« C'est toi ou moi, l'un de nous est de trop! »

''Dégage'', de Bryan Adams.
 
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 It's the famous final scene [OS]

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Faust M. Donovan
Modératrice en Chef
Faust M. Donovan
Féminin Age : 27
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Âge du personnage : 27 ans
Métier / Études : Bac ES, (mauvais) romancier de temps à autre.
Pseudonyme(s) : .
Noctis (Résistance)
~> Voleur, espion.
Peter Davidson (nom d'auteur)
Méphisto (Conseiller)
~> Type ténèbres

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# Séisme
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# Surpuissance
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♀ - Wiwi
Échauffement - Maligne
# Cage-Éclair - Aéropique - Demi-Tour
It's the famous final scene [OS] 571
♀ - Myra
Illusion - Solo
# Lance-Flammes

Team spécifique : .
It's the famous final scene [OS] 229 (It's the famous final scene [OS] Miniat_6_x_229M)
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Matinal - Modeste ; Démolossite
# Vibroscur - Bomb Beurk
It's the famous final scene [OS] 248
♀ - Démeter
Sable Volant - Rigide
# Hydroqueue
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Chanceux - Rigide ; Absolite
# Surpuissance - Lame de Roc
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# Canicule - Vol
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# Laser Glace


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MessageSujet: It's the famous final scene [OS]   It's the famous final scene [OS] EmptyDim 19 Jan 2014 - 3:20




It's the famous final scene

It's been a long time since you've smiled



Un appel. La voix de Solène qui brise son quotidien et ses certitudes, ses mains qui tremblent alors qu'il saisit un manteau et une sacoche qu'il remplit de pokéballs. Très vite, il est téléporté à Amanil par les efforts communs de la Gardevoir et du Gallame d'Isaac. Il a déjà libéré son Corboss dans le ciel d'Amanil, et celui-ci vole au dessus d'eux, ses plumes noires comme un présage de mauvaise augure. Il inspire profondément. Thalie est pâle, horriblement pâle, et Faust ose à peine imaginer ce que son lien psychique avec son maître lui fait dorénavant ressentir maintenant qu'elle tente de reprendre le contact. Il est proche, ils le savent, mais encore faut-il le retrouver dans cette foule de cadavres vivants. Ils n'ont pas la pâleur, la maigreur des anciens prisonniers du premier Bloc R, mais la terreur qu'il lit dans leurs yeux est la même. Il entend des râles, des geignements et des gémissements de douleur et de désespoir. Les civils s'approchent de certains, les aident à se relever, cherchent des proches dans cet amoncellement de blessés. Faust déglutit et retient la bile qui veut sortir de sa gorge, se mord les lèvres alors qu'il crie des noms

« Isaac ! Samaël ! Telemaque ! Yumi ! »
hurle-t-il au vent, sa voix se brisant sur les dernière syllabes.

Thalie paraît trop concentrée pour porter de l'attention à son visage tordu par la peine. Il a l'impression de revoir les rues d'Amanil exactement comme elles l'étaient ce foutu premier janvier, et il doit prendre une grande inspiration pour ne pas craquer. Pas maintenant. Il attrapa les pokéballs de Démolosse, de Dimoret, d'Arcanin, de Noctali, d'Absol et d'Amphinobi et les libéra tous. Les pokémon observèrent les environs avec horreur, laissant l'image terrifiante et nauséabonde de tous ces gens blessés, parfois mourants, qui jonchaient les rues d'Amanil marquer au fer rouge leur esprit. En puisant un peu de force en Noctis, il donna ses ordres avec calme.

« Cherchez-les. Hadès, j'ai besoin que tu restes au dessus de moi et que tu avertisses tout le monde lorsqu'il faudra se rassembler. Arthur, Fae, partez ensemble. Izumi et Nero, prenez le chemin inverse. Dalhia, Notte, restez avec moi. »


Ils n'attendirent pas plus longtemps. Très vite, ses compagnons se disséminèrent dans les rues d'Amanil et emportèrent avec eux tant d'espoir que le conseiller ne pu que se sentir un peu seul. Le Noctali et la Démolosse s'approchèrent un peu plus de lui, leurs regards doux et compatissants. Un maigre sourire étira les lèvres de Faust, et Dalhia se pencha un peu plus vers lui. Le châtain avançait en silence, laissant Dalhia chercher avec son odorat pendant que Thalie tentait de reprendre connexion avec Isaac via leur lien mental. Plus le temps passait, et plus il commençait à douter de l'état où ils retrouveraient le suédois, parce que cela voulait dire que le lien était considérablement affaibli ; pour cela, il fallait que le concerné soit dans un état déplorable, et ça...

Think in terms of bridges burned
(Pense en termes de ponts brûlés)
Think of seasons that must end
(Pense aux saisons qui doivent se terminer)
See the rivers rise and fall
(Vois les rivières s'élever et chuter)
They will rise and fall again
(Elles s'élèveront et chuteront encore)

Peut-être était-ce la peur, ou peut-être était-ce l'insensibilité de Noctis qui lui permettait de tenir sur ses jambes et de ne pas hurler tant le fait de savoir que son meilleur ami était vivant et si proche le retournait. Mais il avait besoin de respirer un peu, dans cette folie. Des blessés, des amputés, des brûlés, des balafrés, des empoisonnés, certains qui n'ont pas tenu le choc du transport. Des cadavres, des personnes sans noms qui en seront bientôt. Il essaye de trouver des visages dans cette foule, mais rien. Rien. Pas de Telemaque, pas d'Isaac, pas de Yumi, pas de Sam.
Ne pas paniquer. Ne pas crier, ne pas pleurer, ne pas hurler. Rien. Il faut rester fort, parce qu'il est le dernier debout et qu'il doit le rester jusqu'à ce que tout le monde se soit relevé. C'est ça, son job. Parce qu'il n'a pas le droit de s'effondrer quand tout reste à faire.
Soudain, il sent le vent se faire un peu plus fort derrière lui et il a à peine le temps de réagir ; très vite, Thalie et Merlin les saisissent les téléportent dans l'instant. Faust réagit à peine, sentant la douceur rassurante de l'esprit de Thalie se pressant un peu contre le sien pour l'apaiser.  
Une rue d'Amanil, comme une autre. Faust se souvient être déjà passé par là, avoir déjà vu ces bâtiments, ces rues, mais ce n'est pas ça qui est important maintenant, oh non.

« ISAAC ! »

Il se précipite vers lui. Le suédois est écroulé au sol, le visage livide, des cernes sombres et lourdes sous ses yeux. Il est plus maigre et lorsque Faust passe son bras autour de lui pour relever un peu son torse et sa tête, Faust a l'impression de toucher un patin sans fils. Il déglutit. Non, non, non...

« Me laisse pas non plus, je t'en supplie... »
balbutie-t-il, sa voix tremblante se déchirant vers la fin.

Fébrilement, le conseiller relève son pouls en tremblant, et relâche une inspiration qu'il ne savait pas avoir retenu auparavant.
Vivant. Des battements.
Putain.

Everything must have an end
(Tout doit avoir une fin)
Like an ocean to a shore
(Comme un océan à un rivage)
Like a river to a stream
(Comme une rivière à  ses flots)
Like a river to a stream
(Comme une rivière à ses flots)
It's the famous final scene
(C'est la fameuse scène finale)

Il sait qu'il tremble et il peut sentir ses yeux s'humidifier. Un hoquet s'échappe de sa gorge et il serre un peu plus son ami contre lui, s'accrochant à lui comme à une ancre pour ne pas dériver plus loin.  ivant. Vivant. Vivant.
Il a tenu. Il n'est pas mort, non, ils ne lui ont pas volé son plus proche ami. Il est encore inconscient, et Faust s'en veut de devoir le réveiller ainsi, mais il a besoin d'agir et ne peut pas encore pleurer maintenant. Pas tant que tout ne sera pas terminé. Il n'en avait pas le droit.

« Isaac, s'il te plaît. Ouvre les yeux. »

Il ne bouge pas. Faust soupire et répète son ordre une nouvelle fois, adoptant la voix plus rauque et ferme de Noctis ; il ne savait même plus s'il commençait à développer un début de double-personnalité, mais il s'en foutait magistralement à cet instant.

« Isaac. Réveille-toi. »

Et cela suffit. Ses yeux s'ouvrent difficilement ; le simple fait de ne pas se rendormir semble demander un effort surhumain au brun dont les traits se tirent. Il serre les dents et respire difficilement, mais il est vivant. Ses yeux rencontrent ceux de Faust et il semble si distant que pendant un instant, le conseiller est terrorisé. Il est terrorisé parce qu'il sait ce qui peut arriver à ceux qui ont été torturés ; ils reviennent brisés, sans l'énergie pour vivre et Faust ne sait pas s'il pourra survivre en sachant Isaac être devenu un pantin sans fils. Ses yeux sont fatigués, vides, et Faust peut y lire toute une histoire. Toute une histoire de douleur, de peine et désespoir qu'il comprend si bien et qu'il aurait tant voulu ne jamais avoir à  comprendre. Thalie est derrière lui, et la Gardevoir peine à rester sur ses jambes. Elle s'agenouille à côté de son maître, les larmes aux yeux.
Thalie a peut-être une vision plus claire, mais Faust n'a pas besoin de savoir lire les esprits pour comprendre.

Parce qu'Isaac le regarde comme un fantôme, et dès que sa main touche celle de Faust, ses yeux s'écarquillent alors qu'il réalise que oui, il est bien là ; ce n'est pas une illusion amenée par son esprit fatigué. Ce n'est pas un mensonge susurré par les poisons de... De qui, déjà ? Ce n'est pas une illusion cruelle, ce n'est pas ce fantôme qui ria lorsque les aiguilles percèrent sa peau. Sa main ne touche pas de l'air, ce n'est pas la froideur de sa cellule qu'il sent sous ses doigts mais la chaleur de sa peau et il arrive à peine à observer ses traits fatigués tant ses yeux sont brouillés par les larmes qui coulent. Il ne peut plus les retenir.
Felicia, Lucy, Katya, Faust... Il les a vu tant de fois, a espéré pouvoir sentir leur présence, a espéré pouvoir les prendre dans ses bras et ne jamais les relâcher, mais tant de fois on lui a volé ce droit. Tant de fois il a voulu pouvoir sentir leur cœur battre, les voir vivre et sourire, et maintenant qu'il sait qu'il va bien, il ne peut que se sentir rassuré et apaisé. Ça avait été douloureux, Arceus que ça avait été douloureux, mais... Mais peu importe. Peu importe, parce qu'il est en sécurité. Parce qu'elle en sécurité. Peu importe ce qui lui était arrivé, parce qu'il aurait haï être à la place de Faust à cet instant. Il est libre, mais il peut encore sentir les chaînes de la douleur le maintenir au sol et laisser une morsure froide sur son cœur à chaque seconde. Il se sent faible alors qu'il devrait se réjouir. Pathétique, brisé. Mais si Faust le pense, alors il ne le montre pas ; il essuie des larmes  qui coulent et coulent et coulent encore.
Faust peut sentir Isaac s'accrocher un peu plus à lui, l'enlaçant et refusant de le laisser partir, retenant difficilement les sanglots qui naissent dans sa gorge. Il essaye d'être fort, mais est-ce qu'il l'est vraiment ?
Non.

« C'est fini. Plus jamais, te le promets. J'suis désolé, désolé... »
dit-il en tentant de taire les hoquets qui perturbent sa voix.

Did you really think it could ?
(As-tu vraiment pensé que cela pourrait fonctionner ?)
How you tried to make it last 
(Comme tu as essayé que cela dure)
Did you really think it would ?
(As-tu vraiment pensé que cela pourrait durer ?)

Plus jamais. Ses mains se serrent autour de son ami, et il se promet qu'un jour, il retrouvera celui ou celle qui a osé lui faire ça, et qu'il le ou la tuerait de ses propres mains. Qu'il ne s'arrêterait pas tant que le ou la tortionnaire d'Isaac ne serait pas en train de hurler et de lui supplier sa pitié, qu'il pourrait entendre chacun de ses os craquer sous ses pieds. Pas tant qu'il n'aura pas son sang sur les mains et qu'il pourra lui écraser le visage dans la boue. Mais ce n'est pas le moment. Maintenant, il doit s'occuper de lui et s'assurer qu'il sera en sécurité, loin, très loin de tous ceux qui l'ont traité ainsi. Loin de la douleur, de la peine et des cellules froides où il a passé tant de jours si longs. Des journées longues à attendre une mort libératrice qui n'était jamais venue, mais qui l'avait si souvent approché.

« Faust...
- Je sais. Ne parle pas, tu vas te faire du mal. Écoute-moi bien, pour une fois. »
répondit-il, tentant de calmer sa voix qui était définitivement trop tremblante.

Le regard du suédois ne quitta pas son visage. Il paraissait un peu perdu et fronça les sourcils, en bougeant un peu la tête sur le côté.

« Aksel ?
- Non. C'est moi, Isaac. Reste conscient, veux-tu ? »


Il hallucinait un peu. Rien d'étonnant à ça. Il serra les dents, tentant de contrôler sa rage. Rien, oh rien, rien ne l'empêcherait de partir à la poursuite du coupable. Absolument rien. La morale, l'éthique et la grandeur d'âme pouvaient bien aller se faire foutre, parce que devant la douleur, la vraie, que représentaient-elles ?

« Il faut que j'aille trouver d'autres personnes. Thalie va te ramener à la maison... 
- Katya... Var...
- Elle va bien. Je te le jure, elle est en sécurité. Elle t'attend. Tu me comprends ? »

Il avait besoin de rester ferme. Il ne fallait pas qu'il se mette à le réconforter maintenant ; il en avait vu assez, des anciens prisonniers, en passant voir Isaac, pour savoir quel comportement adapter. Même si son cœur saignait et que ses mains tremblaient, même si ses yeux étaient rougis par les pleurs, même s'il avait envie de hurler, il devait rester fort pour lui. Isaac l'avait été, alors il le serait.  C'était bien la seule chose qu'il pouvait faire pour lui être redevable maintenant.

« Je vais partir chercher...
- Nej. »


La prise d'Isaac sur son manteau se fit plus forte. Faust pouvait lire la terreur sur son visage, la peur, et Arceus, il n'osait pas imaginer ce qui avait pu créer une telle hantise de le voir partir chez son ami d'enfance.

« Nej, ni... »

Il arrivait à peine à parler. Sa voix se perdait, tout comme son regard, dans l'air. Pourquoi avait-il l'air d'être si distant alors qu'il le tenait dans ses bras, hein ? Est-ce que c'était une ultime moquerie du régime à son encontre ?

Like a guest who stayed too long
(Comme un invité qui est resté trop longtemps)
Now it's finally time to leave
(Maintenant il est finalement temps de partir)
Yes, it's finally time to leave
(Oui, il est finalement temps de partir)
Take it calmly and serene
(Prends-le calmement et sereinement)
It's the famous final scene
(C'est la fameuse scène finale)

Faust savait. Il savait qu'il devait partir, parce qu'il y avait encore tant de noms qui le hantaient et jamais, non jamais, il ne pourrait se permettre de s'arrêter ou de se reposer avant d'avoir réussi à les retrouver, tous.

« Je vais revenir. J'te le promets, d'accord ? Je suis là maintenant, je ne te laisserai plus jamais tout seul. Mais il faut que tu me laisses partir, Isaac. »


Isaac ne lâcha pas. Faust soupira, déglutissant et ravalant les sanglots qui voulaient secouer sa gorge. Sois fort, Faust. Sois fort, mon chéri, c'est bientôt fini, lui chuchote la voix de sa mère de son esprit. Parce que même alors que son existence devrait la bannir loin, elle reste là. Toujours.

« Écoute-moi, s'il te plaît. Il faut que je retrouve les autres. Je suis là et ne partirai pas, mais il faut que tu me fasses confiance ; je t'en supplie. »
implore-t-il, osant à peine relever les yeux pour rencontrer le regard d'Isaac, parce que le désespoir qu'il peut y lire est suffisamment grand pour le faire craquer et il le sait.

Il peut sentir sa gorge se serrer, mais il a encore du temps à passer avant de pouvoir s'écrouler. Dalhia, Merlin, Notte et Thalie sont silencieux. Il attrapa la chaîne de son collier, la défit et la pressa dans la paume du suédois qu'il referma quasiment dans la seconde.

« Tiens. Tu sais ce que c'est, ça. Tu sais que je reviendrai pour le chercher, alors fais-moi confiance. Je t'en prie. »
demanda-t-il d'un ton suppliant et brisé.

Parce que ça, c'est une promesse. Et il sait qu'il la tiendra. C'est ironique que sa promesse prenne la forme du dernier cadeau de sa mère, qui servait le Régime, mais il était trop dévasté pour y penser.

It's been coming on so long
(Cette scène devait finir par arriver)
You were just the last to know
(Tu étais juste le dernier à le savoir)
It's been a long time since you've smiled
(Cela fait si longtemps depuis que tu as souri)
Seems like oh so long ago
(On dirait que cela fait longtemps, oh si longtemps)
Now the stage has all been set
(Maintenant la scène a été mise en place)
And the nights are growing cold
(Et les nuits se font froides)
Soon the winter will be here
(Bientôt l'hiver sera là)

Isaac hocha mollement de la tête, et dès qu'il comprit qu'il avait l'autorisation, Faust invita Thalie à partir.

« Va à Zazambes. Ramène-le chez ses parents et assure-toi qu'ils restent tous bien enfermés. Surtout, fais attention à toi. »

La Gardevoir hocha la tête et disparut en une seconde, ne laissant plus que Faust et Gallame, Démolosse ainsi que Noctali. Le châtain se releva difficilement, tremblant. Il essuya ses larmes, prit une grande inspiration, déglutit et décida de repartir faire ses recherches.
Tel', Yumi et Sam. Plus que trois. Encore trois.
Dalhia s'approcha de lui et émit un couinement plaintif, destiné à l'inciter à avancer.

« Je sais, Dalh'. Je sais. On y va. »

Et autour de cet amoncellement d'hommes et de femmes brisés, Faust ne peut qu'observer. Il y a encore une longue distance à parcourir, et il la traversera seul s'il le faut.

Now the lines have all been read
(Maintenant tous les dialogues ont été lus)
And you knew them all by heart
(Et tu les connaissais tous par cœur)
Now you move toward the door
(Maintenant tu t'en vas vers la porte)
Here it comes the hardest part
(Et là voilà la partie la plus dure)

Try the handle of the road
(Essaye la poignée de la rue)
Feeling different feeling strange
(Se sentir différent, se sentir étrange)
This can never be arranged
(Cela ne peut jamais être arrangé)
As the light fades from the screen
(Alors que la lumière disparaît de l'écran)
From the famous final scene
(De la fameuse scène finale)
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It's the famous final scene [OS]

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