INFORMATIONS
   NOM: Adamovitch
   PRÉNOM: Judickaël Amond
   SURNOM: Judi après vous faites ce que vous voulez
   PSEUDONYME(S): Dead Angel - Nom de régimeux
   ÂGE: 24 ans
   DATE DE NAISSANCE: 20 Avril
   SEXE: Homme
   GROUPE: Habitant Régime
   RÔLE: Soldat
   MÉTIER/ÉTUDES: Tortionnaire, médecin légiste
   ORIGINE: Russe

PHYSIQUE
   COULEUR DE PEAU: Blanche comme la neige de la Russie puis douce car monsieur s'en occupe.
   CARACTÉRISTIQUES DES CHEVEUX: Les cheveux de Judickaël sont un vrai mystère, on prend une pincée de bleu argenté avec des reflets blancs, ajoutez à ça, deux louches de longueurs pour avoir une chevelure qui touche presque le sol.
   CARACTÉRISTIQUES DES YEUX: Ses yeux sont des tailles et de formes plutôt dans les normes, sauf qu'il a un oeil bleu, le gauche et le droit est vert avec quelques reflets jaunes. De beaux yeux vairons.
   DESCRIPTION DE LA SILHOUETTE: Il mesure dans les 1m74, son poids reste un mystère sous clef. Il est assez androgyne avec des bras et des jambes fins, proportionnés mais méfiez-vous, ils sont très aptes pour se battre, surtout lorsqu'il utilise son magnifique katana.
   PARTICULARITÉ: Une marque au fer rouge dans le dos avec marqué ' Animal n°1 ' en Russe. Il a aussi des cicatrices de coupures, plusieurs, très nombreuses malheureusement à l'intérieur de ses cuisses et à l'intérieur de ses avants-bras. D'ailleurs il a le réflexe de les gratter nerveusement quand il n'est pas bien. Il est très soigneux au niveau de ses ongles et de son corps en général.

CARACTÈRE
   PERSONNALITÉ: Comment décrire Judickaël... C'est une grande question ça ! Judickaël étant tellement complexe même pour lui-même que le décrire donnerait mal au crâne à tous ceux qui essayeraient d'expliquer ce personnage.

Commençons par le premier trait de caractère qui définit le mieux Judickaël. Il est curieux. Mais pas qu'un peu, il veut tout savoir. Absolument tout et dans tous les domaines. Peut-on rester en vie si on t'enlève la peau, petit bout par petit bout chaque jour ? Peut-on mélanger du liquide vaisselle à des épinards pour les rendre savoureux ? Enfaite, c'est... Comment expliquer ça. Si quelque chose lui échappe, il fera tout pour savoir. Quitte a être violent, bizarre et... Flippant.

Ensuite, Judi est un jeune homme qui aime faire souffrir les autres. Bon, il n'est pas fan de lui prendre des coups, mais il ne va pas pleurer car on lui a cassé un bras. Non, il va juste hausser les épaules et aller se faire soigner, au pire des cas il va rire, la douleur il connait, la vraie douleur. Une balle dans l'épaule ? Pff, pacotille. Non, il a vécu pire et il se fera plaisir de faire vivre encore bien pire à ses victimes. Les résistants par exemple... ?
Sadique... ? Non pas vraiment. Il est plus cruel et bêtement méchant que sadique. Ce n'est pas un fou dangereux. Il ne fait pas mal pour le plaisir... Enfin si, mais que ceux qui le méritent, selon lui. Il ne se dit pas ' OH MON DIEU ! Un roux, je vais lui faire du mal ' Non, il ne va blesser que s'il juge que la personne mérite ses coups de martinet et de fouet.

Après que dire... Il s'en fiche pas mal des autres, non il n'est pas égoïste, juste qu'il n'a pas d'empathie. Vous souffrez ? Il s'en fiche. Vous êtes triste ? Il s'en fiche encore plus. Vous lui portez de l'intérêt ? Ah là par contre il vous regardera avec plus d'intérêt, car normalement il a l'habitude qu'on l'ignore ou qu'on le déteste. Bien sûr, cette haine ne l'aide pas à devenir plus gentil. Justement, il se renferme sur lui-même et deviens encore plus méchant et cruel. Mais pas cruel pour deux sous, ne l'oublions pas.

Judi n'est pas très très bavard non. Parler est presque un supplice pour lui. Sauf quand il s'entend bien avec quelqu'un, là, accrochez vous à tout ce que vous trouvez, il vous parlera beaucoup, de tout et de rien. Mais c'est tellement rare que quelqu'un veuille lui parler que bon, il reste muet la plus part du temps, ricanant simplement dans sa barbe de temps en temps. Aussi il ne fait jamais le premier pas, jamais il ne s'approchera de quelqu'un pour lui parler, il préfère rester loin, très loin quitte à rester seul jusqu'à la fin de sa vie. Cela implique donc qu'il n'est pas très social, il n'aime pas particulièrement être seul, juste qu'on va dire qu'il n'a pas le choix...

Monsieur est très ordonné. Il déteste d'ailleurs quand tout est en bordel autour de lui. Il est à la limite du maniaque. Pas de tâches de sang de trop sur ses mains, pas un crayon qui dépasse de sa trousse, pas une feuille pas parfaitement alignée aux autres. Non, monsieur est parfait de ce côté-là, il ne se gêne pas pour ranger chez les autres quand ça lui déplait. Quitte à fouiner partout, même dans les sous-vêtements des jeunes filles et des jeunes garçons pour ranger comme il l'a en tête. En même temps, il nourrit sa curiosité. Cela lui donne un petit... Très petit côté envahissant. Mais il est maniaque, pointilleux et perfectionniste. Et monsieur ne changera pas.
Judi est franc... Très franc... Trop franc. Enfaite il dit tout ce qui lui déplait, quitte à se prendre des coups. Mais c'est comme ça, au moins, pas de problème d'hypocrisie avec lui vu qu'il est très franc et honnête.

D'ailleurs s'il vous aime bien il n'hésitera pas à le cacher. Oui là par contre il fait son tsunder et ne dit rien.
Amond n'est pas peureux, enfaite il n'a pas peur de rien, les choses qui l'effraient le plus sont: Certaines femmes [ Explications dans l'histoire ] son propre sang et les crâne de bouc. Bien que la première peur est plus un dégoût qu'une peur. Sinon, le contraire de peur, courageux. Bon, il n'est pas une mauviette mais il n'est pas non plus téméraire, il n'ira jamais sauver quelqu'un qui se fait agressé, déjà parce qu'il s'en fiche mais aussi car il n'a pas envie de prendre des coups bêtement. L'exception étant pour les gens qu'il aime, là il sacrifiera son corps, son âme et son esprit pour sauver une personne qui lui est cher. Vous comprenez donc bien qu'il évite de s'attacher aux gens. Mais c'est plus dans leur intérêt qu'il fait ça.

Judickaël ne manque pas de confiance en lui, mais il n'en abuse pas non plus, il sait ce qu'il peut faire et ce qu'il ne peut pas faire. Il est très réaliste quand il s'agit de son corps, il sait, que sauter entre deux ponts, même s'ils sont très près est idiot, une chute mortelle c'est... Mortelle.
Parlons de traits superflus... Judi est indépendant, ça c'est sûr, il sait très bien vivre seul et n'a besoin de personne pour survivre. Il est aussi très mauvais perdant, il déteste par-dessus tout perdre, que ce soit dans un combat pokemon comme dans un tournoi de carte. Il aime gagner, il aime la gloire et l'admiration, mais même s'il déteste perdre il déteste tricher et les tricheurs. Il est légèrement possessif mais pas à l'extrême, rien de dérangeant. Par contre il adore se savoir désiré, oui, une petite pensée égoïste pour finir. Il n'est pas trop jaloux avec ses amis et un peu plus avec la personne qu'il aime.

Voilà un caractère complexe qui se finit sur une chose... Il est absolument interdit de regarder le dos de Judickaël, qui que ce soit ose le faire découvrira une facette du caractère de Judickaël qu'il ne souhaitera plus jamais revoir. [ Je précise que si c'est lui qui décide de le montrer il ne fera rien, si on le force à le montrer... ]
   GOÛTS & DÉGOÛTS: Il déteste les femmes, la saleté, les résistants. Après il déteste les montagnes Russes car pour lui ça fait référence à ses fesses. Alors il appel ça les montagnes Allemandes car ils ont un passé en commun et eux aussi doivent être humilié par des manège. Il n'aime pas l'alcool non plus.  Après il adooooooore le Japon, les glaces, le sucre, arracher des ongles, les nounours, les enfants, un de ses lourd secret, il est fan de la chanson ' PONPONPON ' et il danse comme un idiot dés qu'il l'entend, mais que si il est seul
   ASPIRATIONS & PEURS: Aspiration : Détruire la résistance et faire régner la terreur du régime. Peurs... Il a peurs de se faire retrouver par ses tortionnaires et ne pouvoir rien faire.
   ALLÉGEANCES: Régime car il déteste le désordre et il veut faire régner la loi du plus fort. Et aussi car il n'aime pas les petites bêtes qui ne savent qu'aboyer.

BIOGRAPHIE


   Chapitre 1 - La naissance d'un ange

Tout commença, le soir froid d'un 24 mars. Une femme russe d'une trentaine d'année du nom de Rosalina mit au monde, dans un hôpital sale et surement hors des normes d’hygiène, un petit être fragile et faible, blanc comme neige avec quelques cheveux bruns sur son crâne si petit. Un magnifique bébé qui malgré tout était très petit, né prématurément à 7 mois et demi. Elle n’eut pas le droit de toucher au nourrisson avant plusieurs semaines. Le petit étant trop fragile pour sortir de la couveuse.
Après presque un mois en couveuse, la jeune femme put récupérer son enfant qu'elle ramena dans sa maison en piteuse état. Un petit cabanon aux alentours d'une grande ville russe. Elle vivait seule dans sa misère avec un enfant très fragile. Mais elle l'aimait et n'hésita pas à lui donner un nom qui sonne très religieux pour montrer au monde son miracle. Elle le choyait comme les plus riche choie un diamant précieux. Elle vendait son corps pour offrir du lait à ce bébé et des vêtements chauds pour l'hiver éternel.  Pour Rosalina, Judickaël était un miracle car elle lui offrait de la chaleur le soir, de l'amour rien qu'en serrant son petit doigt et même quand il pleurait, elle aimait plus fort son bébé.

Chapitre 2 - Le retour d'un père

Le jour où le père de Judickaël décida de se montrer, l'enfant avait 5 ans. Il grandissait paisiblement avec sa mère qu'il aimait plus que tout, dans la misère la plus totale. Il ne connaissait ni l'école ni la chaleur de deux bras forts qui peuvent te soulever. Car la mère de Judickaël était faible et ne portait alors jamais son enfant, de peur aussi de le faire tomber et de lui faire mal. Le jour où cet homme, un grand bonhomme de presque 2 mètres, habillé en costume avec sa montre en or, arriva dans le piteux patelins où vivait Judickaël et sa mère, les moqueries fusèrent. Un homme de son rang qui vient voir la prostituée du village, qui l'eut crut ? Judi se cacha rapidement derrière sa maman en voyant cet homme. Et sa mère elle, se lança dans les bras musclé du père de son enfant. L'absence du père fut justifiée par le fait qu'il travaille trop pour s'occuper d'un enfant en bas âge et d'une femme. La mère, naïve accepta cette excuse, mais l'enfant déjà savait que son père mentait. Il ne voulait pas récupérer sa femme et son enfant, non, il ne voulait... L'enfant ne le savait pas à l'époque ce que voulait son père.

Chapitre 3 - L'enfant prodige

Intelligent est un mot trop faible pour Judickaël, il dépassait toutes les attentes de ses professeurs et de ses parents. Il dépassait de loin les autres surdoués de sa classe. Malheureusement il finissait donc par s'ennuyer et ne plus rien faire en cours. Il ne prenait aucune plaisir à étudier, aucun plaisir à se donner des défis, non, il s'ennuyait et donc refusait de travailler. Mais il n'est pas l'intello nul en sport, non, il excellait en sport aussi, sauf peut-être en endurance où il avait des faiblesses. Mais bon, son père étant un fan de cyclisme, son fils devait aussi exceller là dedans. Alors il se déchainer sur les pistes cyclable pour avoir l'un des meilleurs temps, quitte à finir les poumons sur le guidon. Rien ne passionnait l'enfant de 12 ans, il ne savait plus quoi faire pour être surprit. Alors son père eu la bonne idée de lui faire découvrir la science et ses bienfait. Le soir, un enfant normal va faire ses devoirs, jouer, manger et se coucher ? Là Judickaël rentrait, allé dans le labo de son père et s'amuser à ouvrir des petits animaux encore vivant pour voir comment fonctionne leur organisme, essayant de les garder vivant le plus longtemps possible. Ce petit jeu malsain le faisait glousser, enfermé tel un fou dans un labo sans fenêtre en train de faire souffrir des petites bêtes innocentes. Pour le moment, ce n'était que des animaux...

Chapitre 4 - La folie de la mère

Quand on passe de vie minable dans un village de gens malhonnête qui te crache dessus à une grande villa, entouré de luxe et de luxure, certain finissent par avoir le melon. Et ce fut le cas de la mère de Judickaël, elle enchainait soirée sur soirée, coup d'un soir sur coup d'un soir, bijoux sur bijoux, elle avait tout, la puissance, la richesse et une vie sexuelle dont elle rêvait. Elle put tout refaire chez elle pour être la parfaite bombasse sur laquelle on se retourne. Son mari ne s'en plaignait pas bien qu'il passait plus de temps avec son fils prodige qu'avec sa femme qui le traitait comme un chien. Elle avait la puissance et le pouvoir, donc le pouvoir de soumettre son mari, de le rendre faible et de le traiter comme un chien. Tout ça devant les yeux innocent de son fils, elle lui montrait les mauvaises facettes d'une femme, celle qui bat son mari, celle qui l'insulte. La femme horrible. Très vite, dans sa tête, toute femme avec un tant soit peu de caractère ne mérite rien que son déni. Pour lui, une femme doit être soumise et doit lui obéir. Cette idée machiste était gravée dans son esprit et elle y est toujours, bien que moins présente car il s'interdit de côtoyer des femmes, de peur de justement faire ressortir ce côté horrible de sa personnalité.
Sa mère ayant le pouvoir, elle voulait tout savoir des activité de son fils, et quand elle découvrit ses plaisirs macabres elle en voulu immédiatement à son mari qu'elle frappa presque jusqu'à la mort. Folle de rage et pleine d'alcool, elle brûla le laboratoire de son fils, elle avec. Piégée, elle brûla rapidement. L'enfant se retrouva avec un père qui avait perdu toute confiance en lui et un laboratoire brûlée. Tout doucement, Judickaël sombra dans une folie sans nom.

Chapitre 5 - Le commencement

Il ne supportait plus de voir son père qui pleurait tous les soirs, il ne supportait plus ses profs qui l'engueulaient car il ne travaillait pas, il ne supportait plus rien. Alors il fit ami-ami avec des scientifiques... Fou pour apprendre. Tout apprendre sur le corps humain, comment le faire souffrir, comment le soigner, tout, il voulait tout savoir sur l'être humain. Mais que font des scientifiques d'un garçon de 17 ans, surdoué, en deuxième années de médecine et trop curieux ? Ils le torturent... Oui, des scientifiques fous. Ils enfermèrent l'enfant, lui expliquant que pour comprendre un humain, il faut devenir un animal. Croyant ces hommes comme on croit un dieu, le garçonnet se laissa faire, il avait l'approbation de son père, alors pourquoi pas ? Passer un mois dans le noir, enfermé et attaché, rien ne pouvait être plus amusant pour un jeune homme légèrement dérangé. Ce qu'il ne savait pas c'est que ces hommes testaient sur lui un nouveau moyen de torture, la torture à long terme... Chaque jour, les scientifiques venaient et lui faisaient une horreur. D'abords ils lui arrachèrent les ongles un par un, après ils plantèrent des aiguilles dans ses globes oculaires, ils lui déboîtèrent les épaules plusieurs fois, enfin bref, un cocktail de bonnes choses. Il passa deux mois dans cette chambre, ne voyant le jour que quand les scientifiques ouvraient la porte. Quand il sortit enfin, il ressemblait à un zombie, son corps était mutilé, psychologiquement, c'était pas chouette et pourtant, il ne voulut pas s'enfuir quand on lui retira ses liens. Il se laissa transporter par les hommes qu'il vénérait et les laissa faire leur dernier crime. Ils marquèrent l'adolescent d'un sceau dans son dos, tel un animal que l'on marque. Ils brûlèrent la peau sale de Judickaël au fer rouge et jetèrent presque un cadavre devant la villa du père qui ne s'était même pas inquiétait de l'absence de son fils. Le jeune homme, marqué, rentra chez lui comme si de rien n'était, se lava, se changea et alla voir son père.

" - Tu ne m'as... Même pas cherché. "

Il força son père à se suicider, ne voulant pas se salir les mains. Il était devenu manipulateur et cruel, il s'amusait à détruire les quelques petites cellules de joie dans le corps de son père et le laissa se suicider avec une lettre... Une lettre pleine de révélations.

" Cher parents, proche ou ami...

Si vous lisez cette lettre, c'est qu'un canon d'une arme non déclarée a finit dans ma bouche pour venir repeindre l'un des murs de ma maison.
Je vous ai menti, je ne vous ai pas tout dit. Il me reste quelques forces et peu de courage pour écrire ces mots. Ces mots douloureux qui, j'espère ne vous feront pas me détester. Je suis un homme horrible et faible. J'avais une vie paisible jusqu'à que je rencontre cette femme. Une belle femme qui m'avait séduite, elle jouait avec ses charmes et je me laisse avoir, lui offrant un enfant. Le boulot ? Quelle excuse, je ne voulais pas admettre que j'avais un fils, de peur que ce soit le dernier des idiots comme sa mère, une cruche avec une boite vide à la place de la tête, mais je ne cherchais pas une femme à l'époque, juste une belle nana qui pouvait me satisfaire. Je travaillais enfaîte très peu, j'étais en collaboration avec des hommes louches mais ils me vendaient du rêve avec leurs expériences foireuses et leur désir d'arriver à leur fin. Ils n'avaient juste pas le cobaye parfai. Moi j'en avais un. Un enfant, un tout petit enfant innocent qui aller tout faire pour son papa. Mais je ne pouvais leur donner un enfant de 5 ans qui pleure encore la nuit quand il n'a pas sa mère. Non, je dois le former, le manipuler, détruire son humanité et son enfance. Et rien de mieux que d'avoir un fils prodige qui se fiche de sa vie et de celle des autres. Vraiment, un garçon parfait pour l'expérience. Je lui souffle un passe-temps macabre, la dissection d'animaux. Il était passionné et moi ravis. En contre partie, je devais supporter une femme immonde qui me frappait et m'insultait, mais la tuer de mes propres mains n'est pas très drôle. Alors je choisis quelque chose de plus simple.

Un jour que Judi était à l'école, j'ai ouvert son labo pour que sa mère tombe dessus en sortant dans le jardin. Quand elle rentra pour découvrir ce qu'il y avait, comme je l'imaginais, elle est devenue folle et a tout fait brûler, crevant comme une sorcière au bucher dans le labo de mon fils. Comme je l'imaginais, la perte d'une mère atroce corrompue par les amants à répétition et la richesse ne le marqua pas plus que ça, quelque chose de suffisant. Je devais jouer la larve, l'homme abattu de la perte de sa femme, pleurant le soir et me laissant dépérir, mon fils, trop idiot pour se rendre compte de ma supercherie plongea dans mon piège la tête la première.
Mes anciens collaborateurs qui ont attendue si longtemps que mon fils soit parfait ne furent pas déçus de voir un garçon en pleine forme et fou de science macabre. Comment l'ont-ils découvert ? Et bien j'ai négligemment laissé une lettre sur la table du salon avec tout un spitch qui explique ce que faisaient ces scientifiques fous avec leur numéro et mon fils, las de sa vie, allait forcément se jeter dessus. J'ai ri, ri, tellement ri quand je l'ai vu partir qu'il m'a fallu eu semaine pour m'en remettre, il était sûrement mort avec du cyanure qui coule le long de ses lèvres. Malheureusement pour moi, les scientifiques m'ont contactés pour me dire qu'ils étaient ravis de tester leur torture sur long terme sur mon fils, je voulais le voir mourir, pas revenir. S'il apprenait notre lien, s'il apprenait que je l'ai manipulé, il allait me tuer, mais je l'ai fait avant qu'il m'empoisonne dans mon sommeil. Quand il est revenu, il avait changé, il était horriblement froid, un regard sombre et... Il était particulièrement méchant avec moi, il ne me frappait pas, mais il détruisait ma vie, mes espoirs. Je suis vieux et j'ai du mal à marcher seul à cause d'une maladie et je tombais souvent, il me laissait au sol pendant des heures avant de me relever, un vrai monstre mais il ne m'a jamais fait de mal.

Je ne supporte plus d'être une larve sans utilité alors je vais mettre fin à ma triste vie, laissant mon corps à la science car... C'est toujours ce que j'ai voulu et ça ne changera.

A toi mon fils qui va lire cette lettre en premier... Je te détestais, je voulais te rendre parfait mais tu as glissé entre mes doigts. J'espère qu'ils te retrouveront et qu'ils te tueront. "

Mourir... Le père de Judickaël était maintenant mort et il venait de souhaiter celle de son fils. Un rictus déforma son visage et il hésita à faire brûler le corps de ce monstre, mais il n'était pas aussi horrible que lui, alors il fit tout ce qu'il fallait pour pouvoir s'occuper lui-même du corps de son père, rien de mieux pour commencer ses études que de travailler sur son propre père.

Dernier chapitre - Enola

Après ses années d'études et son diplôme en poche, Judickaël voulait changer d'air. La Russie, le froid et la villa de son père, il n'en pouvait plus. Il avait envie de partir, de changer d'endroit, de monde, de vie. Il décida alors de partir pour Enola, un endroit qui lui semblait parfait, une dictature, des résistants... Tout plein de sujets à torturer. Un monde parfait pour lui, il s'est renseigné sur l'île, une dictature, un régime donc forcément une résistance, un monde vraiment nouveau pour lui, un monde qui ne connait pas son passé. Un monde qui l'accueillera sûrement. Un monde... Pour lui et sa folie.

HORS-JEU
   PUF: Mika
   ÂGE: Le même
   DISPONIBILITÉ: Trop souvent
   COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM?: Je suis là depuis un mois !
   QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM ET DU CONTEXTE? C'est cool
   PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Kousetsu Samonji [Touken Ranbu]
   CODE: Enola restera forte !
   AUTRE: J'aime les licornes

INFORMATIONS
   RAPPEL GROUPE: Régime - Habitant
   RAPPEL RÔLE: Soldat du régime

TEAM
    - Fantominus ♂ - Paprikorne - Lévitation - Mâlin
   COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Judi l'a rencontré un jour où il essayait de se souvenir du nom de l'épice ' Paprika ' et il lança désespéramment ' Paprikorne ' et le fantominus rappliqua, Judi décida de le prendre.
    - Sonistrelle ♂ - Batman - Infiltration - Calme
   COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Judickaël cherchait un abri en forêt, lors d'une journée pluvieuse et il tomba sur une cave plein de Sonistrelle, un bébé tomba du plafond dans les bras du Russe, trop faible pour survivre seul, le Russe au grand coeur décida de l'adopter en l'appelant par son héros préféré.