroché lors ce qu’il me pose une question.
- A qui ais-je affaire ?Je souris.
- Appelez moi Tris, monsieur.