INFORMATIONSNOM: Blanchett
PRÉNOM: Mercedes, Leighton est mon deuxième prénom.
SURNOM: Je porte bien des surnoms. Les plus courants, Mercy ou Merk, pour les plus intimes seulement! Mon nom de journaliste, qui me permet de garder mon identité secrète, est Azmitia. Une fois que j'aurai mis les pieds sur Enola, on me nommera plutôt Victoria Hills.
ÂGE: 22 ans
DATE DE NAISSANCE: 3 février
SEXE: Féminin
GROUPE: Compétitrice
MÉTIER/ÉTUDES: Je suis une journaliste de profession. Je débute tout juste dans le métier, mais je possède un talent naturel qui me permettra un jour de me faire un nom, j'en suis certaine.
ORIGINE: Canadienne
PHYSIQUECOULEUR DE PEAU: Blanche, très pâle... Mais je compte bien bronzer un peu sous le soleil tropical d'Enola!
CARACTÉRISTIQUES DES CHEVEUX: Mes cheveux au naturel brillent de rayons dorés qui viennent trancher sur le châtain. Malheureusement, je ne porte plus cette couleur. J'ai du me teindre les cheveux en rose lors de la construction de ma nouvelle identité, Victoria Hills. On a du me les couper un peu plus court, dans un dégradé très stylé auquel je ne me suis pas encore habituée. Je dois tout de même avouer que ce changement de tête me plaît, un peu malgré moi.
CARACTÉRISTIQUES DES YEUX: Deux iris d'un bleu profond, teinté d'une touche de vert... De petits yeux vifs qui ne me trahissent jamais quand je dois mentir.
DESCRIPTION DE LA SILHOUETTE: 1 mètre 68 centimètres, 56 kilos, une petite poitrine discrète, des hanches étroites, de petites fesses fermes.
PARTICULARITÉ: Un dragon de style chinois, tatoué sur mon épaule gauche en descendant sur mon bras.
CARACTÈREPERSONNALITÉ: Gentille - Dynamique - Énergique - Adore rire et fêter - Pas timide du tout - Maladroite - Dévouée au journalisme - Prête à tout pour obtenir la vérité - Curieuse (trop, sûrement) - Nerveuse - Créative - Tête en l'air - Observatrice - Perspicace - Spontanée - Positive - Bruyante - Téméraire - Sûre d'elle - Insouciante - Observatrice - Souriante - Sympathique
GOÛTS & DÉGOÛTS: J'aime... tant de choses! Je n'ai pas fini de découvrir, de voyager, de voir! Je ne me lasse pas de la nouveauté, de me faire bousculer par les événements, d'apprendre de nouvelles choses. Ce que je souhaite c'est de vivre des expériences, et tout ce qui peut m'en procurer m'offre du bonheur! Bien sûr, écrire est et sera toujours ma plus grande passion. J'aime recenser mes aventures sous forme journalistique, mais je pourrais aussi bien m'adonner au style narratif et imaginer des histoires rocambolesques... Pourquoi pas? J'adore la photographie et j'y ai d'ailleurs beaucoup de talent. Je ne sais pas chanter, mais je ne peux m'empêcher de fredonner quand je reconnais un air, ou même de danser! J'adore bouger, bien que le sport ne m'intéresse pas particulièrement. J'aime beaucoup manger et goûter aux trucs les plus étranges! Je n'ai peur de rien!
Je déteste... les ordinateurs. Je n'y ai jamais compris grand chose. Je sais me débrouiller maintenant, mais le moindre bug me fait totalement paniquer. Je ne suis pas une grande fan des transports maritimes non plus, qui me donnent le mal de la mer! Je n'aime pas les hommes insistants, ceux qui vous prennent pour la charogne. Beaucoup d'entre eux acceptent mal que, pour l'instant, je ne souhaite personne dans ma vie.
ASPIRATIONS & PEURS: Je ne crains pas grand chose, c'est bien connu. Par contre, je peux dire que j'ai peur de rater ma chance, cette fois-ci. De ne pas être à la hauteur. J'aspire à devenir la journaliste que je suis née pour être. Je veux changer le monde avec mes écrits.
ALLÉGEANCES: Neutralité pour le moment, avec tendance vers la Résistance. Mon allégeance n'a aucune importance, seuls les faits comptent et ces faits doivent être exposés au monde entier. Mon allégeance est la vérité.
HISTOIRES'il y a une question que je n'ai jamais posé et qui pourtant, aurait dû m'intéresser véritablement, c'est bien celle de mon origine. Je ne garde que quelques souvenirs, images éparses et floues, de ma petite enfance. Des fragments de mémoire m'apportent souvent la vision d'une grande pièce au haut plafond, ses ventilateurs jetant paresseusement des gerbes d'air à une myriade de petites filles vêtues de chemises de nuit blanches. Je ne peux oublier le vide de leur regard, ou la façon dont elles tenaient leurs poupées, toutes identiques, contre leurs petites poitrines tristes. Ma vie commence plus tard, bien après cet endroit mystère où j'ai pourtant grandi pendant quatre ans. Un bon jour, je suis née de nouveau, ce jour où mes parents m'ont pris pour eux. Nous n'avons aucun lien de sang, eux, moi. Aucune attache de la chair. Et pourtant, je sais, au fond de moi, que je n'ai jamais eu d'autres parents que ceux-ci. Mon passé ne m'a jamais intéressé car ces deux personnes, ces deux anges, ont ouvert leur coeur pour moi et m'ont aimé. Je n'ai jamais cherché à en savoir plus que cette vérité touchante.
Isabelle et Connor Blanchett ont fait de moi leur petite princesse. J'avais tout ce dont je pouvais rêver. Une grande chambre rose, des jouets qui débordaient de mon étagère, et de l'amour, un amour pur et sincère, un amour qui s'est imprégné en moi et qui m'a donné envie de partager. J'étais une enfant bruyante, énergique, dur à suivre. Je devais constamment bouger, découvrir. Je ne craignais rien, à mes risques et périls. Je grandissais, je découvrais. Je n'avais qu'une envie: bouger et voir. Le soir, je m'endormais dans les bras de mon père, toujours souriante de ces journées passées à explorer mon univers. Mon père... autant dire mon héros. Je l'adorais et le sentiment était partagé. Il aimait beaucoup passer des heures à jouer avec moi. Ma mère travaillait beaucoup, alors il restait à s'occuper de moi quand il le pouvait.
Mon entrée dans le milieu scolaire ne freina en rien ma soif de découvertes. Au contraire! J'avais tant à apprendre, je ne pouvais que me laisser aller complètement à toutes ces nouvelles connaissances. L'école n'a jamais été un problème pour moi, bien que dans ma jeunesse, les professeurs se soient souvent plaint de mon trop-plein d'énergie. Je réussissais bien et me suis trouvé rapidement une passion pour la lecture et l'écriture. Je pense qu'à l'époque, je savais déjà que ma voie se trouvait dans le journalisme. Mais avant de vous en parler en plus de détails, je dois m'arrêter sur un moment particulier de ma vie, une image si vive dans ma mémoire que je peux la revivre sans difficulté. J'avais huit ans. Étendue sur les planches du patio, à l'arrière de la maison, je me laissais tremper par une pluie torrentielle. J'avais la joue posé sur le bois, le visage baigné de larmes. Non loin, j'entendais la voix de ma mère qui m'appelait, sans cesse, ne pouvant pas voir un mètre devant elle, tant la pluie formait un mur compact qui l'aveuglait. Je peux encore entendre ses cris, la peur qui tendait sa voix. Je me souviens aussi très bien de la douleur dans ma poitrine et la petite robe d'été que je portais alors. Il ne fut un autre moment dans ma vie où j'ai vécu un désarroi aussi grand.
Mon père partait. Je veux dire... ils se séparaient, ma mère et lui. Il... rejoignait sa maîtresse. Vous pensez probablement qu'il n'est qu'un salaud. Il l'est, probablement. Mais je ne lui en ai jamais voulu. Pas une seule seconde. Connor rejoignait la femme de sa vie, une de ses collègues de bureau. Ces deux-là s'aiment d'un amour inconditionnel qui les anime toujours aujourd'hui. Il ne pouvait faire autrement que de quitter ma mère, si froide et rigide par moments, pour vivre sa passion avec Hélène. Autant le dire, ma mère le prit très mal. Je fus placée sous sa garde, mais je voulais vivre avec lui. Aujourd'hui, je réalise que j'avais besoin d'un comme de l'autre. Je voyais mon père une fin de semaine sur deux. Quant à ma vie commune avec ma mère, elle n'était pas facile, au contraire. Elle prenait un malin plaisir à parler en mal de son ex-mari devant moi, ce qui, à chaque fois, me blessait d'avantage. Elle était sévère, et comprenait mal mes émotions. Mais nous passions de bons moments, tous les deux, ensemble. Il y a bien une chose qu'elle a toujours pleinement accepté chez moi: mon intérêt pour le journalisme. Ce rêve que je caressais de plus en plus en grandissant. Elle m'encourageait et m'aidait, notamment dans mes travaux en français. Avec une mère francophone et un père anglophone, j'avais parfois du mal à bien maîtriser les deux langues, mais avec son petit coup de pouce, j'ai réussi à briller dans l'une comme dans l'autre.
J'ai mis du temps à me remettre de leur séparation, beaucoup de temps. La venue d'un petit-frère a probablement arrangé beaucoup de choses pour moi. Ma mère a compris que mon père ne reviendrait jamais à elle. Et moi j'avais ce dont j'avais toujours rêvé: un frère bien à moi. Brandon Blanchett, il s'appelle. Je fus autorisée à voir mon père de plus en plus souvent, et vers mes onze ans, j'avais finalement ce que je souhaitais: de voir mes parents de façon égale, soit une semaine sur deux. Je pouvais me concentrer pleinement à un nouveau défi: mon entrée à l'école secondaire. Ce passage se fit sans anicroche, moi qui avait pourtant craint la grande école. Mon caractère sociable me permit de me faire rapidement de nouvelles connaissances. Je m'inscris dès ma première année au journal de l'école et écrivais des articles à potins à la noix... Eh! On commence tous quelque part, non?
En vieillissant, j'ai développé mon sens de l'observation et bientôt, rien ne m'échappait. Mes articles se faisaient de plus en plus complets, mais aussi un peu dérangeants. J'ai souvent critiqué les méthodes appliquées à l'école, que ce soit dans la gestion ou l'éducation elle-même. J'étudiais fort, non seulement mes matières d'école, mais aussi tout ce qui attirait mon intérêt. Je lisais beaucoup, me documentait. J'ai aussi découvert une passion pour la photographie en m'inscrivant au club dédié à cet art, vers l'âge de quinze ans. J'ai réussi à me faire engager à la boulangerie du coin, où je pouvais me faire un peu d'argent de poche. Grâce à celle-ci, j'ai acheté une caméra, puis une autre. Puis des accessoires... Je ne sais pas m'arrêter devant une belle caméra photo! Je sortais aussi beaucoup, de plus en plus. J'adorais m'éclater avec mes amis, dans des façons peu euh... intelligentes. Enfin. Comme beaucoup, j'ai perdu ma virginité lors d'un party un peu trop arrosé au premier connard qui m'a fait de l'oeil. J'ai honte, encore aujourd'hui, mais le passé est le passé!
Mon secondaire terminé, j'ai fait deux ans d'études supérieures en littérature. J'entretenais un blog, «Le blog d'Azmitia», où j'admettais mon opinion sur plusieurs sujets d'actualité. Je continuais à faire mes recherches, de plus en plus efficaces. Mon blog gagna en popularité. À la fin de mes études, il y a trois ans, j'ai décidé d'aller vivre dans mon propre appartement, avec un colocataire. Il s'appelait Steven et il m'aidait beaucoup... surtout à payer le loyer. J'arrivais à me trouver de petites jobines par-ci, par là, sans plus. Rien qui payait beaucoup. Steven et moi avons entretenu une relation plutôt torride qui a duré quatre mois avant qu'il ne souhaite aller plus loin. Ne souhaitant rien de sérieux, je l'ai rejeté, et il a décidé de quitter l'appartement sur-le-champ. Par chance, je fus engagée à Montréal Presse, un important journal de la région, peu de temps après son départ, ce qui me permis de garder l'appartement à moi toute seule. J'ai gardé mon surnom de journaliste depuis, Azmitia. Le journal m'a permis de voyager ces deux dernières années, mais j'avoue que ma nouvelle assignation m'a totalement prise au dépourvu.
Le grand patron m'a fait appeler à son bureau, ce qui n'est jamais bon signe. Cette fois, par contre, il avait une proposition. Sur son bureau se trouvait deux Poké Balls. Il les a désigné avant de m'annoncer que je partais pour l'île d'Enola, sous une fausse identité, afin d'infiltrer la Compétition. Mon but serait d'enquêter sur le groupe au pouvoir, appelé tout simplement «le Régime», et possiblement d'exposer la vérité au monde entier. Changer le monde de mes écrits. Ce dont j'avais toujours rêvé! Le patron me proposait de payer toutes mes dépenses pendant le voyage, d'une durée d'un an, en plus d'une prime plus qu'alléchante pour la fin de l'année. Cependant, je devrais couper toute communication avec les gens d'ici, par sécurité. J'écrirais un article par semaine, que j'enverrais par courriel protégé. Je n'ai pas hésité. J'ai dit oui tout de suite! Une opportunité comme celle-ci! Le seul hic: je ne connais rien aux Pokémon. Ce sujet ne m'a jamais intéressé. Les premiers jours en compagnie des Pokémon prêtés par le patron a seulement confirmé mes doutes. Kinu le Kaïminus semble m'avoir à l'oeil, et Shadaya la Lixy m'épuise totalement. Nous partons demain vers l'île d'Enola. Bien des défis m'y attendent. Je sais ce voyage dangereux, mais que ne ferais-je pas pour obtenir la vérité?
HORS-JEUPSEUDO: Golden
ÂGE: 20 ans
DISPONIBILITÉ: Toujours dispo!
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM?: Eum...
QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM ET DU CONTEXTE? Perfection absolue.
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Megurine Luka [Volcaloid]
CODE: Shaymin est passée par là ♪AUTRE: Bonne chance pour la Sélection, Shaymin-chou :B