You were there ♪


INFORMATIONS
NOM: Sansnom
PRÉNOM: Peter
SURNOM: (je vous laisse lui en trouver)
PSEUDONYME(S):
ÂGE: 13 ans à priori
DATE DE NAISSANCE: Sky s'en occupera
SEXE: Mâle, enfin, c'est la première chose qui pend quand on le voit !
GROUPE: Sale gosse Habitant
RÔLE: Sale gosse
MÉTIER/ÉTUDES: Sale gosse
ORIGINE: Sale gosse Européen, caucasiens


PHYSIQUE
COULEUR DE PEAU: Blanche, recouverte de boue et de poussière et d'on ne sait quel immondice
CARACTÉRISTIQUES DES CHEVEUX: Non entretenu, mi long, plutôt châtain... ou violet... ou... boue + branchage ?
CARACTÉRISTIQUES DES YEUX: Ambre/fauve, ayant toujours l'air de craindre quelque chose
DESCRIPTION DE LA SILHOUETTE: Disons-le honnêtement, il est pas bien grand, il mesure, d'après le médecin qui à dû sérieusement galérer pour le maintenir en place, 1m42, et pèserait 38 kg. Il est plutôt fin, mais pas famélique.
Il n'a pas l'air spécialement musclé, enfin, c'est qu'un gosse, mais il démontre pourtant une capacité physique et d'endurance plus importante qu'un enfant de son âge (va crapahuter pendant des années de vies dans la nature hein).
Il à la plante des pieds et la paume des mains recouvertes de cornes et d'ampoules. Quant-à son corps, quand ce n'est pas de la boue, laisse parfois voir de petites cicatrices, certainement d'ancienne blessure.
Outre cela, il ne porte rien d'autre que des brassards et des jambières de peau. A priori, il aurait tendances à s'appuyer surtout sur ces parties du corps là en escaladant, rampant, autre activité quelconque.
Outre cela, il parait en bonne santé.
PARTICULARITÉ: MUD EVERYWHERE


CARACTÈRE
PERSONNALITÉ: Craintif — Agressif — Vivace de corps — Toujours aux aguets — A horreur qu'on cherche à le forcer — N'est pas très futé quand on cherche à le duper — Curieux — S'attache facilement aux gens — Montre très vite des marques d'affection — Ne supporte pas d'être séparé de son Pokémon — Ne comprends pas toujours ce qu'est une télé — A tendance à vouloir manger toutes les petites bestioles qui trainent — Ne comprends pas qu'il faut d'abord acheter avant de croquer dans un fruit et de cracher sur quelqu'un parce que c'est trop acide, enfin c'est plutôt "Raaaahh blebpppepe" — Assez collant quand il vous apprécie — Facilement impressionnable par des tout petit truc — Totalement indifférent face à des exploits grandioses — Pleure facilement quand il est choqué — Discret en milieux hostile — Peu bavard — Assez têtu — Mord s'il se sent en danger
GOÛTS & DÉGOÛTS:  N'aime pas la sensation d'un vêtement sur le corps — N'aime pas la sensation de la lunette froide des latrines — N'apprécie que moyennement l'acidité — Mais adore le sucré — Aime la viande crue
ASPIRATIONS & PEURS: Apprendre ce que Sky lui enseigne — Connaitre le monde — Connaitre le gout de tout les Pokémon — Marquer son territoire partout — A peur du sang et des chaînes/fers (l'emprisonnement, la sensation d'être un animal en cage, de ne plus être libre)
ALLÉGEANCES: Neutralité (pour l'instant)


HISTOIRE

C'était ici non ?

Juste là, précisément à cet endroit. Il n'y avait plus aucune trace du passé, et pourtant, ce devait être ici. Cela fait combien de temps ? Il en avait perdu le compte, s'il n'avait pas oublié comment le faire.
Y avait-il autant de brume cette nuit-là ? En avait-il pleuré de terreur ? Ce souvenir, déjà bien lointain, était effacé de sa mémoire depuis longtemps, il ne devait rester que des bribes, des fragments de ce moment.

Ça c'était passé... non, il n'arrivait plus à se remémorer cet instant. Il faisait sombre, mais la lune s'était-elle parée de son manteau d'argent cette nuit-là ? Ou était le sang ? Ou étais les os ? Ou étais les restes, les affaires, les excréments et les pleurs de cette nuit funeste ?
Alors qu'il s'adossait au tronc de l'arbre, assis sur sa branche, il tenta un instant de savoir pourquoi il n'avait pas eu le droit de revenir ici. Ce jour là, il y à de cela des années depuis, que c'était-il passé.

Il faisait sombre. ♫

Le brouillard s'était levé, deux êtres, humanoïdes, était allongés sur l'herbe, comme s'ils étaient en train de dormir. Non attends. Ils étaient quatre. Un bébé se trouvait là, un peu plus loin, une partie manquante. Un enfant aussi, haut comme trois pomme, il semblait être le seul conscient, dans le creux de cet arbre.

Pourquoi pleures-tu mon petit ?

Les yeux exorbités, ils ne semblaient guère dormir en fait. Éventrés, les tripes à l'air, organes vital à nu, les os brisés, qu'est-ce qui est en train de vous dévorer ? Depuis quand êtes vous là sans réagir ? Depuis combien de temps pleure-t-il ?
Les os, cassants sous le poids; la chair, arrachée d'un coup de pattes; les membres, désarticulés quand elle jouait avec eux comme des marionnettes, de simples poupées de chiffons, sans vie.

Qui es-tu ? Qui est-elle ?

Dans ce rideau de brume, elle s'enveloppe, masse sombre et massive. As-t-elle vu ou se trouvait le dernier paquet de viande ? Il n'en sais rien, de toute manière, il ne peux que rester là, pantelant sans réagir, cimenté dans ce terrier. Totalement tétanisé, il ne peux qu'admirer l'admirable beauté, la grâce et l'aisance qu'elle a à éventrer et déchiré la viande et à l'engloutir.
Le temps défile, il ne saurais deviner le temps qu'il c'est déroulé; une seconde, une heure, ou une année. Tout ce qui compte à présent, c'est qu'elle semblait en avoir finis avec les parties intéressantes qu'elle avait engloutis, et à présent, elle humait l'air.
Comme si elle voulait supprimer toute la famille dans son ensemble, elle se mit à bifurquer vers lui, avançant d'un pas lent et menaçant.

Il ne put t'empêcher de hurler toute sa terreur quand une patte griffu traversa le trou, cependant trop courte. Elle dégagea son membre et entrepris de creuser et de briser le bois pour afin attraper l'asticot à la saveur tant recherché, pour pouvoir y enfoncer son membre plus profondément dans ce trou.
Mais elle s'arrête soudainement, quelque chose semble approcher, elle grogne. Elle recule, doucement, une autre créature et là, non, plusieurs à présent. Grande et haute, à l'allure particulièrement agressive et sauvage, un véritables troupeaux de dinosaures.
Belliqueuses et peu commode, elles grognent, se masse, font face à cette sombre et cruelle créature. Déjà qu'une seule d'entre elles pourrait lui faire du tord, alors un troupeau entier, autant abandonner sa proie pour ce soir.

Traumatisé, il as de violent spasmes incontrôlables, son esprit vogue lentement vers la folie, seul ses couinements dévoile sa présence. Une sainte mère tend des bras salvateur, même s'ils sont griffues et écailleux, même si sa grande gueule emplie de crocs le font frissonner, c'est son regard qui lui rappelait quelque chose. L'amour d'une mère.
Une tendresse dans ses mouvements, l'arrachant à sa cachette et le collant à son torse. Vidé de toute sa substance, il n'est plus qu'un misérable pantins sans réaction, les yeux pâles, le corps frêle, tremblotant.
Il sentit soudainement la chaleur d'une couverture, ou quelque chose qui y ressemblait. Quelque chose de légèrement élastique et chaud, contre le ventre de la bête, matriarche. Une poche ventrale.

Ce soir tu est en vie mon petit, mais le seras-tu encore demain ?

Les années défilèrent, du réconfort, une amitié avec un petit être perdu, et le voilà ici, sur le même lieu que ce jour là, assis sur la ramification de cet arbre, le dos collé à sa ramure, un Osselait sur son épaule. Cette nuit-là est profondément ancré dans tes souvenirs, mais elle est recouverte par un voile sombre et d'épais songe aussi lourd qu'un vieux chêne tombé lord d'une tempête.
Pourquoi cet enfant se retrouve ici, après si longtemps, seul ? Cette réponse, par contre, il l'a possède. Il l'a connait, et il en est encore terrorisé.

Elle était revenue frappé, lui arrachant pour une seconde fois sa mère, une grande T-rex, qui avait perdu son petit autrefois. Ayant toujours besoin d'offrir de l'amour maternelle, elle l'avait recueillis comme telle, et il vécu les premières années dans la poche ventrale d'une Kangourex. Quand il fut suffisamment grand, et surtout, qu'il eu quasiment oublié son traumatisme, il put enfin vivre une vie de liberté dans les jupons de sa mère.

Mais elle était revenue, la reine meurtrière. ♪

Pour la seconde fois, il avais perdu une figure maternelle, et pour la seconde fois, il se retrouvais seul. Bien qu'il eu un ami fidèle, et aussi peureux que lui, cela n’empêchait guère le fait qu'il soit délaissé.
Elle avait commencé à la dévorer alors qu'il s'était réfugié au sommet d'un arbre. Elle savait qu'il était là, et elle le ferrait tomber, ou irait le chercher, mais ce soir, c'était elle la plus forte, sa fierté reconquises, sa proie n'était plus que siennes.
Cependant, une Kangourex ne reste pas souvent seule, et son absence à tendance à attirer à elle ses congénères. Cette nuit non plus, elle n'assouvirais pas son besoin de se délecter du corps de ce gringalet, d'écraser sa cage thoracique et d'avaler son cerveau, met de choix.

Il ne pouvait plus rester ici, parmi elles. Il devait partir, au plus vite. Accompagné de son ami d'enfance, il se mit à fuir dès l'aube levé. Il n'osait guère se mouvoir sur le sol, il n'était plus le bienvenu ici, il n'était plus un être en fait, il était devenue une proie.
Sa pérégrination l'amena l'à ou c'était interdit par les liens maternelle, là où se trouvait la limite du territoire du groupe.
Sa mère lui avait toujours et absolument infirmer de traverser cette grotte qui rejoignait l'autre côté de la montagne, l'air qui en ressortait le prouvait, il s'agissait bien d'un tunnel avec une entrée et une sortie, et non un simple cul de sac. Il commença par escalader un ancien éboulis, prenant de la hauteur. Il préféré, de loin, se trouver sur une altitude différente de celle du sol, une sorte de sentiments de sécurité.
Là, au milieu des gravats, un nid, saccagé, avait du glisser d'un rebord de la paroi rocheuse. Le dévoreur d’œuf avait dû détruire ce dernier par inadvertance ou par loisir. Tant est que, parmi les coquilles vidés et brisés, il y avait là un œuf à peine plus petit que l'Osselait. Et pourquoi ne le prendrait-il pas ? Cela ferais un bon casse croute s'ils n'arrivait pas à tout faire suffisamment rapidement.

Ils continuèrent avec assurance, et une certaine aisance, leurs petite épopée géologique, s'enfonçant de plus en plus dans la noirceur des lieux. Bientôt, ils ne pourraient plus se fier à leurs yeux. Heureusement, la cavité semblait rétrécir et ne devenait à présent qu'un passage suffisamment épais pour laisse une main tâter la paroi, l'autre tenant leurs futurs petit déjeuner. Le petit Osselait s'était poser sur la tête de son ami, ses petites jambes ne lui auraient pas permis de telles enjambées, et puis il aurait put tomber dans de multiples trous par inadvertance alors que le petit d'homme glisser doucement ses petons, découvrant chaque anfractuosité, chaque faille, chaque courbe, chaque pores de la roche.
Mais bientôt, le bruit des pas dans la boue tinta dans la grotte en plus de celui de l'eau qui tombe et circule comme un petit ruisseau. D'abord ne dépassant pas le pied, il circulait actuellement avec cette terre humide juste en dessous des genoux. Plus fluides que des sables mouvants, il arrivait à se mouvoir sans se faire aspirer, évitant les quelques trous en pataugeant avec prudence.
Une odeur de charogne régnait, certainement un animal mort depuis un petit moment et qui n'avait pas encore finis de se décomposer.

Quelque chose les dérangeais. Déjà ils n'y voyaient rien, mais surtout, une sorte d'instinct, d'alarme qui tamponnait "danger" dans leurs cranes. Leurs sens aux aguets, ils savaient qu'ils n'étaient pas seul. Elle était là. Pouvait-elle seulement les voir ? L'odeur de pourriture masquait allégrement la leur, pour ne pas dire qu'ils en était imprégné à présent. Son odorat, gâché en ces lieux, elle ne devait plus que se reposer sur une chose : son ouïe. Il s'arrêta un court instant, tentant lui aussi de la capter. Il devait faire attention, son cœur battait la chamade alors qu'il n'avait rien fait pour, seul sa peur le rythmait, et là, il paniquait.
Un raclement de gorge de la reine lui appris qu'elle se trouvait à peine plus loin derrière eux, elle ne tarderait pas à leurs tomber dessus s'ils restaient ici, dans ce passage, à terre. Il avança avec discrétion et délicatesse dans le fluide gluant, cherchant de tout son être une prise dans la paroi, une suite de prise qui lui permettrait de monter cette fissure rocheuse un peu trop large pour pouvoir s'appuyer de chaque côté.

Elle approchait, il pouvait l'entendre, et elle devait se douter de quelque chose, elle semblait s'exciter, jubilant d'avance de sa "récompense". Il finit par mettre la main sur une partie plus édenté. Il commença à tâter rapidement le terrain, il y avait bien quelque prises, mais pourrait-il seulement aller bien loin ?
Il n'avait pas trop le choix, elle s'était stoppé, comme si elle était en train de deviner ou il était dans ce noir total.
En l'espace d'un instant, rien n'advint, il avait arrêté de respirer, elle aussi. L'Osselait glissa et se rattrapa de justesse à la tignasse du garçon, mais son couinement donna le coup d'envoi.
C'était l'affaire du plus rapide, et du plus chanceux, il allait laisser tomber l'œuf quand le petit lézard à cranes le récupéra et s'arrima à son ami, lui permettant de libérer ses deux mains pour escalader cette paroi devenu glissante à cause de l'eau. Il faillit faire un bond, sentant le souffle d'une patte passer non loin de son pied. Mais elle ne s'arrêterait pas là, elle savait ou il était, et elle ne le lâcherais pas. Il devait y avoir 3 à 4 fois sa taille entre eux, mais cela ne suffirait pas. Il se mit à déguerpir, prudemment, sur cette saillie rocheuse, suivis de près par elle, qui cherchait à son tour à le rejoindre, ou à le faire tomber de cette corniche.
Un mur ! Non ! Il ne pouvait pas rester bloquer ainsi ! Non ! Il s'agissait d'un énorme rocher, massif, d'un seul bloc, il devait se trouver là depuis longtemps. un passage se trouvait là, juste en dessous, entre la base de la saillie et celle du rocher, à peine une trentaine de centimètres, juste de quoi se faufiler.
L'Osselait partit devant, l'œuf dans les bras, il le suivit, rampant comme il pouvait. Quant-à la reine, elle se déchainait contre le bloc qui lui barrait la route. Ce dernier épousait la forme du passage au lieu de n'être qu'un bloc bien plane qui aurait laissé un passage pour la bête, comme le toit d'une main. Au lieu d'être un simple carré, ce bloc de pierre avait plutôt la forme d'un L et s'était encastré à l'envers, comme dans un jeu de construction, dans le passage plus bas de la reine. Il avait cependant une taille légèrement plus grande que prévu, laissant un minuscule tunnel praticable pour de petits êtres. Une chance que son ami soit l'un des plus petits parmi les siens. Elle cherchait surement à faire descendre le bloc afin de le bloquer, mais il devait être là depuis plus d'un millénaire, il ne bougerait pas. Cependant, le mince passage commençait à se rétrécir, mais une lumière se découpait, là, au loin !

Non ! Non ! Revient !

Il attrapa son Osselait avant qu'il ne commette l'irréparable. Le passage rétrécissait, et cette sortie n'était qu'une illusions. Ils ne pourraient jamais passer par là, même son ami, et se bloquerait de plus en plus en cherchant à arriver de l'autre côté jusqu'à ce que leurs cages thoraciques les compriment et les empêchent de rebrousser chemin. Il le tira de toute ses forces, mais le bestiaux, comme un insecte en pleine nuit, était obnubilé par la lumière du jour, pleurant de toute son âme, il cherchait réellement à s'en sortir. Mais c'était un piège géologique, une sorte d'entonnoir, une grande ouverture mais une petite sortie. Impossible de passer par là, ils devaient reculer.
Il le tira à lui et commença à planter ses pieds dans le sol pour l'attirer en arrière, poussant de son seul bras valide. Un endroit tellement exiguë, ils ne pouvaient pas se retourner. Alors qu'il avançait avec une lenteur mesurée, il remarqua, peut-être à cause de l'air circulant, qu'une faille se dessiner sur le côté, dans la paroi rocheuse. Peut-être que... Il devait tenter le tout pour le tout avant de devoir se résigner à revenir vers elle, vers la mort. Il se faufila dans l'espace béant, ils n'avaient que cette solution.

Les parois, suffisamment proches, lui servirent de soutiens et il put monter doucement cette faille. Sa main libre agrippa un rebord au-dessus de sa tête, c'était bientôt finie. Il y déposa son ami, tenant toujours l'œuf, résistant à leurs tumulte, et il finit, lui aussi, par se retrouver sur cette nouvelles corniches.
Les cris de la reine faisait rage, mais ils étaient en sécurité ici, à l'abri de tous. Une soudaine bouffée d'air frais vint leurs chatouiller les narines, la sortie ne semblait pas loin. Vers là, à gauche, cela semble s'éclaircir. Ils avancèrent, presque comme des demeurés, oubliant pratiquement toute prudence, ne souhaitant qu'une chose : sortir de ce fourbis !
Le petit Pokémon bifurqua et suivis le couloir, les larmes aux yeux de joie, il n'en pouvait plus, il devait éclater en sanglots. Le garçon aurait voulu faire pareil, s'il n'avait pas trébucher sur quelques choses, se rattrapant de justesse avant de faire une chute vertigineuses. Il eu du mal à remonter, mais une aide extérieur sembla le remonter... un peu trop. Il sentit soudainement le haut de son corps devenir le bas. Quelque chose c'était enrouler autour de sa jambe et semblait vouloir l'emporter au plus haut de la fissure, dans une profonde pénombre. Quelque chose de long et de gluant au toucher et qui remontait son membre antérieur. Comme si mille aiguille la transperçait, une douleur vive la traversa, puis il ne l'a sentie plus, du poison, quelque chose cherchait à endormir son corps pour se faciliter la tache. Il tira de toute ses forces sur la paroi rocheuses, il allait finir par lâcher, la chose se raffermit autour de sa cheville et atteindrait son bassin sous peu.
Son ami revint, versant toujours d'énormes larmes de crocodiles, mais il revenait avec une branche solide que le garçon attrapa et mit toute sa force à le tirer. Tant de forces dans une si petite choses. Il l'amena à lui, se rapprochant de la lumière et montra un rebord sur un mur de la sortie ou le garçon pouvait s'accrocher. Quand il se décida à agripper à cette bordure comme si cela était son dernier lien avec la vie, et ce devait être le cas, l'Osselait fonça dans le tunnel, os en avant, et d'un coup droit et sec, découpa net l'anguille végétal qui s'était arrimé au garçon avec la partie tranchante du tibia qu'il possède depuis toujours.
Un cri horrible retentit alors que le garçon se fit éjecter à l'extérieur, bientôt suivis par son ami.

L'air ! Le jour ! Enfin ! Ils en pleuraient. Mais ils ne devaient pas rester là. Rien ne disait que la créature qui cherchait à user du garçon comme un repas, ou peut-être comme un nid pour ses œufs, se fichait comme d'une guigne de la lumière du jour. Le Pokémon ramassa l'œuf posé dans un arbuste et ils s'éloignèrent, descendant une petit pente rocheuse recouverte de quelques buissons rachitiques.
Ils ne s'arrêtèrent qu'une fois à terre et loin de cette montagne, épuisé au point de tomber inconscient sur le sol, ils se trouvaient là, sur quelques choses qui ressemblait à de la terre battue, mais dure, et noire. Quelque chose sans confort et chaud, recouvert de bandes blanches. Ils n'avaient pas la force de s'écarter de cette longue bande qui leurs étaient inconnus, ils tombèrent dans les pommes, pleurant leurs libertés.

Sky...

HORS-JEU
PSEUDO: Hence ♥
ÂGE: 21 ans
DISPONIBILITÉ: Tous les soirs ♥ Dans mon lit ♥ QUOATE ?
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM?: Emimimimipedorainbowmimimimi
QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM ET DU CONTEXTE? Good job !
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Peter Sansnom [Provenance (Création personnel -dessiné par Azurdragon-) basé sur Tsunayoshi Sawada et Daisuke Motomiya]
CODE: Codes validés par Zek
AUTRE: Punaise mais le restera, genre, j'ai mis 30 ans à comprendre que c'était la suite du code et pas une formule pour dire qu'on restera violent *débile*

INFORMATIONS GÉNÉRALES
RAPPEL GROUPE: Habitant
RAPPEL RÔLE: Sale gosse

TEAM
1 ou 2 pokémons, à votre choix.
- Osselait ♂ - Zeulé - Tête de roc - Brave
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Peu de temps après l'adoption dans le troupeau des Kangourex, il était perdu, et ils sont très vites devenu assez proches à causes d'un malentendu entre eux, chacun voulant la dernière baie Oran qui, au final, fut dévoré par un Roucool qui à pris très cher dans sa gueule et à finit dans leurs estomac
 - Marcacrin ♂ - Cacrin - Benet - Prudent
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Trouvé avant d'entrer dans la fameuse grotte ou ils vécurent l'une de leurs plus effrayant aventure.

Bonjouuuuur mon petit shota o/

Je te l'ais déjà dit, mais j'ai beaucoup aimé lire ta fiche,et par conséquent, ton personnage. Peter est un sale gosse mais son histoire le rend très attachant (Kirikou!), cette dernière déborde d'originalité et le concept de l'enfant sauvage me paraît des plus intéressant à exploiter. Aussi, je trouve que la partie sur la rencontre avec Sky manque à l'appel, mais je compte sur vous deux pour remédier à cela in RP... J'ai envie de savoir comment Peter s'est fait apprivoiser, moué xD Après, si tu te sens de déjà l'ajouter ici, je t'en prie ^^

Brefouille, je pense que la validation te tend les bras, mais d'abbord, choisis donc le Pokémon pour  ton oeuf dans cette sélection:

I choose you petit cochonou !

J'éditerais l'histoire quand on aura un peu rp avec Sky, que je ne joue pas son perso comme ça xD