« C'est toi ou moi, l'un de nous est de trop! »

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 Les ânes sont mignons et les titres craignent [OS]

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Faust M. Donovan
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Faust M. Donovan
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MessageSujet: Les ânes sont mignons et les titres craignent [OS]   Les ânes sont mignons et les titres craignent [OS] EmptyMer 7 Jan 2015 - 22:43



Les ânes sont mignons et les titres craignent

Évolution d'Ash

Bon, j'vais être honnête : je n'ai pas d'explication raisonnable pour la position dans laquelle je suis actuellement. Et le seul fautif, ben... C'est moi. C'est pas la première fois que je me retrouve dans ce genre de situation malheureusement, parce que bizarrement, c'est comme si elles venaient à moi tout naturellement, et la plupart du temps ce n'est même pas de ma faute. Nan mais j'vous assure hein, et même si l'autre andouille débile derrière son clavier dit que c'est la faute de mes plans foireux et de mon manque de cerveau, ben c'est pas vrai. J'suis juste malchanceux. Très, très, très malchanceux. Tellement malchanceux qu'à chaque fois que j'ai une idée, ben tout se passe pas comme prévu, mais j'vous assure que je réfléchis à chaque fois, hein ! Ou du moins j'improvise, mais l'improvisation c'est très bien et quiconque me dit le contraire est un abominable menteur. D'accord, d'accord, quand j'ai voulu voir combien de temps je pourrais tenir avec un régime uniquement constitué de bouffe de fast-food, je reconnais que c'était une mauvaise idée et que la tronche de mon médecin devant mes analyses de sang faisait peur, mais au moins c'était marrant. Nan mais j'veux dire, il était tellement épouvanté qu'il avait tangué, et du coup il s'était ramassé et c'était drôle ! … Nan ? Y'a que moi qui trouve ça fun ? Bon, d'accord, j'dis plus rien.
Le point est que là, je ne peux pas nier que le fait que je sois autant dans la merde soit complètement de ma faute. Quel est le problème, me direz-vous ? Ben, euh... Comment le dire sans que ça ne paraisse vraiment très grave... Hmm... Disons que j'ai le canon d'un revolver pointé sur ma tempe gauche et que je suis en train de jouer à la roulette russe.

Ouais, d'accord, d'accord, je reconnais que ça ne sonne vraiiiiment pas bon dit comme ça. Même pas du tout ouais. C'est même carrément la merde. Et très sincèrement, pour le coup, là... Je crois que pour m'en sortir facilement, c'est cuit. Pour m'en sortir tout court, ça va déjà être monstrueusement dur, disons. Pas que la difficulté me dérange, au contraire, j'suis même du genre un peu maso qui aime bien quand une situation me demande de donner plus d'efforts, tout ça pour avoir le plaisir de me dire que je m'en suis sorti quand même ; ça fait du bien à mon ego, quoi. Mais là je dois dire que je me passerais bien de cette difficulté supplémentaire : comprenez bien que même moi j'ai mes limites, quoi que puisse dire Isaac sur le fait que je suis un 'imbécile complet'. Ben déjà je suis un imbécile absolu, c'est pas pareil qu'un complet. Me demandez pas pourquoi, en fait c'est juste une question de termes : je  n'ai pas envie de partager un adjectif avec du pain.
Breeeeef. En jetant un coup d’œil sur le flingue pointé sur ma tempe – c'est qu'il est joliment nettoyé en plus, on en arriverait presque à croire qu'il est neuf – je ne peux pas m'empêcher de... Ooooh, c'est un magnum ! D'ailleurs, quelqu'un sait pourquoi une marque de glace porte également ce nom ? Je m'étais dit que bon... Si on considère qu'une glace triple chocolat cœur au caramel aux éclats de noisette provoque une explosion des artères, ben alors une balle de magnum dans la tête provoque une explosion de la cervelle, ou du moins un équivalent un peu plus glauque. Mais à bien y réfléchir maintenant je me dis que c'est l'explication la plus boiteuse du monde, presque autant que la fois où j'avais réussi à persuader Clive que les crêpes étaient en fait des pancakes qu'on tuait et que c'était pour ça qu'elles étaient si plates.

Ah, pardon. Donc je disais que je ne pouvais pas m'empêcher de remarquer que le gars qui me pointe un flingue sur le crâne, un charmant bonhomme d'un mètre quatre-vingt pesant au moins cent deux kilos et qui avait le corps aussi tatoué que le carnet de dessin d'un môme est colorié, n'avait pas l'air d'avoir particulièrement envie de me relâcher et de me laisser le choix. Nan mais j'le comprends aussi hein, c'est son job.

« J'peux porter le flingue ? Au pire vous me tenez le poignet pour que je ne puisse pas le retourner contre vous, mais quitte à jouer à la roulette russe, autant le faire en suivant le principe du choix, nan ? »

Ma proposition est accueillie dans le silence absolu. En même temps, vu l'ambiance de la pièce... Ouais, disons qu'on a vu mieux. Mais bon, ce n'est pas la pire cave secrète que j'ai jamais vu, et certainement pas la dernière, ou du moins j'aimerais bien que ce ne soit pas la dernière ; inutile de penser à ça par contre, le pessimisme ne mène à rien du tout. Je disais donc que les gars (et les femmes, si on ne pouvait pas reprocher quelque chose à ces bandits c'était qu'ils étaient étrangement égalitaires) ne paraissaient pas très chauds, mais quelques regards échangés entre eux plus tard et un gloussement de la petite asiatique du fond plus tard, on me laissait choisir. Enfin, j'indiquais par un hochement de tête, hein, faut pas abuser non plus, ils n'avaient pas envie de me laisser avec un flingue dans les mains, ce que je comprenais. C'était déjà poli de leur part, il faut le reconnaître.
Autant dire que je n'ai jamais eu autant envie de prendre mon temps pour un choix, mais bien sûr je ne peux pas vraiment faire ça ; c'est dommage, quand même. J'aurais pu caser un petit « Ave Maria » pour la forme... Même un « Veni, vidi, vici » parce que-... Ah oui, c'est pas le même registre du tout. Vous m'excuserez, jouer à la roulette russe et risquer d'avoir ma cervelle répandue sur les murs comme la confiture d'une tartine tombe sur le sol, ça a tendance à me faire penser bizarrement.

« Je peux avoir un bonbon si je m'en sors ? »

Ma plaisanterie tombe dans l'oreille d'un sourd. Littéralement, en fait : le gars qui me fusille du regard à côté se fait tout traduire en langages des signes par un interprète à côté, et c'est le seul qui glousse. On fait avec le public qu'on a, que voulez-vous. En soupirant, je finis par me dire que j'ai au moins une chance sur huit de m'en sortir. C'est bien ça, une chance sur huit. C'est déjà mieux qu'une chance sur cent, mais je doute qu'il existe un magnum suffisamment grand pour ça.
Une chose à faire remarquer, tout de même : plus quelqu'un est grand et fort, plus sa faiblesse est facile à atteindre. Il existe un petit quelque chose qui rend tout bien plus facile à ceux qui sont plus petits que les autres : le centre de gravité. Une fois ça frappé, c'est quasiment fini pour le type en face, car si vous n'êtes pas trop longs à agir, vous aurez bien le temps de lui briser le cou une ou deux fois. L'utilité et l'efficacité de la deuxième fois par contre, je ne les garantis pas.
Ce détail vous fera vite comprendre comment j'ai pu m'en sortir. Je ne pensais pas que le mec à ma droite qui pointait un flingue sur moi tomberait aussi vite après un coup dans l'arrière des genoux, mais si. Mes gestes sont rapides et presque robotiques tant l'action est habituelle pour moi maintenant : un coup dans son plexus solaire suivi d'un sur la nuque, touchant ainsi le nerf qui me permet de le mettre à terre en quelques secondes à peine. C'est fou ce que c'est impressionnant quand ça tombe une montagne de muscles, et à quelle vitesse ça peut renverser une table, donc par conséquent des chaises.

Le bordel s'installe vite, et c'est tout à mon avantage. Pendant que les autres s'occupent de chercher leurs flingues pour essayer de répandre mes organes partout dans le but de faire une sorte de nouvelle peinture de la pièce (qui au passage en aurait bien besoin, ça ne coûte pas si cher d'ailleurs deux ou trois pots, à la limite je leur payerai après si quelqu'un d'autre crève aujourd'hui, suffit de trouver un truc tout noir ou rouge, pour l'ambiance), je me dépêche de saisir le flingue.
Rapidement, je saisis le premier gars que je peux attraper et je tiens mon bras en dessous de son cou, juste assez pour le serrer et le retenir, tandis que l'arme que je tiens se pose sur sa tempe. En tout, deux armes sont pointées vers moi, dont celle de l'interprète ; il était armé tiens, lui. Ça fait un joli cercle pour tout dire, ou du moins ça en ferait un sympa si il n'en manquait pas un pour le compléter : l'ironie du sort est que c'est moi qui le retient. C'est pas très cool de faire ça, mais ce n'est pas comme si j'avais des remords, là.

« Dooonc... Vous me laissez sortir en vie et j'oublie le fait que vous avez tenté de me buter ?

- Même pas en rêve, crevard.
- Si on parle de 'crevard', techniquement... Ça serait plutôt le gars que je m'apprête à utiliser comme pot de peinture si j'en vois un seul bouger un centimètre. J'ai pas énormément envie de me tâcher aujourd'hui, alors si on passait au dessus de tout ça comme des grands et qu'on apprenait à se parler et à vivre dans un monde d'amûr, ça serait bien.

- Tu sortiras d'ici avec les pieds en avant, Noctis.

- Pour marcher ça doit forcément être le cas, hn ? »

Mon sarcasme ne leur plais pas, visiblement. En même temps, je crois que moi-même il ne m'apprécie pas trop, vu qu'ils veulent me liquider dans la minute : et moi qui croyait que ces gars seraient sûrement des contacts fiables et intéressants ! Je me suis planté le doigt dans l’œil, et là sincèrement ça serait plus une épée qu'autre chose. J'aurais peut-être dû faire confiance à Isaac mine de rien, mais ça je ne lui dirai jamais : il prendrait trop la grosse tête, ce con. Mais si je veux le voir, je dois rentrer vivant, et de préférence avec tous mes membres entiers. Et me laver aussi. Parce que je doute de sortir d'ici sans une nouvelle coloration de ma veste, si vous voyez ce que je veux dire.

« Vous n'avez pas l'intention d'être gentils, hein ? »

Les regards meurtriers que je reçois en réponse m'indiquent que non. Avec un soupir, je finis par lâcher l'affaire et tape deux fois du pied sur le sol. Signal lancé. Je ne voulais pas en arriver là, mais en venant ici, j'avais prévu un plan de secours si les choses tournaient vraiment mal... Et visiblement, j'ai eu raison.

« C'est dommage... »

En deux secondes à peine, un gaz violet et opaque se répand dans la pièce, et je profite de cette occasion pour me cacher derrière des caisses en bois qui ont sûrement été déposées là par la bonté d'Arceus ou une quelconque autre divinité ; je ne vais pas de poser de questions vu que ça me sauve la vie. Deux coups de feu résonnent très, très près de moi, puis des sons de toux brusques et violentes arrivent à mes oreilles. Je ne peux pas m'empêcher de sourire un peu en me rendant compte de la vitesse à laquelle se répand la fumée, et remercie intérieurement mon casque pour le fait qu'il me sauve la vie : le filtre que j'ai installé il y a de cela quelques années aura été l'ajout le plus intelligent que j'ai jamais fait à ce truc. Une putain de mise à jour en or : à côté, celles de Windows c'est de la merde lyophilisée en boîte. Et d'ailleurs, qu'on m'explique à quoi ça sert de mettre à jour Windows toutes les cinq minutes, surtout quand au final ça rajoute plus de conneries sur mon PC, et-... Ah oui. Le gaz toxique mortel, c'est vrai.
Comme je l'avais prévu, au bout d'une minute, je les entend tanguer, geindre et jurer tout à la fois ; au bout de deux, ils sont tous tombés. Oh, rassurez-vous, ils ne sont pas morts : ou du moins, ils ne mourront pas si j'ouvre la porte fermée à clé par leurs soins (l'ironie du sort, soit dit en passant, laisse songeur) et leur laisse donc de l'air pour respirer, ainsi que la possibilité d'être secourus.
… Sauf que je ne le ferai pas. Vu que l'espace est entièrement clos, le gaz qui s'est déjà répandu dans leurs poumons va les achever en dix minutes à peine, si ce n'est moins. Comprenez bien que je ne prends aucun plaisir à cet acte, mais puis-je vraiment leur laisser la vie sauve maintenant que je sais qu'ils tenteraient à tout prix de me tuer dans le cas contraire... ? Si j'étais découvert, qu'arriveraient-ils à ceux que j'aime... ? Il suffit que l'image d'Alice m'arrive en tête pour que je laisse mes regrets de côté, et je ne sais pas si c'est bien ou mal. Au fond, je dois avouer que je m'en fiche, et que la raison de cette interrogation est purement égoïste, c'est-à-dire que je désire plus effacer ma culpabilité qu'autre chose, et pas me poser de questions sur mes actions. Mais là encore, ce n'est pas réfléchir qui m'a sauvé, mais agir, comme tant d'autres fois avant. Il y a des choses qui ne changeront jamais, je crois. Ou du moins ça me fait plaisir de me dire ça, mais ça je crois que c'est une hypocrisie universelle, digne de l'arrogance humaine.

En sortant finalement de ma cachette, je finis par jeter un coup d’œil près de la table renversée, et ne peut retenir un rictus devant la vision de ce Mouf-, non pardon, de ce brave et grand Moufflair qui se tient là, calme et silencieux devant les fruits de son œuvre. Étonnamment, Ash avait très rapidement proposé son aide pour m'aider dans mes tâches liées à Noctis, et son efficacité me surprend encore. Sa froideur nonchalante aussi d'ailleurs, car ce ne sont pas tous les pokémon qui peuvent tuer sans plus d'états d'âme que ça ; je crois qu'il me fait tellement confiance qu'il ne posera jamais de questions, et ça par contre, je sais que c'est une mauvaise chose. Pourtant, ce n'est pas ça qui me stoppe. Mais il y a plus urgente situation actuelle que la fidélité presque effrayante du Moufflair : il faut partir, et vite. D'autres arriveront vite, je le crains, et j'ai une besogne à terminer avant ça.

Je prends tout de même deux secondes pour caresser la tête d'Ash et le congratuler comme il le faut, avant de le ramener dans sa ball : il est préférable que pour ce qui va suivre, il ne soit pas là. J'entends déjà la porte être frappée, alors aucun doute qu'elle sera défoncée d'ici très peu : je n'ai plus d'autre choix que de faire le ménage avant qu'ils n'entrent et ne soient sauvés. Ça me fait grincer des dents, mais soit : ce n'est pas la première fois de toute façon.
C'est fou à quel point tuer quelqu'un est rapide avec un flingue. Le poison, ça demande du temps et de l'attention, les armes blanches de la précision et un peu de chance quand même, les mains nues de la force et une connaissance impeccable de l'anatomie humaine. Mais une balle et une arme à feu ? Même le plus grand des abrutis peut se débrouiller tellement c'est enfantin. Ça ne prend que l'appui d'une gâchette, en plus de ça : pas davantage de considération ou de force à employer pour réfléchir à l'acte avant de le commettre. J'appuie une fois, et...

« Mais j'serais pas mort en fait ! »

Ouais, l'exclamation est sortie toute seule. Désolé d'être glauque, mais je viens de me rendre compte que si le gars avait tiré, je m'en serais sorti, parce que j'aurais eu une putain de chance en argent massif. Après, ils m'auraient sûrement tué pour de bon aussi, à ne pas en douter. Oui bah excusez-moi, les situations de stress amènent les réactions étranges, c'est comme ça !
Bref. Le reste va vite, tellement vite que j'en viens même à me demander si ce que je fais sert à quelque chose, mais je me rappelle que oui ; en plus de moi, c'est contre la résistance toute entière que sont ces gars. En soupirant, je m'occupe de la tâche qui est la mienne : les quatre coups résonnent vite, avec des secondes d'intervalle à peine, et c'est fini. Ne reste plus qu'à sortir d'ici et à franchir l'endroit où la téléportation ne peut pas avoir lieu à cause des barrières psychiques, et je pourrais m'enfuir.
Crocheter une serrure est d'une facilité déconcertante maintenant, avec l'expérience qui se joue guide et protectrice. Je passe ensuite par une fenêtre, me hisse sur le toit, fait appel à Hadès pour qu'il m'emmène au plus vite loin d'ici et me dépose dans un endroit isolé, loin de tout ça. Après cela, il suffit d'un petit geste de Daryl pour qu'il me téléporte dans une planque où je pourrais me changer, et essayer de me remettre mes idées en place. Puis aller chercher Alice à l'école, et faire comme si tout allait bien. Comme à chaque fois qu'une merde comme ça arrive.
Et définitivement manger une glace. Ces cons m'en ont donné envie, maintenant.
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