INFORMATIONS
NOM: Turnac
PRÉNOM: May Céléna
SURNOM: Son nom étant trop court pour un surnom, elle n'en a pas.
PSEUDONYME(S): Lydia James: Le nom qu'elle porte en ce moment pour garder son identité secrete.
ÂGE: 16 ans
DATE DE NAISSANCE: 5 Avril 1998
SEXE: Fille
GROUPE: Compétiteur - Habitant
RÔLE: Dresseur
MÉTIER/ÉTUDES: Si avant elle vivait dans une famille ou elle pouvais se payer une école privé, maintenant elle doit se contenter d'un lycée publique
ORIGINE: Ennolienne, elle vient plus précisement d'Amanil

PHYSIQUE
COULEUR DE PEAU: Une peau pâle, qui lors ce qu'on ne la connait pas on pourrais facilement penser qu'elle est malade. Ne pouvant pas bronzer facilement, elle a du mal a se débarrasser de cette pâleur presque laiteuse.
CARACTÉRISTIQUES DES CHEVEUX: Ses cheveaux sont long et endulent légèrement. Elle aime les coiffer soigneusement pour qu'ils ne lui font pas ressembler a un Némélios. Car oui, c'est cheveux on tendance a s'emméler rapidement, ce que May détèste plus que tout. Ils sont d'un magnifique blond claire, couleur qu'elle tiens de son père décédé. C'est pour cette raison qu'elle aime les porter avec fierté, comme souvenir de cet homme qu'elle a perdue il y des années ce cela, mais qu'elle continue a aimer comme si il existait encore.
CARACTÉRISTIQUES DES YEUX: Ses yeux sont quelque chose de spécial. De perle d'azure qu'elle tiens de son paternel. Des yeux d'un bleu profond, qui envoute n'importe qui, essayant de plonger son regard dans le siens. La ressembleance avec ceux de sont père est tellement frappante que lors ce que May se regarde dans le miroire elle ressent ses vieilles cicatrices se reveiller et les cauchmars refaire surface.
DESCRIPTION DE LA SILHOUETTE: May est pour l'instant plus top petite, ce qui l'a fait grincer des dents. Mais elle sait qu'elle n'a pas finit de grandre, contrairement au autres gens de son age. Pour l'instant elle ne doit pas dépasser les 1m56. Elle est fine et agile, bien que a son gout beaucoup trop mince. Pour une raison qu'elle ignore elle ne grossit pas. Elle se trouve beaucoup trop osseuse au niveau des bras et des épaules. Mais a aussi elle sait que avec l'age elle grossira.
PARTICULARITÉ: Elle porte dans ses cheveux depuis toujours une barette en forme de papillon. Un cadeau qu'elle a reçus lors de ses 9 ans de sa génitrice et que depuis elle ne quitte plus, encore moins depuis qu'elle a assisté a la mise a mort de sa très chère mère. Pour elle ce papillon renferme le souvenir de sa mère, il est donc l'objet le plus précieux qu'elle possède.

CARACTÈRE
PERSONNALITÉ:
Gentille - Inattentive - Rieuse - Effrontée - Dynamique - Énergique - Lunatique - Maladroite - Rusée - Déterminée - Directe - Nerveuse - Entretient un point de vue dur sur la vie - Pessimiste acharnée, mais seulement en elle, le cache en apparence - Excellente menteuse - Paraît toujours souriante et positive - Motrice - Agile - Tête dure - Spontanée - Créative - Fonceuse - Grande gueule - Attachante - Soucieuse des autres - Fière - Débrouillarde - Intelligente

GOÛTS & DÉGOÛTS:
May aime beaucoup de choses, mais il y a aussi beaucoup de choses qu'elle n'aime pas. Comme en fait tout le mode. Je ne vais pas tout vous dire car sinon la liste serrait trop longue. Je vais vous en fair un petit résumé.
May est une fille très débrouillarde c'est pour ça qu'elle n'aime pas les gens qui reste dépandant de quelqu'un. C'est gens qui n'arrivent pas a se débrouiller tout seul. Non, eux elle ne les supporte pas. Pars contre si la personne est malade psychiquement la c'est une autre affaire. Elle n'aime pas qu'ont l'a contredit. Avec son caractère de tête dur elle ressent souvant l'envie d'avoir le dernier mot. Ce qu'elle supporte encore moins c'est qu'on fasse du mal a ceux qu'elle aime. ELle a vu trop de gens mourire autours d'elle. Beaucoup trop qui comptait pour elle sont mort. Elle ne veux en aucun cas que l'histoirs se répètte. Elle n'aime pas non plus perdre, surtout pas en combat pokémon.

Elle aime ses pokémons. Surtout Spider. Il est son rayon de soleil. Sa flamme d'éspoir. Elle ferra donc tout pour le protéger. Elle aime aussi beaucoup les combat pokémons et tout ce qui peux verser une petite dose d'adrénaline en elle. Elle aime plein de choses banal comme se baigner, s'amuser avec ses amies, le chocolat. Au oui, qu'est ce qu'elle ferrait sans ce bon vieux chocolat qui semble toujours avoir une solution a tout? Elle aime aussi beaucoup les séries. Elle pourrait passé toute les journées de pluie devant la télé a se matter une serie apres l'autre. Mais a part ça elle ne supporte pas beaucoup la télé. Elle préfère bouger, elle a besoin de sentire sa liberté.
ASPIRATIONS & PEURS:
Tout d'abord elle a peur de sa propre histoirs. Tout ce qu'elle a vécu lui est resté marqué a jamais gravé dans la mémoire. Elle fait des cauchmare jour et nuit. Elle n'aime pas le noir. Depus cette fameuse nuit elle détèste le noir,  ou du moins être seule dans le noir. C'est pour cela qu'elle dors souvant avec Spider. Le noir l'étouffe, il l'écrase. Il plane au dessus d'elle comme une menace, comme un cauchemar vivant. Elle se sens complettement desorianté dans le noir. Perdre la vue est donc aussi un de ses pire cauchemar. Mais a part ça elle a aussi peur du Régime, mais jamais elle ne l'avoura car elle s'est promis de les détruire. Sinon a la une monstre phobie des guêpes. Ne venaient donc pas chez elle avec un Apitrini ou un Dardagnan.

Vu son adoration pour les combats pokémon May aimerais devenir un jours Maitre pokémon. Elle admire beaucoup Sunny l'actuel Maitre pokémon. Elle aimerais un jours pouvoir devenir comme elle. Elle a donc l'envie de se crée une vrai équipe pokémon et de devenir une des dresseuse les plus forte.
Mais sa plus grande asspiration reste sans doute l'envie de venger sa famille. Cette envie la ronge de l'interrieur. Elle veux détruire le Régime, mettre fin a leurs dictature. Elle veux qu'ils dissparaissent de l'ile et ne reviennent plus jamais.
Depuis peu s'est mis en tête qu'elle n'est peut être pas la seule Turnac a avoir survécu. Elle pris jours et nuit pour que ce sois le cas. Elle aimerais tellement retrouver un membre de sa famille. Au moin un juste pours'assurer qu'il aille bien et qu'elle ne sois pas seule.

ALLÉGEANCES: May haie le Régime de tout son être. Elle en êve que d'une chose: Les détruires, faire tomber cette organisation pour leurs faire payer cce qu'il lui a fait. Pourtant elle ne soutient pas la Résistance non plus. Elle n'aime ni un, ni l'autre mais elle n'est pas neutre non plus.

BIOGRAPHIE
On dit que l’histoire fait d’une personne ce qu’elle est. Je n’ai jamais vraiment compris cette phrase, en fait pour tout vous dire je n’y ai jamais vraiment réfléchit.  Mais maintenant, après tout ce que j’ai vécu, tout ce que j’ai vu, je sais que je ne suis plus vraiment la même que j’étais il y a quelque années en arrière. Je comprends donc enfin ces quelques mots. Mais pour que vous les compreniez aussi, il faut que je vous raconte mon histoire. Mais avant autre choses laissez-moi me présenter. Je m’appelle May Céléna Turnac. Oui Turnac comme Eliza Turnac, la présidente d’Enola. Non, je me corrige. L’ancienne présidente.  Je suis née a Amanil le 5 Avril 1998, alors que l'île commencais a se rechauffer encore plus. Même si l'hiver, reste une saison chaude, elle ne se comparre pas a la chaleur du printemps. Je suis donc née suspendu entre deux mondes. Un monde ou le l’hiver et le printemps s’affrontent. Je suis née en tant que la petite dernière de la famille. Surement un accident, mais si c’est le cas mes parents ne me l’ont jamais dit. Je crois que même si il n’avait pas vraiment prévu la venue d’une troisième, cela ne les as pas du tout dérangé. J’ai toujours été différante des autres, non seulement a cause de mon âge mais aussi a cause de mon apparence. Je ressemblais bien plus a mon père que as ma mère, contrairement a mon frère et a ma sœur tout deux portait avec fierté les signe distinctif des Turnac. Alors que moi je ressemblais bien plus a une Berkley que a une Turnac. Et en plus avec la différance d’age entre ma sœur et mon frère, j’ai toujours eu l’impression d’être mise de côté, de ne pas vraiment appartenir a cette famille. Le fait aussi que je n’ai jamais été aussi studieuse que les deux plus âgé, m’a aussi toujours un peu mis de côté. Ma mère n’a jamais vraiment trop compté sur moi pour devenir une Turnac digne de ce nom. Au début j’été trop jeune pour m’en soucier mais avec le temps je me suis rendu compte a quel point ça me fessais mal. Je sais que m’a famille m’a toujours aimé, mais j’ai toujours cru que jamais m’a mère ne m’aimerais comme elle aimait Adélia et Lucas. Quand elle avait un peu de temps elle le passait avec mes ainées et rarement avec moi. Mais je ne leurs en ai jamais voulu. Mes ainées on toujours été mes modèles. Mes dieux. J’ai toujours voulu devenir aussi belle qu’Adélia et aussi intelligente que Lucas. Malheureusement je n’en ai pas eu l’occasion. Laissez moi vous raconter pourquoi….


Il est fait noir. Tellement noir que je ne peux même pas voir ma main que je tends devant moi. Je suis couchée dans mon lit, sur le dos, je fixe ce que je crois être le plafond, sans le distinguer a travers la pénombre. Je me suis réveillé au milleu de la nuit, sans aucune raison. Je me suis réveillé c’est tout. Peut être pars ce que je peux sentir une menace. Un mauvais pressentiment qui plane au dessus de moi.  Quelque chose cloche, mais je ne sais moi-même pas. Peut être j’ai fait un cauchemar mais je n’arrive juste pas a m’en rappeler. Pourtant ce qui est sur c’est que la peur elle est là. Comme un animal elle me dévore l’intérieur. Un serpent qui se glisse telle un étau autours de mes entrailles. Je sens l’envie de paniquer, mais le pire dans tout ça c’est que je ne sais pas pourquoi. Je décide alors de faire ce que toute les autres gamines de mon âge auraient fait : Aller me réfugier chez mes parents, tout leurs raconter. Je n’ai qu’une envie c’est d’entendre leurs voie douce et ensommeillé me rassurer. J’ai l’envie de les entendre dire que tout vas bien, que les monstres n’existe pas et que ils me protégeront quoi qu’il arrive.
Je balance mes jambes hors du lit et je m’assois. Je frissonne lors ce que mes pieds nues entrent en contacte avec  le parquet. Je me lève et me dirige en direction de la porte de ma chambre. Il fait tellement noir. Beaucoup trop noir. La lune devrait au moins éclairer au minimum ma chambre. Pourtant je ne voie rien de rien. Je ne peux rien distinguer. C’est pour ça que je ne voie pas la chaise de mon bureau. Celle avec qui j’aime rouler a travers toute ma chambre, me poussant a l’aide de mes pieds des murs et traverser la chambre rapidement. Ma mère s’énerve lors ce que je fait ça. Elle a peur que je raye le jolie sol en bois de ma chambre et en plus elle dit que le bruit l’empêche de se concentrer lors ce qu’elle travail a la maison.
Je cogne donc mon petit orteil contre une des roues de la chaise. Je me mords la langue pour ne pas lâcher un petit cri de douleur. Vous savez a qu’elle point ça fait mal de se cogner le petit orteil ? Horriblement mal. Mais si je ne m’étais pas cogné cette nuit là, je serrais probablement morte.        
Je m’assieds parterre et me masse le petit orteil lors ce que je les entends pour la première fois. Je peux entendre le bruit de leurs chaussures sur le calage de l’entrée, le froissement de leurs pantalon alors qu’ils essayent de se déplacer sans faire de bruit. Je peux les entendre murmurer sans les comprendre. Mon cœur se fige, mon sang se glace dans mes veines. Je reste figée au millieu de ma chambre alors que la panique me gagne lentement. Des voleurs ? Comme toute fille de mon âge, le fait d’avoir des voleurs dans la maison me terrifie. Même si les hommes qui se sont infiltré dans notre grande maison sont pire que des voleurs.
Instinctivement je me lève et regarde autours de moi. Heureusement que je connais ma chambre pars cœur. Je cours en direction de mon armoire et trébuche en plein chemin. Je tombe en avant et me cogne le menton sur le sol. Je manque de peu de me mordre la langue. Mon crâne entier semble trembler, mais je ne ressens pas la douleur. J’ai trop peur, trop d’adrénaline que coule dans mes veines.  J’ouvre la porte de mon armoire et me glisse a travers les vestes qui sont suspendu et les pille d’habit. Je me cache tout au font dans un coin et fixe la porte. Le silence s’installe. Un silence des plus horribles. Je peux entendre mon cœur battre la chamade.
Puis le cauchemar commence pour de bon.  Je peux tout entendre. Les cris, les coups de feu, le pleures. Je me bouche les oreilles et commence a sangloter. Ne pleure pas May, ne pleure pas ! Ils vont te trouver si tu fait autant de bruit ! Puis les portes de mon armoire s’ouvrent brusquement. Je hurle. Mes hurlements son qu’un murmure comparé au vacarme qu’il y a dehors. Un jeune homme se penche au dessus de moi et pose un doigt contre ses lèvres. Je me calme lors ce que je le reconnais. Luke, un des employés de notre maison. L’homme d’une vingtaine d’année se penche au dessus de moi et me force a sortir de l’armoire. Il me prend pars les bras et me tire en dehors. Je renverse les pilles de mes habits au passage qui s’epparpient sur le sol de ma chambre. Il me soulève sans problème, après tout j’ai toujours été très légère. Il me balance au dessus de son épaule comme un vulgaire sac. Mais je m’en fou. Je n’arrive pas a réfléchir. La peur me paralyse. J’ai l’envie de ma maman, de mon papa. J’ai l’envie de me réveiller et de trouver ma sœur ou mon frère penché au dessus de moi tout en essayant de ma calmer. Tout en me disant que ce n’est qu’un vilain cauchemar.
Je ferme les yeux et m’agrippe au T-Shirt de Luke, puis je perds connaissance.






Je me suis réveillé quelques jours plus tard. Non en fait quelques heures plus tard, mais j’avais l’impression que des semaines s’étaient écrouler depuis l’attaque.  J’était chez ma Tante Claire qui été venu se poser pour quelques temps a Enola avant de vouloir partir en direction de la Grande Bretagne. L’incident ne changea en rien son envie de partir, au contraire cela l’encouragea encore plus. Moi je ne voulais pas partir. Pas sans mon papa. Pas sans ma maman. Pas sans ma sœur. Pas sans mon frère. J’était toujours encore jalouse du fait qu’Adélia avait eu le droit a un pokémon et moi pas. Je n’avais pas encore terminé d’énerver ma mère avec ça. Je n’avais pas encore terminé de courir dans toute la maison pour énerver tout le monde. Je n’avais pas encore terminé de jouer au agent secret en espionnant Lucas. J’avais encore tellement de choses a faire.  Je voulais pas croire qu’ils étaient mort. Pour moi ils vivaient encore. Ils étaient encore chez moi, dans ma maison, en sécurité et me cherchais. Luke et Tante Claire essayèrent de me convaincre. Ils essayèrent en vain de me faire comprendre que il fallait que nous partions pour ne pas terminer comme les autres. D’après Tante Claire nous étions les deux dernières survivante des Turnac. Il était hors de question que le Régime nous tue nous aussi. Nous devions survivre pour venger notre famille. Moi je voulais me laisser mourir a cette époque. Je voulais rejoindre ma maman et mon papa. Je voulais briller dans le ciel comme eux, être a leur côté. Quitte a être une étoile pour l’éternité ! Si au moins j’étais avec ça m’été égale ! Tout été noir, je perdis le gout de vivre. Je me laissai mourir lentement. Je ne ressentais plus, seulement de la tristesse et de la fatigue. Je me rappelle a peine de cette époque. Je sais juste que Tante Claire me renomma Céléna Martins et qu’elle elle prit le nom de Cara Martins. Luke resta avec nous et pris le nom de Alexandre Martins, mon sois disant grand frère. Nous prime le premier avion en direction de Londre. C’est la que nous restions pendant deux ans et demi. Tante Claire m’offrit un adorable Caninos pendant cette époque. Il ramena un peux de couleur dans ma vie. Petite a petit je repris vie. Petite a petit je me réveillai. Ce fut surtout grâce a Spider qui me donna l’envie de devenir une Dresseuse. Pour accomplir mon souhait Tante Claire finit pars décider de retourner a Enola. Avec le temps le Régime a du nous croire mort. Nous avons donc emménagé en tant que la famille Martins d’origine britannique. On s’installa a Zazambe ou Luke vit enfin l’occasion de commencer les études dont il avait toujours rêvé. Avant il travaillait chez nous pour gagner asser d’argent pour pouvoir se financé la FAQ mais maintenant qu’il se fessait passer pour le fils de Cara Martins, une britannique très riche, il eu l’occasion de partir a l’Uni. Quand a moi, Tante Claire me paya des cours a domicile, comme a l’époque. Au début ce fut dur car ces cours me rappelaient ma vie d’avant. Mais je fis un effort pour faire plaisir a Tante Claire. Nous vécûmes un ans comme ça. Jusqu'à mes 14 ans. Le jour ou le cauchemar se répéta.

Assise dans le jardin je regarde livre de Chimie. Je me frotte les tempes d’une main et joue avec mon crayon de l’autre. Je regarde les formules inscrite dans le livre et me mords les lèvres. Même si je n’ai jamais vraiment eu du mal a étudier, la chimie n’a jamais été mon fort. Spider est couché contre ma cuisse gauche. Il est couché sur le dos, les quatre pattes en l’aire. Il a l’aire ridicule comme ça. Il fait bon en cette fin de journée, la chaleur est agréable. Je regarde le ciel en quête des premières étoiles. Depuis l’incident il y a maintenant quatre ans je regarde chaque soir les étoiles, m’imaginant ma famille la haut qui m’observe. J’ai grandis, je ne devrais pas croire en ce genre de chose. Mais ce mensonge et la seule chose qui m’a fait tenir le coup. Juste le fait de savoir que ma famille me regarde. Je sais qu’ils ne veulent pas qu’il m’arrive quelque chose. C’est pour ça que je m’accroche, chaque jour. Je vais devenir un jour Maitre Pokémon et je rendrais fière ma famille. Et ensuit je délivrerais l’île du Régime. Ils me regardent, ils sont toujours avec moi.
Spider pousse un grognement et se retourne sur le flanc. Il me regarde avec ses grands yeux. Automatiquement je commence a le caresser. Je passe mes doigts dans sa douce fourrure et continue de fixer mon cahier. Le prof de Chimie devrait venir demain. Si je n’arrive pas a faire ce devoir il me traitera d’incapable, comme il le fait a chaque fois. Et cette fois ci je n’arriverais pas a tenir ma langue. Je sais que si j’ouvre un peu trop ma bouche, Tante Claire se fâchera, mais bon, je n’aime pas ce prof, autant qu’il le sache.
La sonnette sonne et j’entends Tante Claire annoncer qu’elle est en route pour ouvrir la porte. Soudain Spider se redresse brusquement. Il pointe ses oreilles en directions de la maison. Je me lève au même moment ou la Caninos commence a grogner de plus belle. La peur me prend. Je secoue la tête. Je rêve c’est tout. Je ne sais même pas pourquoi je devrais avoir peur.
Je me dirige vers la baie vitré du salon, elle est entre ouverte. Je passe ma tête a l’intérieure et regarde autours de moi. Pourquoi Tante Claire ne parle elle pas avec les visiteurs ? Au moment ou je veux rentrer Spider m’attrape le bas de mon jeans et tire dessus comme un fou. Je me retourne et lui lance un regard noir. Mais qu’est ce qui lui prend ?
Je rentre a l’intérieure. J’entends des murmures. Quelqu’un gémis. J’ai un mauvais pressentiment. Lors ce que les pas se rapprochent du salon je me cache instinctivement derrière le canapé. Je me laisse tomber a quatre patte, Spider derrière moi. Je rampe jusqu’au bord du canapé et regarde un groupe d’homme armé rentrer dans le salon. Tante Claire est bâillonnée.  Ses mains derrières sont dos indique qu’elles sont attaché. Un des soldats la tiens pars les cheveux et la pousse dans le salon. Elle manque de trébucher. Je retiens mon souffle lors ce que le soldat enlève le bout de tissu de la bouche de ma Tante.

- Maintenant dis nous ou ils sont ? Je sais qu’ils vivent encore !  Dit moi ou ils se trouvent et nous te ferrons aucun mal.

Tante Claire ne réponds pas. Je vois des larmes couler le long de ses joues. Mais elle ne baisse pas le regard. Elle fixe le soldat avec haine. Ce dernier semble perdre patience.

- DIT MOI OU ILS SE CACHENT BON SANG !

Elle ne bouge pas d’un pouce. Le soldat soupire. Il sors un pistolet d’une de ses poches et le pointe sur le front de Tante Claire.

- Ta dernière chance !

Tante Claire prends une grande inspiration.

- Va au diable !

Le soldat appuie sur la détente.

Je retiens un petit cri. La balle part se loger dans l’épaule gauche de Tante Claire. Le Soldat a baissé son arme au moment ou il a tiré. Je soupire. Elle n’est pas morte. Mais je crois que je préférerais qu’elle ai rejoint les étoiles plus tôt de l’entendre hurler de douleurs. Son cri est démentiel. Je commence a pleuré, le bruit de mes sanglots est couvert pars les cris de ma Tante Claire. Pourquoi ? Pourquoi est ce que ce genre de choses n’arrive qu’a moi ? Pourquoi ?
Je me reprends lors ce que les cris se tuent et m’essuie les larmes. Puis je risque a nouveau un regard. Tante Claire est couchée par terre, le soldat du Régime penché au dessus d’elle. Il annonce d’une voie presque douce :

- On sont ils ? Tu sais si tu me le dit j’abrège tes souffrances. Mais si tu ne me le dit pas je serrais obligé de te donner au tortionnaire du Régime et croit moi eux ils connaissent encore moins de pitié que moi…

Tante Claire ne réponds pas. J’admire son courage. Alors que moi je suis la, recroquevillé derrière le canapé. Je suis qu’une lâche qu’une idiote.
Le soldat fait un signe de la main et deux de ses compagnons prennent Tante Claire et la transporte a l’extérieur. Puis le soldat se tourne vers les autres.

- Fouillez moi cette maison et ensuit mettez y le feu !

Les soldats hurlent un : A vos ordres ! Et se dispersent. Je retiens mon souffle. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils me trouvent. Je regarde la porte du salon qui est toujours encore entre ouverte. Si je suis asser rapide je pourrais me lever, courir, sortir et ensuite il me suffirait de me glisser sous la haie qui entours le jardin pour me trouver au beau millieu de la ville. Ensuit je pourrais rejoindre Luke. J’ai peur, je suis terrifié. Mais je me rappelle ce que Tante Claire m’avait dit il y a quatre. Nous sommes les derniers survivants des Turnac, c’est notre devoir de les venger ! Mais maintenant il n’y a plus que moi. Je sais que je ne vais jamais réussir a m’enfuir. C’est une cause perdue. Mais il faut au moins que j’essaye.
Je regarde le soldat qui quitte le salon. Bientôt ses compagnons vont venir fuir le salon. Agir sans réfléchir. Voilà le secret du courage. Je me lève avant que je change d’avis et que la peur me paralyse. Puis je cours comme j’ai jamais couru, je cours et je pleurs en même temps. Je hurle aussi. Je hurle contre Arceus qui a laissé mon monde s’écrouler comme ça, qui a laisser ma vie se détruire, qui m’a laissé souffrir a ce point. Je hurle contre le monde entier et j’espère que au fin fond de la galaxie Arceus m’entends. J’espère qu’il comprends que je viens de lui annoncer a la guerre a lui et au Régime.



J’avais trop souffert, beaucoup trop. J’en pouvais plus de la souffrance, de voir les gens autour de moi mourir. Mais je ne voulais pas me laisser aller non plus. La dernière fois je me suis laissé aller et j’ai presque mis trois ans a m’y remettre.  Il était hors de question que je me laisse allé. Si mes pensées sont pessimistes je ne me permettrais pas de le montrer au monde. Pour eux je resterais souriante et énergique a jamais.
Apres ce jour là je partis chercher Luke qui restait souvent tard dans les couloirs de l’école. Il a eu donc de la chance ce jours la, il aurait pu y rester. Luke décida de m’emmener a Baguin chez une vieille connaissance a lui, des brave gens qu'il a appris a connaitre lors de son enfance. Des gens qui habitaient dans le même quartier que lui, de simple voisin mais des gensau coeur pur. Le vieux couple a essayé pendant longtemps d’avoir des enfants, en vain. Donc lors ce que Luke leur demanda si je pouvais me faire passé pour leurs filles adoptif ils acceptèrent. Luke ne me demanda pas mon avis, mais je ne bronchai pas non plus. Je changeai donc complètement de nom. Je devins Lydia James, la fille adoptif de Richard et Ursula James, la soeur de Luke James, qui reparit sitôt arrivé, aillant trop peur que le Régime fasse le lien. Cela me brisai le coeur mais il me promit que l'on pourrait se voir souvant. Aux files des ans il est devenu un peu comme un grand frère. Quelqu’un qui me protègerais quoi qu’il arrive.
Je ne voulais pas avoir trop de temps pour réfléchir alors je suppliai Richard et Ursula de me laisser aller au Lycée de Baguin. Ils acceptèrent et ma vie repris un cours plus au moin normal, mis a part le fait que j’essayais d’oublier ces horribles images qui étaient resté graver dans mon esprit. Richard et Ursula ne me posèrent jamais de question sur mon passé a mon grand soulagement. C’est a cette époque que je reçus de la part de Luke, pour mon 15ème anniversaire, mon deuxième pokémon. Un Psystigri que je surnommai Gale. Au début Spider et gale ne s’entendaient pas du tout bien, cela devait avoir a faire avec la ressemblance Canine de Spider et celle plus tôp féline de Gale. Mais avec le temps ils devinrent de bon amis, quoique un peux distant l’un envers l’autre. Puis une rumeur me vient aux oreilles. Eliza Turnac ex présidente d’Enola allait être exécuté sur la Place Publique d’Amanil. Je n’en croyais pas mes oreilles. Je croyais que ma mère été morte 5 ans plus top !  Mais si elle été en vie alors cela voulais probablement dire que je n’étais pas la seule survivante ! Et si, si mon frère et ma sœur avait quand même réussi a s’enfuir ou été retenu prisonnier du Régime ? Et mon père ? Et si je n’étais finalement pas toute seule ?

Debout au millieu de la foule je regarde devant moi. Mon visage caché part le capuchon de ma jaquette, de peur que l’on puisse me reconnaître. Il lance comme une ombre menaçante sur mon visage. Mes yeux bleus scrutent l’estrade. Puis elle arrive, je la revois pour la première fois depuis 5 ans. Escorté pars deux soldat, elle a beaucoup changé. Mais je la reconnais. Malgré les bleus sur tout son visage. Malgré les épais cernes noirs sous ses yeux. Malgré le fait qu’elle est maigre a faire peur. Je la reconnais.
Elle s’avance lentement, la tête haute. Elle ne semble pas avoir peur. Mon cœur se serre. Je sens une haine infinie monter en moi. Je n’ai qu’une envie c’est détruire le Régime d’un claquement de doigts. Je l’ai haie comme jamais. La foule murmure autours de moi. Ils semblent eux aussi triste de voir leur présidente bien aimée dans cet état la. Puis un soldat du Régime et fait part au public de la charge qui pèse contre elle. Haute Trahison. Je me mords les lèvres, des larmes de rage coulent sur mes joues. Je dois me retenir pour ne pas hurler. Alors que les soldats s’activent pour lui mettre la corde au cou ma mère se redresse une dernière fois et élève la voix pour s’adresser au publique.

- Adieu, mes frères, mes soeurs. Adieu, peuple d'Enola. Je m'en vais en ce jour, mais je resterai, toujours, là où la liberté et l'égalité brûle encore dans vos coeurs. Debout, Enola. Debout. Debout, Enola, debout...

Les gens autours de moi se mettent a scandaler. Ils répètent les derniers mots de leur présidente. Moi je suis trop concentré a regarder ma mère qui balaye la foule du regard. Puis son regard se pose sur moi. Ses yeux plonge dans les miens. Je la voie esquisser un sourire. Puis son corps tombe.

Ma respiration s’accélère. Mon cœur se serre. Les larmes coulent en trombe sur mes joues et goutte au sol. Mon capuchon a glisser un peu en arrière a force d’avoir tendu le cou pour mieux observer la scène. Mes yeux bleus sont écarquillés. Je revoie en boucle cette image de ma mère qui me sourit pour la dernière fois. Les gens autours de moi son silencieux. Ils ne font pas un bruit. Le silence devient pesant. Je n’ai qu’une envie : Hurler pour le briser. Hurler de toutes mes forces. Hurler ma rage au monde entier. Je me vengerais. Non ce n’est pas un désire, beaucoup plus une promesse. Une promesse que je fais la maintenant en face du corps inerte de ma mère. Je remarque a peine les soldat qui l’éloigne. Tout ce que je voie c’est son visage et son sourire. Puis il disparait a jamais.
Quelqu’un pose une main sur mon épaule. Pas besoin de me retourner pour savoir qui c’est. Je le sais, je le connais trop bien. Luke me connaît bien aussi, sinon il n’aurait pas découvert que j’avais mentie en disant que j’allait a l’école.
Puis je me détourne et me fraye un chemin a travers la foule. J’essuye mes larmes et me répète sans cesse qu’un jours viendra ou je pourrais enfin me venger. Mais avant tout autre chose il faut que je sois sûr que ma famille est bien morte. Il faut que je sois sûr que je ne suis pas la seule a avoir pus m’échapper il y a 5 ans en arrière. Il faut que je les trouve.

HORS-JEU
PUF: Lana
ÂGE: 17 ans
DISPONIBILITÉ: Bah euh comme d'hab' =)
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM?: Grâce a Samael
QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM ET DU CONTEXTE? Hum....hum commen vous le dire? Enfait c'est simple: Je l'A-D-O-R-E
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Sena Kashiwazaki [Boku wa Tomodachi ga Sukunai]
CODE: Code dévoré par gros dragon noir
AUTRE:  

INFORMATIONS
RAPPEL GROUPE: Compétiteur - Habitant
RAPPEL RÔLE: Dresseur  

TEAM
- Caninos ♂ - Spider - Torche - Brave
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Spider est un cadeau de la part de sa Tante Claire pour lui remonter le moral après l'incident de quand elle avait 10 ans. Depuis Spider est devenu son meilleur ami.

- Psystigri ♂ - Gale - Regard Vif - Jovial
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Gale est un cadeau de Luke pour ses 15 ans. Elle a toujours rêvé de devenir un dresseuse et en l'offrant Luka l'a encouragé a en devenir une.

- - Mustébouée ♂ - Dylan - Glissade - Docile
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Œuf confié par le Directeur Éleveur lors de l'inscription au tournoi, afin d'évaluer la capacité d'adaptation du dresseur et la façon dont il traite un pokémon qu'il n'avait pas forcément envisagé à l'origine.