« C'est toi ou moi, l'un de nous est de trop! »

''Dégage'', de Bryan Adams.
 
Le Deal du moment : -28%
Précommande : Smartphone Google Pixel 8a 5G ...
Voir le deal
389 €

Partagez
 

 What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Alexander Nagel
Administratrice
Alexander Nagel
Age : 30
Messages : 880
Date d'inscription : 07/07/2013

Âge du personnage : 26 ans, né un 2 février
Métier / Études : Tortionnaire, Dresseur a ses heures, Débute une carrière d'acteur, Se tient actif mais ne sait pas quoi faire de sa vie.
Pseudonyme(s) : ›› Dio Silvery, Officier Subalterne du Régime (principalement tortionnaire et combattant, ponctuellement homme de main).

Niveau : 75
Team active : ››
What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ 1391177529-miniat-6-x-472
››Christopher - Foufou - Hyper Cutter
›Seisme, Aile d'acier

What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ 210
››Sophie - Mauvaise - Intimidation
›Eclair Fou, Poing Feu

What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ 609
››Irma - Gentille - Torche
›Psyko

What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ 319
››Viktor - Jovial - Turbo

What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ 208What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ Miniat_6_r_208M
››Harald - Mauvais - Fermeté
›Seisme

What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ 303What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ Miniat_6_x_303M
››Lorelei - Solo - Intimidation
›Lance-Flamme



What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ Empty
MessageSujet: What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/   What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/ EmptyDim 7 Juin 2015 - 21:18

What about us?

Suite de cet OS

Ou est-elle allée? J’espère qu’elle n’a pas fait de connerie, encore, cette idiote! Voila deux heures qu’on passe le domaine au peigne fin pour la retrouver! Finalement, j’ai fini par prendre mon très cher maitre sur mon dos pour faire le tour des lieux. Mais quelle conne! J’espère qu’Irma n’a pas eu l’idée d’aller se farcir le gros dégueulasse toute seule… Toute cette graisse m’aurait refilé des indigestions en un sens, j’en suis sûr, berk… Enfin, y’en avait pour des mois avec autant de viande dans un humain. Je pourrais prévoir de le manger en plusieurs fois? Enfin, je suppose que c’est pas le moment de baver en pensant à bouffer tartare ou grillé. Grillé, ce serait pas mal. Mais encore plus gras. Hmm… Cruel Dilemme!


« Arrêtes un peu de penser qu’à bouffer Chris, merde! »

Criais-je, quelque peu irrité à mon Scorvol qui s’est mis à baver pour une raison que j’ignore. Et je ne préfère pas savoir. Ce matin au réveil, Irma n’était plus à nos côtés. Elle n’a rien dit depuis le soir de la mort de Ginette, est restée plus longtemps que nous tous devant sa tombe, pour ne pas dire qu’elle y a passé ses journées depuis. Elles partageaient un lien très complice, comme celui qui lie une mère à sa fille. Je crois que sur le coup, nous n’avons tous pas vraiment t réalisé l’ampleur de ce que cette mort signifiait pour Irma, sans aucun recul. Personnellement, ma colère était si forte que je ne pouvais penser à autre chose, et je crois qu’il en allait de même pour beaucoup de mes alliés. Chris n’est pas resté jusqu’au bout de cet enterrement, passant comme un je m’en foutiste comme à son habitude. Cet imbécile a beau ne jamais être sérieux et ne penser qu’à tuer, bouffer et dormir, ce n’était pas difficile de voir que derrière tout ça, il tenait à Ginette. Après tout, lui est moi sommes presque les mêmes, et j’imagine quelque part qu’il aura beau dire l’inverse de ce qu’il pense, l’évidence et la vérité ressurgiront forcément. Soupir. J’en sais quelque chose. Et ça fait chier. Mais bref. En survolant les falaises une énième fois, nous apercevons enfin la silhouette que nous cherchons. Chris descend et me dépose à terre. Mais je m’arrête net en voyant que quelque chose cloche. Le lustre qui sert de corps à Irma est vide, creux. J’effleure des doigts les orbites vides creusées dans le chandelier, puis commence à fouiller les lieux à la recherche de je ne sais quoi. Chris observe longuement le candélabre à terre, met plus de temps à comprendre que moi puis se met à voler dans le coin à son tour, plus nerveux. Merde de merde… Après une nouvelle heure de recherche nous sommes encore bredouilles. Courir ainsi sous le soleil me fait mal au crâne et je vais me poser à côté du lustre qui n’a pas bougé. J’ai l’air malin, à moitié en sueur, et pas rasé, mon T-shirt Kill Bill sur le dos, tout ça car j’ai autre chose à penser que mon apparence, ces derniers jours. Ou est-elle passée… Elle m’a déjà fait le coup, un jour qu’elle était contrariée en retrouvant son assassin, dans la cabane de la jungle d’Anula. C’est la fin de la matinée, déjà, le soleil va monter au zénith… A-t-on seulement la chance de voir un spectre en plein jour et dans un endroit à découvert comme celui-là? J’échange un nouveau regard avec mon Scorvol. On est censés faire quoi, maintenant?

« C’est votre faute. Vous l’avez laissée mourir. »

Une voix d’outre-tombe s’adresse à nous. Elle résonne dans mon oreille, brusquement, comme si un être venait me chuchoter tout près. Un frisson d’effroi m’envahit, et je tourne vivement  la tête, à la recherche de la provenance de cette voix connue.

« Irma? Irma, montre-toi, maintenant! On te cherche dep- »
« Allez-vous en. Laissez-moi en paix. Vous l’avez tuée, avec vos foutues guerres. Vos batailles stupides. Votre armée… Ginette n’était qu’une arme de plus pour toi, Alexander, n’essaie pas de nier. Tu ne vaux pas mieux que ton père. Et toi Chris? As-tu présenté le moindre hommage à cette toute jeune âme qui t’aimait tant, et à qui tu n’as jamais rendu le moindre amour?! Vous l’avez tuée et jamais je ne vous le pardonnerais! »
« Ne redis jamais ça. Je ne suis pas comme lui, et tu sais très bien que tout ce que tu avances est faux. »
« Tais-toi. Si vous ne partez pas sur-le champ, je vous montrerait ma colère. Saches qu’elle peut-être bien plus effrayante que la tienne, "maitre". »


Sur ces mots, l’air commence à se faire plus lourd, un nuage noir surgit de derrière une roche et se rapproche de nous, en son cœur se trouve une silhouette difforme, entourée de  feux follets. Les yeux du spectres brillent et sont fixes, ils me glaceraient presque le sang si je ne savais pas que c’était Irma. Car je la connais. Je ne l’ai jamais vue si en colère, mais j’en sais assez pour deviner qu’elle ne nous fera pas de mal. Quoique, face à l’instinct prédateur qui émane d’elle, même Chris et moi frissonnons. Le Scorvol se met à grogner et veut avancer vers le spectre. Non, je crois que le combat n’est pas une bonne idée cette fois-ci. Je me lève pour marcher vers le spectre qui siffle et semble hurler de plus belle. Une flamme passe tout près,  siffle près de mon oreille, menaçante.

« Irma, ça suffit! Tu crois que j’ai volontairement envoyé Ginette se faire crever?! Si j’avais pu prévoir quoi que ce soit je ne l’aurais jamais envoyée combattre. Mais elle était là, dans le jardin avec Marje et Viktor quand c’est arrivé, et c’est elle qui a choisi de combattre. »
« Qu’est-ce que tu en sais? Qu’est-ce que tu sais d’elle? »
« Je sais que je ne l’aurais jamais forcée à combattre. J’ai beau ne vivre que pour ça, j’ai compris qu’entrainer des alliés involontaires dans ma course était inutile. C’est elle qui m’a fait gagner mon premier badge, rappelles toi! Cela signifie que j’avais en elle une confiance aveugle. Et par dessus tout… Tu crois vraiment que j’avais la moindre envie de perdre deux de mes alliés?! Ce n’est pas le moment de s’éparpiller, putain. Tout le mon de s’inquiète pour toi, Irma. Et tout le monde comprend ta tristesse et ta colère, crois-moi. Nous l’aimions tous. »

Bordel, je me suis retenu de chialer hier. Je me suis retenu toute la nuit car je suis le leader de toute cette armée que j’aime. Et si je tombe, ils me suivront tous dans ma chute. Je ne peux m’autoriser de m’apitoyer sur mon sort ou sur celui de Ginette ou Blitz. Je me sais assez fort pour encore résister. Irma semble s’être tue et finalement calmée. Les flammes s’estompent, et se rassemblent autour du candélabre. Le spectre est encore là, et prend une forme que je reconnais pour déjà l’avoir vue. Il m’est parfois difficile de me rappeler que sous cette enveloppe de sagesse, la Lugulabre n’est au fond qu’une toute jeune fille. Elle ne devait pas avoir 15 ans, quand sa mort est arrivée. Elle apparaît plus visible, transparente, ses poings devant ses yeux remplis de larmes. Je me baisse pour être à la hauteur de la jeune présence fantomatique.

« Pourquoi ça devait être elle… Pourquoi?! »

Cela aurait pu être elle comme n’importe qui, j’imagine. Aucun d’entre nous ne voulait perdre Ginette, ni Blitz, ni aucun autre. Je n’ai pas vraiment de réponse a sa question, mais la réponse, c’est probablement que la vie peut-être une pute.

« Désolé, Irma. Vraiment désolé.»

Je ne peux pas m’excuser pour une bataille, mais je suis aussi attristé qu’elle de la mort d’une amie chère qu’était Ginette. C’est ce qu’est la guerre. Le spectre retourne en silence à son enveloppe physique. La Lugulabre se réanime, et se tourne vers Chris qui n’a pas bougé depuis tout à l’heure. Au regard mélancolique qu’il fait, et la façon dont ces deux là se regardent alors, je sens qu’ils ont des choses à se dire et qu’il vaut mieux les laisser seuls. Je ne peux pas parler pour lui, mais même si il peut manquer de considération, je connais assez Chris pour m’imaginer qu’il avait lui aussi de l’affection pour Ginette. Il s’agit de rester tous ensembles pendant cette période de crise, et on s’en sortira. Je ferais pour ma part en sorte de les mettre en danger le moins possible, au risque de me mettre plus en péril moi-même. Ce qu’ils savent tout comme moi, pourtant, c’est que nous ne sommes pas totalement en sécurité de toute manière. Et cela, où que l’on soit. Ainsi, plusieurs de mes compagnons montent la garde autour du domaine depuis ces jours, en se relayant, quand il me faut occasionnellement me rendre en ville. Sur le chemin du retour, je croise Lorelei. Le regard affuté du jeune Mysdibule me fait prêter attention à une certaine tension présente dans l’air. Je plisse le regard en arrivant à la hauteur de mon ami. Encore ces silhouette noires. Franchement, il aurait pu faire moins cliché que des hommes en noir… Pourquoi pas des hommes en rose, en turquoise ou en vert pomme, pour changer? Je sais, c’est une pensée à la con dans les temps qui courent, mais voila. Faut croire que Mumutte assume ses clichés. Le type n’est pas seul, il se voit accompagné d’un Pokémon que je reconnais de l’autre soir. Un des Pokémon feu qui avait participé à déclencher l’incendie, une Braségali. J’ignore combien de types en noir il y a encore, mais si ils viennent à la queuleuleu comme des imbéciles, et qu’ils sont la condition pour que je me rende à mes match de ligue tranquille, eh bien je vais me faire un plaisir de les éliminer un par un. C’est sa Braségali la première à attaquer, et Lorelei s’élance vers l’avant, s’interpose devant moi sans même hésiter un instant.

« Lorelei, attends! »


Merde. Pourquoi est-ce qu’ils se jettent tous si facilement de cette façon pour me protéger?! Après la mort de deux des nôtre, j’ai peur qu’il leur arrive malheur si ils continuent de me protéger de la sorte. Le coup que vient d’encaisser mon Mysdibule est lourd, Lore’ roule maintenant sur le sol, couvert de quelques brûlures et mordant la poussière. Je constate un moment son adversaire… Oh, merde… Je comprend d’où sort cette puissance, et un sourire grinçant s’étire sur mes lèvres. Une Méga Gemme. La puissante physionomie inhabituelle de la Braségali me prouve qu’elle a su s’en servir. Et merde, je me retrouve contre ce monstre de flamme et son dresseur qui a sorti le katana. J’aime pas ça du tout. Les armes au poing, je fais un pas en arrière, en évaluant la situation à 200 à l’heure. Ai-je seulement un échappatoire si ce n’est celui d’attaquer de front? Je ne peux compter sur mes compagnons absents, je dois me défendre seul au cas où ils ne viendraient pas. Mon Mysdibule tente péniblement de se lever en voyant que je suis en danger. Je fais volte face et recule vivement quand une gerbe de flammes. Le type profite de l’occasion pour s’élancer vers moi et une de mes lames retient de justesse celle de mon adversaire juste devant mon visage. Une vive douleur s’est manifestée au niveau de mon épaule… Cette conasse de poulet a failli gravement me brûler, mais ça reste superficiel. Alors que l’homme force sur la garde de son arme et m’empêche de bouger, le métal grinçant contre le métal, mais jamais décidé à céder, la Braségali méga-évoluée s’avance à nouveau. Je serre les dents. Réfléchis. Sors-toi de là ou c’est fini, Alexander! Dans un grognement sourd je repousse mon adversaire de toutes mes forces, pour ensuite me jeter sur lui, esquivant de justesse la lame du katana. Le type est rapide, riposte d’un coup de poing bien placé dans l’estomac qui m’envoie valser plus loin, avant de se redresser au moment où je me remets également sur mes pieds, étourdi par le coup qu’il vient de m’assener. Sauf qu’encore une fois, il n’est pas mon seul adversaire. Le Pokémon feu prépare sur nouvelle attaque. Je n’ai pas le temps, il me faut esquiver. Au moment où je me lance de nouveau en avant, tentant le tout pour le tout en fonçant vers mon adversaire, Lorelei se relève. Et par les yeux écarquillés de mon ennemi humain, je devine qu’il s’est passé quelque chose. Quelque chose qui a fait que la Braségali n’a finalement pas pu attaquer. J’ai une petite idée derrière la tête de ce qui a pu arriver, je le constaterais par moi-même ensuite. En tout cas, le type a été assez déstabilisé pour laisser une ouverture d’une fraction de seconde dans sa garde. Assez pour moi pour trancher son poignet et lui faire lâcher son sabre. Mon coude va ensuite rencontrer son menton suffisamment fort pour lui faire perdre l’équilibre d’un simple coup de pied par la suite.  Confiant en mon allié, je ne me retourne pas tout de suite, et place mon pied et mon poids sur le buste du gars à terre, tout en allant chercher le sabre tombé sur le sol. D’un geste méticuleux et presque professionnel, je retourne la lame vers le bas, en direction de la gorge de l’adversaire.

« Et de quatre! »

Dis-je d’un ton détaché en faisant descendre la lame vers le bas d’un coup sec. En la retirant, j’observe un moment le métal teinté de liquide écarlate. Joli joujou. Je vais me le garder en trophée, je crois, et j’y graverais peut-être mon nom quand j’en aurais le temps. En le rangeant dans son fourreau après avoir essuyé la lame sur ma manche, je me retourne finalement pour constater toute la majesté de mon Mysdibule. La gemme que j’avais installée autour de son cou il y a quelques jours brille, quant à lui, son apparence a changé temporairement. Lorelei n’avait pas encore réussi a utiliser la puissance de la gemme jusqu’à maintenant, mais l’occasion s’est finalement présentée!

« Magnifique, Lorelei… »

Il se tient là, et il a la méga classe. Il a eu raison de son adversaire en un seul coup de mâchoire.. Enfin, deux. Car maintenant, il a deux énormes gueules pleines de dents qui surplombent le reste de son maigre corps. Je ne peux cesser d’admirer mon ami, débordant de fierté, un sourire complètement hystérique sur le visage. Sans aucune peur, je porte une main sur une des gueules de la créature de type acier, puis effleure sans crainte une de ses canines aiguisées. Vraiment génial. Le Mysdibule mega-évolué doit cependant se reposer, après avoir donné tant de force d’un coup, et il reprend finalement sa forme initiale, tombant assis par terre. Je m’assois à ses côtés pour reprendre mon souffle, soulagé. ‘Va y en avoir combien comme ça, encore? Qu’importe, je leur réserve à tous le même sort. Qu’il comprenne que nul qui se met en travers de mon chemin ne sera épargné. Mon téléphone se met à sonner alors, complètement à l’improviste. C’est les types qui gèrent la compétition. Je réponds d’un simple « Oui? », et de quelques « bien » quand ils m’annoncent que la conseillère qui défend le Symbole Souvenir me recevra demain. Lady G, la maitresse des types fées. Enfin. Le vrai jeu commence demain. Avec un sourire plus large encore qu’il en deviendrait effrayant, je raccroche le combiné au moment ou Chris et Irma allaient nous rejoindre. Mes trois alliés à mes côtés, je me lève pour rentrer dans l’enceinte de mon domaine, et rassembler tout le monde pour faire mon annonce.

« Demain, nous affronterons Lady G, mes amis! Un nouveau champ de bataille s’offre à nous. Prêts pour ce nouvel affrontement? »

Mes amis me répondirent d’un cri de guerre lorsque que je levais mon poing vers le ciel. Nous sommes fin prêts pour demain.

Méga-Evolution de Lorelei
R.I.P. Ginette
Revenir en haut Aller en bas
 

What about us? - Lento Lugubre (OS) /!/Un peu violent ° 3°""/!/

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
« C'est toi ou moi, l'un de nous est de trop! » :: L'Île d'Enola :: CÔTE OUEST :: Route des Falaises :: Château des Falaises-