« C'est toi ou moi, l'un de nous est de trop! »

''Dégage'', de Bryan Adams.
 
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 Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain.

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Tomy Hawk
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Tomy Hawk
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Âge du personnage : 20 ans.
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MessageSujet: Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain.   Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. EmptyDim 23 Aoû 2015 - 16:59

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Tomy Hawk


INFORMATIONS
NOM: Hawk.
PRÉNOM: Tomy.
SURNOM: Tomy peut être considéré comme un surnom, mais bon, je le vois juste comme mon prénom. Puis ce n’est pas obligatoire d’avoir un surnom, non ?
ÂGE: 20 ans.
DATE DE NAISSANCE: 25 juin 1995.
SEXE:
GROUPE: Compétiteur & Habitant
RÔLE: Dresseur
MÉTIER/ÉTUDES: Rien à ce niveau-là, c’est le calme plat. J’ai tout quitté. Je vis au jour le jour avec mes propres moyens pour l’instant. Je reprendrais peut être mes études si je trouve un jour ce qui me passionne. Pour l’instant, avoir un métier serait simplement trop ennuyant et cela me prendrait trop de temps.
ORIGINE: Je suis un Anglais pur souche ! Je suis né en plein centre de Londres. Que dire de plus ?


PHYSIQUE
COULEUR DE PEAU: Mon teint est passe partout, ni trop pâle pour ne pas ressembler à un fantôme, ni trop coloré pour éviter de faire comme si j’avais de gros coups de soleil ou même des rougeurs de gênes qui ne sont pas du tout nécessaire.
CARACTÉRISTIQUES DES CHEVEUX: Mes cheveux, originellement brun sont devenus blanc comme la neige suite à une teinture lors de mon entrée au lycée. Depuis cette couleur ne m’a jamais quittée puisqu’elle fait ressortir mes yeux. Ces derniers sont toujours dégagés puisque l’on pourrait croire que je les fait tenir avec des tonnes de gel, alors que j’ai juste à passer une main pour les ébouriffer et c’est fini. Il n’a jamais été question de les démêler et encore heureux. Celui qui sera capable de dompter cette touffe blanche n’est pas encore né !
CARACTÉRISTIQUES DES YEUX: Mes yeux pourraient bien faire des envieux. D’un beau bleu azuré si clair qu’il pourrait presque sembler transparent. Cependant, aux reflets du regard on pourrait presque discerner de l’émeraude dedans. Si on dit que les yeux sont le reflet de l’âme, cela ne s’applique pas à moi. Mes yeux ne laissent rien paraître, il est très difficile de distinguer une quelconque forme de sentiment à l’intérieur et ce, grâce à de longues années de pratique. La seule chose que l’on pourrait trouver à trop me chercher, ce serait un regard à vous glacer le sang. C’est bien la seule chose qui pourrait faire peur d’ailleurs.
DESCRIPTION DE LA SILHOUETTE: Je ne suis clairement pas l’idéal masculin. Plutôt court sur patte avec mes 1m65, je ressemble plus à un gamin en pleine croissance qu’à un nouvel adulte. Plutôt chétif du
au manque de sport, ma carrure n’est pas des plus imposante. Parfois je regrette de ne pas avoir fait plus de sport que ça. Ma masse musculaire aussi inexistante que ma graisse, on pourrait dire que mes os ainsi que la peau qui les recouvre, pèsent 54kg.


CARACTÈRE
PERSONNALITÉ: Me décrire ? Vous m’en demandez un peu trop. Est-ce que je dois être honnête et ainsi exposer mes défauts ou simplement présenter l’homme que je pensais devenir ? Oh le mensonge n’est pas une option ? Très bien alors…
Je pense que la première chose que je pourrais dire pour me décrire est que je suis quelqu’un qui n’aime pas en faire beaucoup. Je ne parle du fait de mettre le paquet dans ce que je fais mais plutôt de ne pas faire tout court si c’est en option. Je pense que ce qui peut être évité de ne vaut pas la peine d’être fait. Trop d’effort et de temps perdu pour absolument rien, si ce n’est sa maigre réjouissance d’avoir réussi quelque chose. Je ne dirais pas être flemmard, je pense juste plus avec mon cerveau que mes muscles. C’est plus facile d’évaluer une situation que de se jeter dedans puis se dire « oups, maintenant comment je fais ? » Oui, je ne suis pas réellement du genre tête brûlée à foncer dans le tas. Et je suis très bien comme ça.
Je passe peut être parfois pour un abruti en agissant comme ça, à faire les choses sans vraiment d’ambition, mais j’ai juste besoin de motivation. Il est impensable que je me donne à fond si ça ne vaut pas le coup. Je ne dis pas que je n’aime rien. Attention, je ne suis pas du tout en train de dire que je n’aie pas l’esprit de compétition et que je n’aie aucune envie de gagner des challenges. Je précise juste qu’il faut que je puisse en tirer quelque chose. Je suis plutôt du genre stratège, rien que de nouvelles stratégies peuvent être utiles. Est-ce que c’est plus facile dit comme ça ? J’ai l’impression de m’embrouiller mais en même temps comment voulez que je sois clair et précis pour faire ma description. Je suis désolé, il faudra faire avec.
Même si ce n’est pas très plaisant à avouer, je suis quelqu’un qui repense beaucoup au passé et qui porte tout sur ses épaules. J’ai un réel problème à me dire que parfois, ce n’est pas de ma faute. Je ne sais pas trop pourquoi, je prends tout sur moi. Peut-être que c’est parce que j’ai toujours vécu dans cette optique-là ? Je prends les choses à cœur quand cela me concerne moi, ou même ma famille ou mes proches. J’ai tendance à tout garder pour moi-même si ce n’est pas la bonne chose à faire. Je n’embête personne avec mes opinions même si on en conviendra, ce n’est généralement pas la bonne façon de voir les choses. Comme je l’ai dit, je prends les choses à cœur quand ce sont des causes que j’aime. Même si je n’ai presque plus de famille, si je peux toujours veiller sur elle de loin, je le ferai. Tout comme je veillerai sur mes proches. Discrètement évidemment, je n’ai pas non plus envie qu’on me prenne pour un sentimental. Je dois vraiment en dire plus ? C’est super dur de parler de soi ! Bon ok, puisque je n’ai pas le choix…
Je suis une personne assez renfermée. Je m’habitue à être seul ou en compagnie de Sata. Disons que je n’ai pas réellement besoin de plus pour vivre. L’expérience m’a déjà montré que trop s’attacher n’apportait pas que des bonnes choses. Du coup, j’évite. Comment ça je n’ai aucune expérience ? Je me serais bien passé de ce commentaire. Tiens ajoute sur ta liste, que je me vexe assez vite. Susceptible, moi ? Tu me cherches, ou quoi ! Je suis normal, je réagis juste plus vite, c’est tout... Ah oui, je suis un peu rancunier aussi, comme ça tu surveilleras ce que tu dis si tu veux me reparler un jour. Hé ! Si je veux le prendre comme ça, je le prends comme ça. Non, je ne boude pas. Je râle. C’est encore une chose que je sais bien faire. Satisfait ?

GOÛTS & DÉGOÛTS: Qu’est-ce que j’aime ? C’est vraiment obligatoire ça aussi ? Euh… J’aime ou plutôt j’adore Sata. Ce petit Malosse est réellement devenu ma raison de vivre suite au décès de Fluffy. Donc forcément j’adore lui faire plaisir et le chouchouter. Je savoure nos grands moments câlins. Ils ne sont pas rares, mais ils sont tous uniques du coup, je profite ! Je mets de suite les choses au clair, les seuls moments où je me permets de redevenir un gamin (j’entends bien aussi niais qu’un marshmallow), c’est quand je suis avec lui. Qu’est ce qui m’attire à part lui ? Je ne sais pas trop.
Je n’ai jamais trop eu l’occasion de me demander ce que j’aimais. Ah si, manger ! Alors ça, je pourrais participer à des concours pour ça. Je suis un gros mangeur et je l’assume. Je peux vider un garde-manger dans un temps record, mais bon en général j’essaie d’être discret là-dessus. On peut dire que ça marche puisque mon corps est du genre à ne pas prendre un gramme pour les quantités de nourriture avalée. Je dirais que, juste pour ça, j’aime mon corps.
Parce que oui en fait, je n’apprécie pas trop d’être aussi grand qu’un nain de jardin. Disons que la virilité masculine n’est pas réellement reconnue une fois que l’on me voit. Bon après je n’irais pas non plus jusqu’à me plaindre. On dit que tout ce qui est petit est mignon mais bon. Contre une grosse paire de muscle, je ne suis pas sure que ma petite tête suffise. Malheureusement. J’ai déjà essayé. L’essai n’a pas été très concluant donc je n’ai pas retenté. Je ne suis pas violent donc par défaut, je suis pacifiste. Je ne trouve pas intéressant de se taper juste pour pouvoir affirmer une quelconque supériorité.  Les bagarres font parties des choses qui me rebutent. Bon je ne m’avance pas non plus. Surement aurais-je aimé aussi si j’avais eu de quoi me défendre. D’accord j’avoue, j’adore voir quelqu’un qui m’embête fuir devant les crocs de Sata. Sadique ? Non, loin de là, comme je l’ai dit, j’apprécie nos moments à deux. J’aime bien.
Qu’est ce qui me rebute autant que les bagarres ? Rien ne me vient à l’esprit. Hum… Ah si j’aime bien le sport, mais je déteste par-dessus tout la natation. En fait, je préfère être posé dans l’eau, tranquille plutôt que de faire des longueurs. Sérieusement, je sais nager alors pourquoi je m’embêterais à faire des aller et des retours juste bons à m’épuiser. Hors de question que je mette un seul pied dans l’eau dans ces conditions.
Soyons honnête. Comme j’aime beaucoup lézarder, disons que j’évite de faire grand-chose. J’ai déjà assez vu de chose quand j’étais petit donc je ne prends pas forcément le temps de découvrir d’autres choses. En même temps, ce n’est pas comme si j’avais vraiment envie. C’est presque fou de dire ça. Il y a bien une chose que j’aimais quand j’étais gosse, c’était l’escrime. Mon père m’avait appris. C’était un peu notre activité père-fils. J’étais bon, je pense. J’aimais bien pour une fois sentir qu’avec ce sabre dans les mains, je pouvais être capable de tout. J’ai arrêté certes mais ce n’est pas l’envie qui me manque de reprendre. Je pense que cela serait agréable pour moi de m’y remettre. Mais bon après est ce que j’irais jusqu’à dire que c’est une passion ?
Après, tu sais, comme je l’ai déjà (trop) dit, se décrire, c’est vraiment quelque chose d’assez impensable. Je ne sais pas trop ce que j’aime ou n’aime pas, juste quand j’y pense. Il faut que je me retrouve en situation et que ça me vienne tout seul. Là, tu te contenteras simplement de ça, c’est déjà bien !
ASPIRATIONS & PEURS: Mes peurs se résument à être complétement seul. J’ai déjà perdu ma famille et bien qu’avec mon père tout ne soit pas parfait entre nous, s’il venait à passer de l’autre côté, je serais perdu. Littéralement. Mais si jamais je venais à perdre Sata alors je pense que je ne vivrais plus. C’est peut-être penser radicalement mais j’ai déjà perdu mon plus proche compagnon et il est hors de question qu’une chose pareille se reproduise. Ce pokemon est une sorte d’âme sœur. Chaque dresseur possède un pokémon qui est relié à son cœur comme s’il faisait partie de lui. Pour moi, c’est Sata. Il me quitte, je quitte le monde. C’est simple.
Après je ne sais pas trop ce qui m’effraie. Je n’ai pas de phobie, du moins je ne l’ai pas encore trouvé. Je n’ai jamais trop eu de situation effrayante jusque-là. Je ne me plaindrais pas. Hum. Donc passons les peurs. Je ne mens pas en disant que je n’en ai pas. Ce n’est pas du tout que je me crois invincible, ok ?
Je n’ai pas trop d’objectif. Je n’ai jamais réfléchit à ce que je voudrais accomplir dans le futur. Depuis que je suis gamin, je me laisse aller et je n’ai jamais eu de brillante idée de métier comme tous les autres enfants. Je n’ai pas eu cette chance. Donc j’avance. Pour l’instant avec Sata, on va essayer de s’entraîner un peu. Le pauvre, il voudrait bien devenir un peu plus fort et ce n’est pas à Londres que son souhait va se réaliser.
Je sais que cela peut paraître fou de ne pas avoir de rêve, mais pourtant c’est le cas. Donc autant vivre les aventures qui viendront et voir si ça aboutira ?
ALLÉGEANCES: Le régime ? La résistance ? Je ne vois pas du tout ce que sont ces organisations, mais il est hors de question que je m’implique. Le chaos reste loin de moi, je n’y touche pas !


BIOGRAPHIE
« Je n’ai pas choisi de naître. Je n’ai pas choisi où et quand. Je n’ai pas choisi en quelles circonstances. Je n’ai pas choisi non plus tout ce qui arriverait. Je n’ai rien décidé. Je n’ai rien contrôlé. Est-ce là un reproche que je me fais ? Oui parce que je m’en veux de n’avoir rien pu faire. Je peux admettre le fait que la vie m’ait été donné, en revanche, je ne supporte pas d’être impuissant à propos de ce qui m’est cher. J’ai assisté à la chute de ma famille. Comme un simple spectateur, j’ai juste regardé sans même me poser la question de savoir si je pouvais faire quelque chose. Et même si je l’avais fait, je me demande ce que cela aurait bien pu changer. Peut-être que si je me posais correctement la question, que je prenais un autre point de vue, je verrais que je n’y suis pour rien. Que ce qui doit arriver, arrivera. En attendant, c’est rongé par la culpabilité que j’ai continué de vivre avant d’enfin ouvrir les yeux et de réaliser qu’un tout nouveau monde m’attendait.
C’est vers le début de l’été 1995 que je suis né dans la petite maison de la famille Hawk. J’étais ce que l’on pourrait qualifier d’enfant plus que désiré. En effet, mes parents m’ont toujours dis qu’ils avaient presque fini par perdre l’espoir de voir un jour naître leur enfant. Mais finalement, j’étais venu au monde pour leur plus grande joie. Même en racontant cette histoire, je ne saurais comment décrire cette profonde euphorie qu’ils avaient ressentie lors de mon arrivée. C’est un sentiment unique qui n’arrive qu’à de rares occasions, et n’ayant jamais vécu dans une telle situation, je ne pourrais pas expliquer ce qui se passe dans notre cœur à ce moment-là. Aurais-je un jour la chance de connaître ce bonheur ?
J’avais donc vu le jour dans une petite maison en plein centre-ville. C’était un emplacement près de tous les magasins ainsi que de tous les transports en commun. Je peux aisément affirmer que je n’ai pas eu grand mal à m’épanouir. Chouchouter par des parents aimants, une famille assez soudée pour nous supporter, un petit chien tout mignon du nom de Fluffy (cliché mais mignon), j’ai passé la plus grande partie de mon enfance, disons jusqu’au collège, dans une ambiance d’amour et de sourire. Jamais je ne pourrais me plaindre de ce que j’ai vécu. Mes journées, je les passais le plus souvent avec notre chien au doux surnom de Fyfy. Surnom ayant été trouvé alors que j’avais encore un peu de mal à prononcer certains mots correctement. On ne m’en voudra pas pour ça… J’aimais beaucoup ce petit Beagle toujours plein d’entrain. Je me souviens qu’une fois, j’avais dû lui faire des papouilles pendant près de deux heures, et il en redemandait toujours avec un petit grognement plus attendrissant qu’effrayant. J’ai toujours su que ce petit camarade était un ami très proche de moi lorsque je faisais une bêtise. Vif et intelligent, j’avais souvent l’impression que c’était lui qui m’aidait à m’en sortir.
Casse un vase ? Le chien t’aidera à tout cacher sous les meubles.
Tu n’aimes pas ce que tu as dans l’assiette ? Donne tout à la truffe ambulante qui se fera une joie de t’aider. Discrètement si possible.
Enfin, vous voyez bien le genre. Après tout qui n’a jamais fait ça alors qu’il avait un si bon compagnon à ses côtés. C’est bien grâce à toutes ses petites expériences que j’ai pu tisser une bonne complicité avec lui. Fluffy & Tomy. Team de choc n’est-ce pas ? On allait souvent jouer dehors avec les enfants du quartier. Ils adoraient le petit Beagle tout comme moi et on s’amusait bien tous ensemble.
Je passerai sous silence la partie école. Ou plutôt je serais juste bref. Si je suis allé à l’école, c’est bien parce que j’y étais forcé. Je n’ai pu trouver qu’un seul petit côté positif : me lever tous les matins pour aller retrouver mes amis. Après, les profs, les devoirs, disons que tout ça, je passais volontairement à côté. Je me doute que j’ai dû donner bien des soucis à tous mes enseignants, mais c’était juste que je n’aimais pas ça. Je n’aime pas étudier, je préfère flemmarder (c’est toujours d’actualité à ce jour d’ailleurs). Pourquoi se forcer à faire quelque chose que l’on n’apprécie pas ? Ce n’est pas pour autant qu’il faut croire que je suis stupide, c’est juste qu’apprendre des poèmes par cœur qui ne nous serviront plus, vous voyez… Est-ce que sérieusement, on peut se présenter pour un poste, et après avoir salué quelqu’un, lui dire : « C'est un trou de verdure où chante une rivière… » et directement entendre que l’on est pris ? Ce n’est pas sérieux de raisonner comme ça. Donc disons que côté école, ce n’était pas vraiment magnifique au niveau des notes. Je sais que mes parents étaient désespérés mais je ne pouvais vraiment rien y changer. J’y allais vraiment à reculons… Vint le collège qui ne fut rien d’autre qu’une simple reproduction du primaire. Pas pire, pas mieux. Et enfin la période du lycée. Tant de chose à dire, trop de chose à raconter, trop de dégâts…
Disons que ce ne fut pas de tout repos durant cette période. Si mon comportement avait su me guider jusque-là sans me faire obstacle, cette fois ci, on pouvait dire que ça ne passait plus. Déjà très peu apprécié du corps enseignant, ma difficulté à m’intégrer fut flagrante. On m’évitait comme si rester avec moi allait leur attirer les foudres des adultes ou bien même les faire régresser. Pour des lycéens, on peut dire qu’ils n’avaient pas grand-chose dans la tête. Mes parents avaient choisi de me placer dans l’un des lycées les plus renommés. Ayant du insister fortement (et plus) pour que j’y rentre, ils avaient espoir que je me révèle être un petit génie des maths ou je ne sais quoi… Sauf que ce n’était pas du tout l’environnement qu’il me fallait pour pouvoir être à l’aise, pour être moi. Heureusement, je pouvais toujours compter sur mes anciens amis qui eux savaient qui j’étais vraiment et ne jugeait pas par ce qu’ils croyaient savoir de moi. Suite au comportement de tous ces inconnus de me mettre à l’écart, j’ai décidé que je serais différent. Que je me ferais remarquer. Tant qu’à faire, autant rentrer dans le rôle jusqu’au bout ! Ma chevelure brune est devenue alors, blanche comme la neige. Cela fait ressortir mes yeux n’est-ce pas ?
Je crois que cette seule action à permit à tout le reste du lycée de savoir qui j’étais. Mais je m’en fichais, je restais moi-même et je continuais à vivre simplement. Bon, ma mère a réellement frôlé la crise cardiaque en me voyant rentrer ainsi à la maison la première fois. Mais avec mon air satisfait, elle n’avait rien dit, et m’avait juste adressé un tendre sourire. Je m’en rappelerai toujours. Pendant cette période, ma vie était tout simple. Chaque soir, je rentrais chez moi en compagnie de mes amis, et j’avais la joie d’être accueilli par Fluffy lorsque je poussais la porte d’entrée. Cependant, lors d’un jour comme un autre, mon cher Beagle n’est pas venu. Il n’était pas la quand j’ai passé la porte d’entrée. Il n’est pas venu non plus me faire la fête quand j’ai enfilé mes chaussons. Il n’est simplement pas venu. Je n’ai pas réellement réagi lorsque ce silence m’a répondu. Je dirais que le moment où j’ai vraiment réagi fut lorsque je suis entré dans le salon. Les yeux emplis de larmes de ma mère, le regard voilé de mon père, et surtout l’absence de notre plus fidèle compagnon. Je n’ai pas pu m’empêcher de poser cette question qui me brulait les lèvres : « Ou est Fluffy ? » Le seul reniflement de ma mère me répondit et c’est ainsi que je quittais la maison, prenant soin de témoigner ma colère, en claquant la porte. Je me suis mis à courir, je ne sais trop où mes pas m’ont rendu mais je me suis juste étalé sur le sol (dans un coin isolé), me laissant pleurer plus que raison. Comme si le ciel voulait pleurer à mes côtés, partager cette souffrance, la pluie se mit à tomber, se mêlant ainsi à mes larmes. Je venais juste de perdre Fluffy. Plus tard, lorsque l’on m’a jugé apte à connaître la raison de sa disparition, j’appris que mon meilleur ami s’était fait renversé par un chauffard ivre qui n’avait rien trouvé de mieux à faire que de conduire sous l’emprise de l’alcool. Je n’avais vraiment pas digérer l’histoire, et je ne peux toujours pas y repenser sans devenir morose.
Pendant un certain temps, j’ai cru que notre cher défunt compagnon était le gardien de la famille. Puisqu’à partir de ce décès tout a dérapé. Je me suis fait virer du lycée. Il faut croire que mon comportement n’était pas acceptable. Je m’y attendais un peu. A force de pousser, et pousser… Je dois avouer que j’avais –légèrement mais alors très légèrement– disjoncté. J’étais devenu une sorte de mur face à mes amis, leur fermant complétement mon cœur, et ainsi toutes mes pensées. J’avais peut être un peu abusé de violence face à certains regards que je qualifiais d’irrespectueux à mon égard. Et le tout cumulé n’a pas donné une si belle image de moi. Je ne suis pas violent pourtant, je ne l’ai même jamais était. Je m’enfonçais alors dans une spirale infernale qui ne me permettait pas de m’échapper de l’enfer que je m’étais moi-même créé. Mes parents étaient dévasté suite à mon exclusion, et à mon comportement. Ils ne me reconnaissaient plus et je dois avouer que moi non plus, je ne savais plus qui j’étais. Je me suis laissé aller et j’ai trouvé ça tellement plus facile d’éviter ce problème plutôt que de le résoudre. Je n’avais pas pu prévoir que ça tournerait ainsi…
Ma mère ayant toujours su que Fluffy avait été très important pour moi, avait cru bon de me confier un jeune Malosse. Je ne sais pas ce qui lui ai passé par la tête, ni même comment elle l’avait trouvé, mais elle s’était mise cette idée en tête qu’il fallait un nouveau compagnon à mes côtés. Sur le moment, je dois avouer que j’ai vu rouge. Comment pouvait-elle penser que mon meilleur ami pouvait être remplacé par un autre si simplement ? Comme s’il suffisait de claquer des doigts pour que la magie opère ? Même si je m’en veux aujourd’hui, j’ai eu beaucoup de mal à pouvoir regarder ce pokémon sans lui lancer un regard montrant clairement mon inintérêt pour lui. Je ne me reconnaissais pas, je n’étais pas moi-même durant cette période. J’ai donc laissé ce pauvre animal de côté sans vraiment chercher à le comprendre. Et pourtant j’ai bien vu ses yeux qui me regardaient comme si je pouvais être toute sa vie. Comme s’il pouvait m’aider, comme s’il n’attendait qu’un seul mot de moi pour bondir à ma rescousse. Je l’ai vu, mais j’ai préféré fermer les yeux. C’était tellement plus simple.
Peu de temps après, mon père perdit son travail suite un licenciement de masse dans son entreprise. Très vite, n’étant pas capable de trouver de nouveau de quoi nourrir la famille convenablement, il tomba en dépression. Etant moi-même de ce genre de cas, j’ai continué à faire comme si je ne voyais pas ce qu’il se passait sous mes yeux. Je préférais être seul, et encore une fois, faire ce que je savais faire de mieux, laisser couler les choses et attendre que ça passe. Ma mère se démenait pour pouvoir ramener de l’argent à la maison, pour nous faire vivre, tandis que je profitais de tout mon temps pour le gâcher en cigarette, et même en drogue parfois, bien que je m’en veuille d’avoir fait ça. Je ne pourrais jamais retourner en arrière et changer mon comportement qui a été plus qu’inacceptable.
Très vite la famille Hawk s’en est mêlée. Et les liens qui jusque-là étaient bien entretenu, commencèrent à s’effiler. Le soutien que nous avions eu tout ce temps, semblait juste avoir disparu. Nous nous sommes retrouvés seuls, isolés du reste du monde. Nous n’étions plus qu’une mère, un père dévasté, et un ado qui se contrefiche de tout. Autant dire que nous ne nous étions pas engagés sur la bonne voie dès le début des problèmes. A force de stress, et d’aucun réconfort auprès des deux hommes de sa vie, ma mère tomba malade. Très malade. Si bien qu’elle s’envola loin de nous, dans le ciel, libérée de tous ses problèmes dans les trois mois qui suivirent. A dix-sept ans, je venais de perdre ma mère. C’est sa perte qui m’a permis d’ouvrir les yeux. De réaliser qu’il était temps pour moi de réagir. De ne pas continuer à couler toujours plus profond. J’ai aidé mon père à retrouver le sourire. Ce fut loin d’être aisé mais j’y suis parvenu. Je ne sais toujours pas comment d’ailleurs. J’avais l’impression qu’en l’aidant à remonter cette pente, je m’aidais moi-même. J’ai aussi appris à connaître ce brave petit pokémon qui a dû vivre dans une ambiance plutôt chaotique jusque-là. Il m’a été difficile au début de tisser de vrais liens avec lui, Fluffy toujours dans ma tête. J’ai pourtant appris que même s’il n’était plus avec moi, il ferait désormais partie de moi. Le pokémon feu m’avait ainsi ouvert son cœur comme il ne demandait qu’à le faire. Je n’étais plus aussi seul. J’avais appris à garder mes secrets, mais pas pour autant m’enfermer sur moi-même.
Je ne suis pas particulièrement fier de ce que je suis devenu. Je sais juste que je suis enfin moi-même. Je ne vis peut-être pas ce que je voulais vivre quand j’étais encore un gamin, mais je sais que je ne regrette pas d’être sur cette terre. J’ai encore du mal à vivre ici. Dans cet endroit qui a connu cette partie plutôt sombre de mon passé. J’ai parfois encore un pincement au cœur quand je marche dans les rues, mais je me dis que je n’aurais pas pu lutter contre ce qu’on appelle le destin. S’il avait décidé de s’abattre, c’est qu’il allait le faire.
»
Le silence prit place dans la pièce. Seul le bruit d’un stylo sur du papier. Tomy observait de son regard azuré la personne en face de lui. L’homme replaça ses lunettes correctement et posa sa tablette de papier sur le bureau à côté de lui. Il ne dit rien pendant quelques instants avant de laisser apparaître un fin sourire sur ses lèvres.
« - Si je peux me permettre, en quoi aviez-vous besoin de mon aide ? Vous semblez bien avoir saisi le problème et remonter la pente tout seul, non ? »
Tomy laissa son regard vagabonder pour observer le bureau du psychologue en face de lui. En effet, il avait ressenti le besoin de confier tout ce qu’il avait sur le cœur depuis un certain temps en étant certain que jamais ça ne ressortirait de ses murs. Ainsi il avait pu se confesser et ainsi vider tout ce qui lui passait par la tête en rapport avec son passé. Mais maintenant qu’il avait fait ce pas en avant, il ne savait plus comment avancer. On pense que c’est facile une fois avoir avoué les choses, de continuer sa vie, et de passer à autre chose, mais Tomy lui n’arrivait pas à comprendre cette vision des choses.
« - Maintenant que j’ai pu affronter le problème, j’ai l’impression que je ne sais plus quoi faire. Comme si je venais d’arriver au sommet d’une montagne sans savoir quoi faire ensuite.
- Et pourquoi ne pas changer un peu d’air ? Reprendre à zéro ? Je ne parle pas d’oublier ce que vous avez vécu mais de le garder en vous, de vous en servir pour avancer dans une direction qui vous semblez plutôt flou avant ? »
Partir ? Ce mot résonna plusieurs fois dans la tête du blanc. Il n’y avait pas réellement pensé étant enchainé à ses chaines du passé. Maintenant qu’il pouvait dire qu’il avait les pensées claires, il pouvait envisager de se reconstruire ailleurs, sans se laisser hanter par ce qu’était sa vie avant. La seule chose qui le retenait encore, c’était son père. Comment pouvait-il le laisser seul sachant qu’il pouvait retomber à tout moment ? Passant une main dans ses cheveux, il laissa tomber sa tête en arrière en soufflant.
« - Partir, oui, mais où ? Je ne suis jamais allé plus loin que ma petite ville.
- J’ai entendu que vous aviez un Malosse, alors vous pourriez essayer de tenter votre chance sur l’île d’Enola ? Un haussement de sourcil lui répondit. Oh, je vois que vous n’en avez pas entendu parler ! C’est une île où se trouve une grande compétition qui rassemble les meilleurs dresseurs. Enfin si je ne me trompe pas.
- Je ne fais pas parti des meilleurs, je n’ai même jamais disputé de combat pokémon !
- N’est-ce pas l’occasion d’apprendre et de trouver un but ? »
Tomy ne sut quoi répondre tant les mots de ce psychologue était juste. Il ne savait pas quoi faire mais on venait de lui donner un nouvel objectif à attendre et en compagnie de l’un de ses compagnons. On venait de lui donner la chance qu’il attendait. Sa sortie de secours. Son renouveau. Une façon de tout recommencer sans rien abandonner. C’est décidé, rendez-vous sur Enola. Une nouvelle lueur de détermination s’installa dans son regard. C’était une lueur qu’il croyait avoir perdu.
« - Je vois que votre décision est prise. Pouvez-vous me rendre un service ?
- Euh… Oui ?
- J’ai un pokémon en ma possession. Malheureusement, je ne suis pas un dresseur dans l’âme et le pauvre doit bien se sentir à l’étroit dans sa pokéball. Pourriez-vous en prendre soin pour moi ? Un ange passa. Je sais que c’est beaucoup demandé alors que je ne vous connais que depuis aujourd’hui. Cependant, vous m’avez l’air d’être un homme de confiance. Et puis, vous possédez déjà un pokémon, vous possédez donc les capacités nécessaires pour gérer celui-ci !»
N’ayant pas de mots pour répondre, il se contenta de hocher la tête, perturbé. Si s’occuper de son Malosse était facile car ce dernier lui rappelait son Fluffy, s’occuper d’un pokémon qui n’avait vraiment aucun lien avec lui, là… Il ne savait pas s’il en était capable. Malgré tout, il décida qu’il tenterait de donner une bonne maison à ce petit. Après tout pourquoi pas ? Avec une poignée de main, les deux hommes se séparèrent. L’un venait de s’hotter un poids de ses épaules, et l’autre était soulagé d’avoir pu sauver une vie. Tomy s’éloigna du cabinet rentrant chez lui rapidement. Sur le chemin, il n’avait qu’une pensée en tête, cette fameuse compétition sur cette île inconnue. Pour être honnête, il y pensait sérieusement.  L’ennui c’est qu’il ne se voyait réellement pas laisser son père seul. Il avait beau ne pas montrer son affection en public, il aimait son père, et depuis que la famille leur avait tourné le dos, ce dernier était bien la seule personne qu’il lui restait.
Une fois chez lui, il prit plus de temps que d’habitude pour se déshabiller et ranger ses chaussures. En soufflant pour se donner du courage, il entra dans la seule pièce allumée de la maison : la cuisine. En entrant, un petit éclair noir se jeta dans ses bras. Réceptionnant comme il pouvait le pokémon, il lui fit deux, trois caresses avant de se tourner vers son père qui sirotait une bonne tasse de café en lisant son journal. Gardant le Malosse dans ses bras, il se jeta enfin à l’eau après un petit raclement de gorge.
« - Papa, que ferais tu…si je décidais de… disons de… enfin, partir… ? »
Une tête émergea du journal, et une paire d’yeux verts se posèrent sur le jeune aux cheveux blanc. La réponse ne se fit pas attendre.
« - Qu’est-ce que tu as encore fait comme bêtise ?! »
Le ton sec de son père, le surprit. D’une part parce qu’il n’avait absolument rien fait pour le mériter, et les paroles utilisées le dérangeaient. Le « encore » était vraiment de trop pour le coup. Ça faisait bien un moment que Tomy s’était calmé et était rentré dans le droit chemin. De quel droit pouvait-il faire comme s’il avait réussi à s’en sortir tout seul sans l’aide de son fils ? Il pouvait clairement affirmer avoir été un pilier dans la vie de son géniteur, tout comme ce dernier l’était pour lui, rien qu’avec ses mots là, il était terriblement blessé.
« - Oh voyons ne prends pas cet air choqué ! On s’est très bien tous les deux que tu n’es pas le fils le plus innocent de l’univers !
- Qu’est-ce qu’il t’arrive Papa ? Questionna le jeune complétement dérouté.
- Je devrais plutôt te demander ça à toi ! Tu débarques avec cet air coupable et me demande comme je réagirais si tu devais partir. Que veux-tu que je te dise ? Vas-y, pars, fous ta vie en l’air mais ne m’implique pas. J’en ai assez de subir les conséquences de toutes les mauvaises décisions que tu prends ! »
Sans ajouter un mot de plus, le père quitta la cuisine rapidement, laissant le jeune adulte le regard perdu dans le vide, complétement bouleversé par ce qu’il venait d’entendre. Alors depuis tout ce temps, son père le considérait comme responsable des malheurs de la famille ? Alors qu’il avait vraiment fait de son mieux pour tenter de rattraper les conneries qui pouvaient être oubliées… C’est à cet instant qu’il comprit qu’en perdant sa mère, il avait par la même occasion perdu son père. Seulement, il ne le réalisait que maintenant. La douce caresse de Sata le Malosse sur son visage lui fit reprendre ses esprits. Coupable de ses erreurs du passé, il se rendit dans sa chambre, attrapa la plus grosse valise qu’il trouva et se mit à prendre ses affaires. Une patte se posa sur sa main, et un petit gémissement de la part de son compagnon de feu accompagna le geste. Rassurant du mieux qu’il le pouvait son compagnon, il finit de boucler sa valises.
Il ne voulait pas rester plus longtemps ici de peur de continuellement vivre dans son passé, et surtout pour éviter de faire face son père à chaque fois qu’il poserait les yeux sur lui. Peut-être que la fuite n’était pas la meilleure des solutions, mais il s’était déjà retrouvé confronté une fois à son père, et cela lui avait amplement suffit. Il n’était encore qu’un gamin qui voulait s’enfoncer dans son trou pour éviter que l’on creuse trop pour l’aider à remonter. Et pourtant même s’il avait grandi et qu’il avait presque réussi à tout laisser derrière lui, il semblerait que ce n’était pas le cas pour tout le monde. S’il disparaissait, il pourrait ainsi éviter beaucoup de tracas à cette personne qui lui a permis d’exister. Dans l’encadrement de la porte de sa chambre, la main sur la poignée, il fixa un dernier instant cet endroit qui l’avait vu grandir. Il lui fallut beaucoup de courage mais il réussit finalement à tourner le dos aux souvenirs et se dirigea vers l’entrée. Il croisa son père qui ne fit que fixer un instant la valise avant de poursuivre son chemin sans un mot pour son fils. Avec un soupir, finalement il regarda une dernière fois sa maison, avant de fermer la porte pour ne plus revenir, seul.
Fermer la porte aux souvenirs.
Fermer la porte pour empêcher son passé de ressurgir.
Fermer la porte et empêcher de faire souffrir son entourage.
Fermer la porte pour dire au revoir.
Fermer la porte pour prendre un nouveau départ.
Fermer la porte pour aller où ? Sur l’île d’Enola.



HORS-JEU
PUF: Yumi
ÂGE: 15 ans.
DISPONIBILITÉ: Peut-être pas autant qu’avant mais j’essaierai de passer au moins une fois par jour.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM?: Grâce à Zekrom lors de son ouverture.
QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM ET DU CONTEXTE? J’aime toujours autant ce contexte qui se démarque vraiment des autres forums pokémons que l’on peut trouver. Le nouveau design est juste carrément WOW !
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Toshiro Hitsugaya [Bleach]
CODE: Bouffé par Coba

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Tomy Hawk
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Tomy Hawk
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Date d'inscription : 23/08/2015

Âge du personnage : 20 ans.
Métier / Études : Rien à signaler.
Niveau : 20.
Team active :
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Sata
Malosse ♂ – Torche - Timide
Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. 033
Dino
Nidorino ♂- Point Poison - Jovial
Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. 288
Laiz
Vigoroth ♂ - Esprit Vital - Jovial
Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. 359
Kodoku
Absol ♂ - Chanceux - Rigide
Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. 418
Aria
Mustébouée ♀ - Glissade - Mauvaise
Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. 442
Misuto
Spiritomb ♂ - Pression - Assuré



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MessageSujet: Re: Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain.   Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. EmptyDim 23 Aoû 2015 - 17:03

FICHE DRESSEUR
INFORMATIONS
RAPPEL GROUPE: Compétiteur (Habitant)
RAPPEL RÔLE: Dresseur

TEAM
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] – Malosse ♂ - Sata – Torche - Timide
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Sata est le pokémon que ma mère m’a offert pour « compenser » la disparition de Fluffy. J’avoue que je n’ai pas été très tendre sur le coup, donc Sata est resté pendant un moment près de ma mère. On peut dire que notre vraie première vraie première rencontre s’est déroulé plus tard quand j’ai enfin compris que ma mère avait raison. Depuis Sata est mon compagnon le plus proche. Son caractère bien trempé reste très utile contre ceux qui tentent de venir trop près avec des intentions peu nobles à mon égard. Enfin c’est ce que l’on dira.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - Nidoran ♂ - Dino - Point Poison - Jovial
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Cadeau du Psychologue, je n’ai pas encore trop eu le temps de faire sa connaissance. Je sens juste que ça ne va pas être de tout repos. Je me dis que ce n’est pas pour rien que ce pokémon s’ennuyait dans ce bureau.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - Parecool ♂ - Laiz - Absentéisme - Jovial
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Œuf confié par le Directeur Éleveur lors de l'inscription au tournoi, afin d'évaluer la capacité d'adaptation du dresseur et la façon dont il traite un pokémon qu'il n'avait pas forcément envisagé à l'origine.



Dernière édition par Tomy Hawk le Dim 23 Aoû 2015 - 20:31, édité 1 fois
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Cobaltium
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MessageSujet: Re: Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain.   Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. EmptyDim 23 Aoû 2015 - 19:28

Oyooooooo!
Bon retour parmi nous, ma grande, c'est un plaisir de te revoir ici!

Je n'ai vraiment pas grand chose à reprocher à cette fiche. La vie de Tomy que tu as en plus écrite de manière très réaliste m'a touchée, ça m'a fait plaisir de lire une histoire plutôt "simple" pour un jeune perso à la recherche de ses repères perdus. J'ai bien envie de lui faire des calins, à ton Tomtom! >w< J'espère que Enola lui permettra de trouver son but... Et j'espère aussi que l'effet se fera pas à contre-courant xD

Bref, avant de passer à cette validation, voici ta sélection de Compétiteur!

   
SÉLECTION

   
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
#287 PARECOOL
Tomy n’aime pas les choses compliquées. C’est un bon vivant, quelqu’un qui aime le calme et prendre son temps. Lui donner un Parecool était donc plutôt evident dans son cas! Un beau duo de flemmard s’annonce si ils se retrouvent tous les deux!

   
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
#599 TIC
Alors, c’est un peu tordu. Tomy est un jeune homme à la recherche de nouveaux repères. Il est un peu paumé, et donc, je lui cherchais un Pokémon de type « bousole ». Alors, Tic n’est pas une boussole, mais il en a l’apparence ronde. C’est un Pokémon « machine », qui n’hésite pas, un Pokémon qui cogite. Et finalement, qui pourrait bien être utile à Tomy!

   
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
#390 OUSTICRAM
Eh bien, Tomy n’aime pas la bagarre? Voici donc un petit Pokémon roublard et farceur qui pourrait le dérider un peu, mais aussi le protéger une fois évolué, grâce à ses forces! Peut-être pourra-t-il apprendre à Tomy que parfois, se battre et les efforts apportent de grandes satisfactions ?

   
Un sélection un peu étrange, mais voila! J'espère que ça te plaira, et n'oublie pas de poster à la suite avec les informations du Pokémon choisi!
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Tomy Hawk
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MessageSujet: Re: Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain.   Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. EmptyDim 23 Aoû 2015 - 20:22

Déjà merci :3
J'ai pas voulu faire bien compliqué et son histoire m'est venue toute seule donc bon voilà, j'ai suivi mes doigts !
Par rapport au pokémon, je m'étais promis de prendre le 1er de la séléction. Alors même si Ouisticram me tentait bien, je pars pour Parecool. Je pense qu'on peut avoir un bon petit duo comme tu l'as dis (a)

So : Parecool ♂ - Laiz - Absentéisme - Jovial

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MessageSujet: Re: Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain.   Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. EmptyDim 23 Aoû 2015 - 20:29

La suite ne te surprendras pas, mais tu es maintenant validé!

Je te laisse reprendre tes marques tranquille, tu dois donc poster ton Pokédex et éventuellement ta fiche de liens quand le cœur t'en dira, je me charge de mon côté de ton sac!

Bon jeu sur Enola o/
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MessageSujet: Re: Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain.   Tomy Hawk - Où comment tout quitter du jour au lendemain. Empty

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