INFORMATIONS
NOM: Vonkayser
PRÉNOM: Calypso Maritha
SURNOM: A part Caly, elle n'en a pas vraiment. Vous pouvez l'appeler comme bon vous semble, rien ne la dérange.
PSEUDONYME(S):
ÂGE: 20 ans
DATE DE NAISSANCE: 1er janvier 1996
SEXE: Féminin
GROUPE: Régime
RÔLE: Soldate
MÉTIER/ÉTUDES: Elle vient tout juste d'arrêter ses études pour se concentrer uniquement sur son travail au sein du Régime.
ORIGINE: Allemande

PHYSIQUE
COULEUR DE PEAU: Calypso a la peau blanche, très blanche même, si bien qu'on peut penser qu'elle est malade. Mais c'est tout simplement son teint, et le fait qu'elle bronze peu.
CARACTÉRISTIQUES DES CHEVEUX: Il s'agit de longs cheveux d'un noir ébène. Ils sont coupés sur le devant et forment une frange sur le front de la jeune femme.
CARACTÉRISTIQUES DES YEUX: C'est sûrement ce qu'on remarque en premier, chez elle. De grands yeux verts, une des seules rares touches de couleur que l'on peut trouver sur elle.
DESCRIPTION DE LA SILHOUETTE: Elle fait dans les 1m70, pour environ une soixantaine de kilos, ce qui fait d'elle quelqu'un d'assez maigre.
PARTICULARITÉ: Elle s'habille souvent en noir, ou dans des tenues sombre, et sobres. C'est toujours des jabits très chic, et souvent ceux de la marque de son père.
Elle parle avec un accent allemand, trahissant ses origines. Elle a d'ailleurs quelques difficultés avec le français parfois.

CARACTÈRE
PERSONNALITÉ: Elle un peu naïve, Calypso. Un peu niaise, même. Elle sait pas bien pourquoi elle est arrivée là. Elle s'est laissée portée par le courant, de toute façon, l'argent de papa dégageait tous les obstacles. Elle a suivi ce qu'il lui disait de faire, sans trop se poser de question. C'est pas le genre de fille qui prend des décisions par elle-même. Elle exécute les ordres qu'on lui donne sans problème, par contre, quand il s'agit de prendre des initiatives... elle manque à l'appel. Certains la qualifieront d'idiote. C'est pas la plus intelligente au monde Calypso, c'est pas le genre à vous parler longuement de politique et de philosophie, parce que ça ne l'intéresse pas, et parce que tout ça, c'est un peu trop compliqué et qu'elle a pas envie de s'embêter à comprendre toutes ces choses. C'est sûrement pour ça qu'on a réussi facilement à l'embarquer dans le Régime. Elle a pas trop réfléchi aux conséquences, à ce que ça impliquait, à ce qu'était ce Régime. Elle y est allée, elle a suivi l'entraînement, et elle est devenue soldate. Elle était plutôt fière d'elle, d'ailleurs. Pourtant, Calypso, c'est plutôt une philanthrope. Elle aime les gens, et ceux qu'elle n'aime pas se compte sur les doigts d'une main. Elle est très ouverte d'esprit, elle accepte tout le monde, et puis surtout, elle est d'avis que tout le monde pense ce qu'il veux. Et qu'on peut tous se partager le monde comme ça, et que c'est bien. Mais malgré ça, quand il s'agit de son travail au Régime, on dirait qu'elle oublie tout ça. Elle est capable de torturer, de faire du mal, de se battre et même de tuer. On dirait que ça ne lui fait rien. Elle se dit que c'est pour le bien. Calypso, de base, elle n'aime pas forcément les combats. Mais on lui a appris que c'était parfois nécessaire. Qui veut la paix, prépare la guerre, comme dirait son père. Elle veut la paix, mais elle sait qu'il faut passer par le combat avant ça. Alors, elle se bat avec le Régime. Pour un jour instaurer la paix. La jeune femme parle toujours d'une voix douce. Son ton hausse rarement, très rarement. De toute façon, elle n'a pas une voix forte. Alors, vous ne la verrez jamais crier. Elle est capable de garder son calme en toute circonstance, ce qui en fait une grande qualité. Parce qu'elle fait preuve d'une grande patience, et on la lui reconnaît. Calypso, elle est très polie aussi. Elle a horreur de la vulgarité, et aime les bonnes manières. C'est sûrement le résultat de son éducation, d'ailleurs. Et puis, Calypso, elle est aussi très habile de ses mains. Les travaux manuels, c'est sa grande passion. Elle est très minutieuse, et adore le travail de précision. Elle est un peu maniaque sur les bords, mais rien ne bien alarmant, ne vous en fait pas. Calypso aussi, elle est discrète. Elle ne se fait pas remarquer. Du coup, on l'envoie souvent sur des missions d'infiltration ou d'espionnage. Et puis, vu que c'est une bonne comédienne, et qu'elle sait jouer des rôles, on lui demande parfois d'utiliser ses talents pour certaines opérations.

GOÛTS & DÉGOÛTS: Calypso, elle aime bien les longues balades dans la nature. L'air frais lui fait du bien, elle a besoin de grands espaces, d'ailleurs elle déteste être enfermée. Quand elle a du temps, elle aime à se prendre un petit panier de pique-nique et à trouver un endroit pour déjeuner. En parlant de ça, elle aime beaucoup cuisiner tout un tas de petit plat, que ce soit pour elle, ses proches ou ses Pokemon. On peut trouver une bonne cinquantaine de livres de cuisine chez elle, aussi variés les uns que les autres, et dont une grosse partie, on s'y saurait attendu, sont des spécial pique-nique. La jeune femme aime aussi être avec ses amies, discuter de tout, de rien. Elle se sent mieux quand elle est entourée, ça lui permet de se sentir exister. Elle a du coup beaucoup de mal à gérer la solitude. C'est une fille qui déteste se sentir abandonnée, la Calypso. Peut-être même qu'elle vie un peu trop à travers les autres. Elle adore regarder des films à l'eau de rose, lire des romans d'amour idiot. Et pas seulement parce qu'elle tombe en amour sur la quasi-totalité des acteurs de sexe masculins, mais aussi parce qu'elle trouve que l'amour, c'est beau, c'est la plus belle chose au monde même. Elle a beaucoup de respect pour son père. Cet homme qui l'a élevée, et qui lui a appris tant de choses. Jamais, au grand jamais elle n'oserait le contredire ou s'opposer à ce qu'il lui dit. Elle l'aime profondément, son papa.
Ce qu'elle n'aime pas, Calypso, c'est crier. Elle déteste ça. La voir élever la voix est si rare que même ses amis les plus proches ne l'ont jamais vu aussi le ton. Elle a horreur des sentiments tels que la colère ou la haine, et fait tout pour ne pas les ressentir. Mais ce qu'elle déteste le plus au monde, c'est l'injustice. Ça peut paraître étonnant, hein, je sais, mais que voulez-vous, pour Calypso, le Régime est la Justice. Et la Résistance est tout le contraire. Du moins c'est ce que son père lui a dit. Alors elle y a crut, et elle en est persuadée.

ASPIRATIONS & PEURS: Elle n'aspire à rien qu'à être heureuse. Ça peut paraître idiot, mais c'est la vérité. Et puis, elle veut la paix aussi. Qu'elle pense obtenir grâce au Régime. Sa plus grande peur, comme celle de beaucoup d'humains, est de mourir. Elle aime la vie, et elle ne veut pas qu'elle s'arrête tout de suite.

ALLÉGEANCES: Régime. Elle est convaincue par ses idéaux, elle est convaincue que le Régime est le bien, la Résistance le mal, et que c'est en combattant en tant que soldate qu'elle obtiendra la paix qu'elle espère tant.

BIOGRAPHIE Calypso, elle est née à Düsseldorf. C'est la « capitale de la mode » en Allemagne. Et pour cause : son père, Dietfried Vonkayser, descendant d'une famille de l'aristocratie, possède une grande marque de vêtements de luxe. Il avait fait fortune très jeune, notamment grâce au mariage, quelque peu arrangé, avec  Jule Reinmarht, dont la famille possédait quelques boutiques de luxe sur la ville.
Le jeune couple voulut rapidement avoir des enfants. Fonder une famille, s'accorder parfaitement au modèle que la société présentait. Une petite famille parfaite, en somme.
Sauf que, après de longs mois d'effort,  pas de petit bébé à l'horizon.  Avec grande angoisse, le couple alla passer des test, et le résultat tomba vite.  Jule était stérile. Incapable de porter un enfant. Un choc, pour le couple.  Mais, tant amoureux l'un de l'autre, ils refusèrent de s'abandonner à ce triste sort, et prirent la décision qu'ils adopteraient un enfant.
Il y avait cette petite fille, âgée d'un an à peine, dont la mère avait accouché sous X. Un bébé sans nom, sans prénom, sans identité. Le bébé était arrivé à l'orphelinat depuis peu, et bien sûr ne se rendait pas compte de ce qu'il s'était passé. C'est ce petit bébé que Dietfried et Jule adoptèrent. Un bébé qu'il nommèrent Calypso. Ils décidèrent de l'élever comme si elle était leur fille biologique. Ni leur proches, ni leur famille, ni même la petite ne devrait jamais savoir la vérité. Pour tout le monde, il s'agissait de Calypso Maritha Vonkayser, et il n'en avait jamais été autrement.  

Les trois années qui suivirent se passèrent plutôt d'une façon relativement ordinaire. La famille de Calypso avait de l'argent, beaucoup d'argent, alors elle ne manquait jamais de rien. La vie était relativement belle dans le grand duplex familial.  Calypso y appris à marcher, y dit ses premiers mots. Bref, rien de plus naturel pour un bébé. On lui appris les bonnes manières, et tout un tas de choses due à « son rang », elle qui faisait partie de l'aristocratie.

Quand elle rentra à la crèche, elle rencontra donc inévitablement les autres enfants. Ce n'était pas vraiment ses relations avec les autres enfants qui posaient problème. Elle s'intégraient plutôt bien, jouait avec joie avec les autres sans trop se poser de questions. En fait, le soucis était la relation entre les parents de la petite allemande, et ceux des autres. C'est bien connu, entre parents, on discutait de ses progénitures, et Jule se trouvait toujours très gênée quand il s'agissait de parler de la naissance de la petite. Pendant que tout les mamans racontaient leur accouchement, elle  devait mentir du mieux qu'elle pouvait. Sauf que Jule n'avait jamais été une bonne menteuse. Et sa nervosité se remarquait un peu plus à chaque discussion.
Elle arrêta d'y participer alors, se renfermant sur elle-même.  Son mari protestait, et c'est ce qui marqua le début des hostilités entre eux. Les disputes se firent de plus en plus fréquente dans le couple. Et la mère assumait de moins en moins le fait d'avoir adopté un enfant qui n'était biologiquement pas le sien.

Alors, elle décida de partir. Comme ça, un matin, après une énième dispute. Jule avait fait ses valises, avait pris un taxi, et était partie. Elle n'était jamais revenue chez elle. Elle avait délaissé son mari, et sa fille... qu'elle ne considérait d'ailleurs pas comme telle.  Elle les avaient laissés, tout simplement. Est-ce qu'elle a jamais regretté son geste ? Elle seule le sait.
Dietfried, lui, avait été bouleversé, bien évidemment. Mais pour autant, il décida de se ressaisir. Ne serait-ce que pour sa fille. Contrairement à sa femme, il avait la véritable affection qu'un père est censé avoir vis-à-vis de son enfant.
Calypso fut bien sûr elle aussi perturbée par le départ de sa maternelle. Elle ne comprenait pas. Mais son père donna tout pour l'élever au mieux. Alors elle grandit comme ça, sans sa mère, gagnant cependant tout l'amour de son père. Et rien que ça lui permettait d'aller bien. Et du côté qualité de vie, tout allait pour le mieux aussi. La société de son père allait pour le mieux, et de toute façon le grand héritage que lui avait laissé ses ancêtres était suffisant pour s'assurer de vivre correctement.

A l'école, Calypso n'était pas la meilleure des élèves. Toujours scolarisée dans des écoles privées, son père la poussait à apprendre et travailler. Parmi les matières qu'il affectionnait plus que tout, se trouvait le français, langue noble selon Dietfried.  C'est donc très vite que notre Calypso apprit les bases de la langue de Molière, domaine dans lequel elle n'était mine de rien pas si mauvaise qu'on aurait pu le penser.

Une fois par an, durant l'été, le père et sa fille voyageaient dans un pays différent. Des moments que l'enfant appréciait grandement. Elle avait toujours adoré voyagé. Elle avait 12 ans la première fois qu'ils voyagèrent sur l’île d'Enola, et tout deux la trouvèrent fantastique. Ça faisait pas mal de temps que Dietfried songeait à quitter son pays natal pour quelque chose de différent.

Bien évidemment, le déménagement ne se fit pas du jour au lendemain. Ils y réfléchirent de longs mois. De toute façon, Calypso devait améliorer son français avant qu'ils soient sûr de se rendre sur l'île. Son père avait quelques contacts là-bas, c'est ce qui l'avait encouragé à vouloir s'y installer. Et quels contacts avait-il, puisque ses chers amis n'étaient ni plus ni moins que des membres du Régime. Du moins, ils l'étaient devenus quand le pouvoir en place s'installa sur l'île. Des amis hauts placés, pour la plupart, et avec qui Dietfried partageait la vision du monde.

Il n'avait jamais eu aucun mal à convaincre sa fille de quoi que ce soit. Qu'il s'agisse du déménagement sur Enola, alors qu'elle venait d'avoir 15 ans, ou bien encore du fait de la scolariser là-bas, alors qu'elle n'était pas encore bilingue, elle ne lui refusait rien. Pour l'encourager, il lui avait même offert un Pokemon, un petit Héricendre que Calypso prit vite d'affection, mais ce n'était qu'un petit bonus.

Le père acheta donc un petit manoir sur l'île de Nuva Eja, deux ans avant qu'ils ne partent s'y installer. Il fallut évidemment le temps que les travaux soient faits et que tout soit en place pour accueillir leur deux habitants et les invités qui y circuleraient régulièrement.

La jeune adolescente qu'était Calypso était très excitée de la nouvelle vie qu'elle allait mener. Et puis, là où elle habitait, c'était si beau ! Elle pouvait se faire de longues balades dans la nature avec les gens qu'elle rencontrait. Elle avait parfois un peu de mal avec le français, mais faisait de son mieux pour comprendre et être comprise.

Environ deux après qu'elle soit arrivée sur l'île, et alors qu'elle était déjà sensibilisée par son père sur les bienfaits que le Régime apporterait à Enola, ce dernier l'y engagea, sans véritablement lui demander son avis, sachant de toute façon qu'elle ne lui refusait rien.

Elle suivit donc un entraînement, afin de devenir une parfaite petite soldate. Elle stoppa ses études à l'âge de 18 ans, ayant décidé de se consacrer entièrement au pouvoir en place sur l'île. Afin de le servir, et de protéger les habitants des méchants Résistants qui tentaient de les détruire.

Aujourd'hui, deux ans après, elle est toujours aussi convaincue que le Régime fait le bien. Et qu'il apportera la paix, pour tous.

HORS-JEU
PUF: The Queen of the apples
ÂGE:
DISPONIBILITÉ: Tout dépend, mais je vous aime assez pour venir souvent.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM?: C'était il y a fort longtemps, dans des temps immémoriaux....
QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM ET DU CONTEXTE? Bof.
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Dead Master [Black Rock Shooter]
CODE: Mangé par Cobababa
AUTRE: écrire ici

INFORMATIONS
RAPPEL GROUPE: Régime
RAPPEL RÔLE:Soldate

TEAM
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - Héricendre ♂ - Oskar - Brasier - Tmide
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Offert par son père peu de temps avant qu'ils ne partent s'installer sur Enola.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - Ramoloss ♂ - Dolf - Régé-Force - Assuré
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Elle l'a obtenu chez un jeune éleveur alors qu'elle se baladait non loin de la forêt d'Erode. (Et oui, l'éleveur c'est Sten )
   1 ou 2 pokémons, à votre choix.