INFORMATIONSNOM: King
PRÉNOM: Mackenzie
SURNOM: Kenzie
PSEUDONYME(S): Perle d’argent
ÂGE:24 ans
DATE DE NAISSANCE: 14 mai
SEXE:Feminin
GROUPE: Soigneur
RÔLE: Hôte de pension d'Anula de génération en génération donc la spécialité est les evolition.
Pierre de la résistance, mais chut, c’est un secret!
MÉTIER/ÉTUDES: Elle a étudié les arts deux ans à Paris, mais ce n’est qu’un passe temps
ORIGINE: Angleterre, mais sa famille est sur l’île depuis deux génération.
PHYSIQUECOULEUR DE PEAU: Blanche telle que la douce neige d’hiver.
CARACTÉRISTIQUES DES CHEVEUX: Elle a les cheveux noir et court. Sa frange est sur le côté sans toute fois lui tomber dans les yeux. Ils sont soyeux et souvent ébouriffés.
CARACTÉRISTIQUES DES YEUX: Elle a de beaux yeux en amande avec de longs cils. Ils sont gris presqu’argent. Lorsqu’elle est fâchée, ils deviennent aussi froids que la glace. Ses yeux sont très expressifs et perçants, car elle ne fuit pas le regard d’autrui lui donnant parfois l'air hautaine.
DESCRIPTION DE LA SILHOUETTE: Elle mesure 167 centimètre et pèse 55 kilos. Elle a de petits os ce qui lui ont valus plusieurs fractures au cours de son enfance. Elle a des muscles ferment mais petits. Elle a peu de poitrine ce qui ne lui a toutefois jamais amené de complexe. Sa silouette n’a jamais été un problème pour elle, elle mange beaucoup mais se garde en forme par une course matinale à tous les jours.
PARTICULARITÉ: Elle a un tatou, mais peu connaissent son existence. Elle a un style vestimentaire rock classique. Jeans, veste en cuir et bottes hautes sont de mises. Elle est aussi fan du rayé. Elle porte des vêtements de ton foncé, mais garde le rouge pour les grandes occasions. Elle aime les friperies où elle achète des vêtements qu’elle modifie ensuite.
CARACTÈREPERSONNALITÉ: Autoritaire - Maître d'elle-même (calme en temps de crise) - Peu émotive (stoïque) - Indépendante - Autonome - Débrouillarde - Impulsive - Imprudente - Tenace - Perspicace et observatrice - Ouverte d'esprit - Secrète - Aime relever les défis - Artistique et Imaginative - Pointilleuse (perfectionniste) -Responsable et organisé - Solide et stable - Peu spontanée - Confiante (en la vie et en elle-même) - Curieuse - Appliqué et efficace - Aidante - Bienveillante (surtout envers les Pokémons) - Amicale mais directe et franche - Accepte peu la tromperie - Persuasive
GOÛTS & DÉGOÛTS: Elle aime toutes les formes d'art. Elle a un faible pour le dessin et la peinture, mais elle s'adonne parfois à la guitare et au chant, passion découverte à l'adolescence. Bien qu'elle n'aime pas cela plus qu'il ne le faut, il lui arrive de fumer. C'est surtout un moyen de se détendre. Toutefois, elle pourrait arrêter sans problème si elle le voulait. Elle n'aime pas vraiment la mode présenté dans les boutiques, elle a donc pris l'habitude d'acheter ses vêtements pour pas cher et de les modifier elle-même. Ainsi, ce qu'elle porte la représente vraiment. Elle paraît toujours sûre d'elle. Elle ne tolère pas la tromperie et le complot (deux caractéristiques du Régime comme par hasard...) Elle ne déteste pas grands choses dans la vie. Elle est plutôt indifférente face à la plupart des choses tandis qu'elle en adore littéralement d'autres. Par exemple, elle a un faible pour les fraises enrobées de chocolats. En fait, elle adore la bonne nourriture . Lorsqu'elle peut se le permettre, elle va dans un restaurant cinq étoiles. Elle n'est pas mauvaise cuisinière, mais elle n'est pas la meilleure. Messieurs, si vous la voulez pour vous, misez sur son estomac! Mais ce qu'elle aime le plus reste les Pokémons. Évidemment, elle a grandi avec eux, mais elle a développé un amour inconditionnel pour eux. Peu importe ce qu'elle fait elle ne peut s'empêcher de retourner vers eux. Ce n'est pas tant les combats ou les compétitions qui l'attirent mais les pokémons eux-mêmes. Ils occupent la majorité de ses dessins! Elle a une préférence prononcée pour les evolitions. Sa mère avant elle lui a transmis sa passion pour evoli, ce pokemon aux mille et une facettes.
ASPIRATIONS & PEURS: Elle aimerait beaucoup vendre l'une de ses toiles un jour. Elle peint pour le plaisir, mais au fond d'elle-même elle voudrait un peu de reconnaissance pour son art. Elle souhaite aussi réussir à ramener sa pension au renom d'antan. Une aspiration secrète qu'elle a est celui d'être mère un jour. Elle fait naître des bébés pokémons,mais elle voudrait un bébé humain bien à elle. Toutefois, avec le régime, elle a la tête ailleurs. Trop de gens qu'elle connait ont été arrêtés sans raison. Ses abus la révulsent. Elle souhaite donc faire ce qu'elle peut pour aider la résistance, même si ce n'est qu'indirectement. Elle n'était pas une personne peureuse de nature, elle a tendance à prendre la vie comme elle se présente à elle sans branler. Elle n'a donc pas vraiment de peur face à la vie, mais beaucoup d'espoir. Sa plus grande aspiration est de faire évoluer des evolis pour avoir toutes les évolutions. Toutefois, elle n'est pas pressée, elle a encore la vie devant elle!
ALLÉGEANCES: Comme vous l'aurez surement compris, Makenzie est favorable à la résistance. Son implication est ressente, mais elle les appuie depuis le début. Elle a toujours été fan de la démocratie, et alors même qu'elle a atteint sa majorité, le régime est venu bouleverser ses plans de liberté d'opinions. C'est , elle a toujours été portée vers la résistance.
HISTOIRE[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Livre Premier – La balançoire sous le pommier C’était une chaude journée de printemps, la petite maisonnée était en effervescence. Tout était prêt pour son arrivée. On avait tout organisé pour recevoir cet invité de marque. On lui avait préparé une chambre avec un beau papier peint de Pokémons. Après tout, rien de trop beau pour lui, on l’attendait depuis déjà neuf mois.
Quelques mois auparavant, Soana était revenue au nid familial après l’avoir quitté deux ans plus tôt pour aller étudier à Amanil. Elle était venue annoncer à son père, le renommé hôte de pension Sullivan King, qu’elle était enceinte. Elle était alors âgée de 21 ans. M. King avait très mal pris la nouvelle. Étant un homme fier et conservateur, il n’aimait pas que sa fille soit mère avant même d’être mariée. Lorsqu’il avait voulu savoir qui était le père, Soana était resté évasive. Il était un homme de bonne réputation, les ragots sur l’enfant de sa fille le perturbait donc énormément. Même s’il l’aimait profondément, il la traita froidement tout au long de sa grossesse.
Toutefois, Soana ne s’en rendit même pas compte. Elle était sur son petit nuage. Ce qu’elle n’aurait jamais avoué à son père, c’est qu’elle avait désiré cet enfant. Même si elle était jeune, elle voulait avoir un bébé tout rose juste pour elle qu’elle aimerait de façon inconditionnelle. Elle prépara elle-même la chambre de sa fille, car selon l’écographie, elle aurait une petite puce. Elle installa un petit berceau où débordait déjà plein de peluches de Pokémons, elle monta une bibliothèque avec les livres de sa propre enfance et elle installa le fameux papier peint. Elle était excitée à l’idée de son accouchement. Celui-ci arriva pile au moment prévu par une chaude journée printanière.
Elle accoucha chez elle, car Soana détestait les hôpitaux. De plus, cette pension ne serait pas à sa première naissance. Elle s’y sentait à l’aise et en confiance. L’accouchement se passa sans pépins. Il ne dura que quelques heures. Elle était faite pour être mère, elle le savait. L’enfant pesait un peu moins de 3 kilos à la naissance. Elle était minuscule et adorable. Ce fut l’amour automatique entre mère et fille. Même grand-papa King ne pu s’empêcher de tomber en amour avec la fillette. Ses yeux gris avaient le don de fasciner l’âme des gens. Il ne fut donc pas bien long à pardonner Soana. Au fond, ses ragots étaient sans importance. Il comptait bien profiter du retour de sa fille. Depuis la mort de sa femme et le départ de Soana, il se sentait plutôt seul, l’enfant amenait de la vie dans la maisonnée.
L’enfant grandit vite, un peu trop peut-être. On l’appela Makenzie, Makenzie King. Ses chevaux étaient aussi noirs et droits que ceux de sa mère. Ses yeux n’avaient pas vraiment la teinte traditionnelle des King. Sa mère et son grand-père avait tous deux les yeux bleus pâles. On pouvait donc supposer que son père avait les yeux gris. (Je ne m’y connais pas vraiment en génétique, désolée si ce n’est pas plus précis.) Elle pu marcher à 11 mois, à partir de ce moment, elle se mit à explorer partout. Elle avait un lien et une attirance très prononcés envers les Pokémons.
À l’âge de trois ans, elle parlait très bien l’anglais et le français. Elle était très intelligente et aimait apprendre. Elle observait beaucoup ce que sa maman et ce que son papi faisait. Elle répétait et imitait leurs gestes. Toutefois, avec son intelligence, elle développa son côté indépendante. Elle aimait réussir par elle-même et faire les choses seule. Elle n’avait pas beaucoup de contact avec les autres enfants car sa mère la garda avec elle à la maison jusqu’à ses cours préparatoires. Même une fois à l’école, elle ne se fit pas vraiment d’ami. Ses amis à elle, c’était les Pokémons. Chez elle il y en avait plein partout tout le temps. La pension était occupée. Tous les jours, il y avait des nouvelles demandes.
C’est durant ses cours élémentaires qu’elle se découvrit un talent pour les arts plastiques. Elle se mit à aimer dessiner. Cette nouvelle passion l’aida à sortir de sa bulle et de se faire des amis. Elle parait froide à la surface, ce qui avait toujours éloigné les autres. Au fond, elle était amicale et aidante. Elle restait fidèle envers ses amis même dans des situations difficiles. Toutefois, elle acceptait très mal la tromperie. Elle était donc toujours fidèle à elle-même.
Elle était fière de la pension familiale. Dès qu’elle le pouvait, elle allait aider son grand-père avec les Pokémons. M. King voyait en elle une future hôte de pension. Il se fît donc un devoir de lui apprendre tous ses secrets. Le premier qu’il lui apprit fut le respect des Pokémons. Elle était très bonne élève, mais surtout elle était intéressée. Elle absorbait les informations comme une éponge.
C’est à l’âge de huit ans qu’elle eut sa première vraie amie. C’est son grand-père qui la lui présenta. Pour l’introduire, il lui dit seulement : « Voici Mira, si tu t’y prends correctement, elle sera une fidèle amie qui t’accompagnera toute ta vie même dans les moments difficiles.» Son grand père venait de lui remettre un bébé evoli. Elle était adorable avec ses grands yeux bruns et son petit museau mouillé. Comme pour Makenzie et Soana, un amour fou et inconditionnel se développa rapidement entre l’enfant et le Pokémon.
À partir de ce jour, il ne se passa pas un jour sans qu’elles soient ensemble. Elle allait toujours se réfugier à la balançoire accrochée au vieux pommier près de sa maison. Elle était vieille, mais elle fonctionnait encore très bien. C’était son coin à elle. Elle avait la paix cachée sous les branches et lorsqu’une petite faim lui prenait, elle n’avait qu’à tendre le bras pour ceuillir une pomme. Elle y allait pour dessiner et pour entrainer son evoli. Makenzie comprit rapidement que son evoli serait une Aquali. Elle avait un don pour sentir ce genre de chose. Elle demanda donc une pierre d’eau pour son dixième anniversaire. Comme c’était sa seule demande, on la lui accorda. Mira devint une magnifique Aquali.
C’était une fraîche journée d’automne. Makenzie revenait à la maison à pied, comme à son habitude. En s’approchant de chez elle, elle eut un malaise, quelque chose n’allait pas. Elle entendait les Pokémons s’agiter au loin. Son grand-père ne laisserait jamais une telle chose se produire. Elle se mit à courir aussi vite qu’elle le pu. Elle vit plusieurs voitures garées devant la maison. Arrivé sur le porche, elle ne s’arrêta pas, elle ouvra la porte et se précipita à l’intérieur. Trois secondes, voilà tout le temps qu’il lui fallut pour comprendre. Sa mère en larme sur le canapé du salon, un policier aux airs mal à l’aise et ses voisins marmonnant des paroles réconfortantes à sa mère. Le plus important c’était l’absence de son grand-père.
Elle se précipita hors de la maison. Elle n’arrivait plus à respirer. Elle étouffait, mais elle continuait de courir. Elle ne voulait plus rien sentir, plus rien penser. Elle voulait disparaitre. Elle alla donc au seul endroit où elle pouvait se refugier : la balançoire sous le pommier. Elle y pleura encore et encore sans pouvoir s’arrêter. Les adultes commencèrent à la chercher. Ce fut Mira qui la trouva. Elle s’approcha d’elle tout doucement jusqu’à lui frôler les jambes qui pendait au dessus du sol. Kenzie leva la tête et regarda dans les yeux violets de Mira. Ils exprimaient une extrême tendresse remplie d’amour. Le cœur de la jeune fille se calma. Elle aurait presque pu entendre son grand père lui dire : « Voici Mira, si tu t’y prends correctement, elle sera une fidèle amie qui t’accompagnera toute ta vie même dans les moments difficiles.» Elle comprenait enfin le vrai sens de cette phrase. Cette révélation lui permit de se relever et de retourner vers la maison, Mira dans à ses côtés, les larmes derrière elle, enterrées sous le vieux pommier.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Livre deuxième – La peinture d’une vie Alors que Makenzie entra au collège, elle continua d’être aussi solitaire. Elle avait bien quelques amis, mais son cercle ne contenait que quelques personnes. De toute façon, elle n’avait pas beaucoup de temps à consacrer aux autres car dès qu’elle finissait l’école, elle se précipitait à la maison pour aider sa mère avec la pension. Finis les temps de calme et de paix pour peinturer. Elle rentrait à la maison, elle faisait des tâches pour la pension, elle faisait à souper, elle faisait ses devoirs, puis elle allait au lit. Le seule temps pour elle, c’était le vendredi soir, jour auquel sa mère lui accordait congé de corvées.
Ce temps précieux, elle le consacrait à ses amis. Ils étaient cinq, un guitariste, un batteur, un joueur de clavier (qui jouait aussi du saxophone), un bassiste et elle qui était la chanteuse. Ils avaient décidé de former un band. Évidemment, Mira était aussi de la partie, elle était la plus grande admiratrice et la mascotte du groupe. Kenzie était le nom de scène de la jeune fille. Son groupe, au départ impopulaire, pris en popularité. Si bien, qu’ils devinrent les petites vedettes du collège. La chanteuse profitait surtout du band pour apprendre à jouer des instruments de musique. Elle apprit rapidement la guitare, puis le piano.
Elle eut son premier petit copain à l’âge de 15 ans. Il s’agissait du pianiste de son groupe. Un beau et gentil garçon qui la traitait avec respect. Depuis l’école élémentaire, ils avaient toujours été amis, mais ce n’est qu’au lycée qu’il réalisa qu’il avait des sentiments pour elle. En effet, les cheveux noir jais et les yeux gris d’argent de la jeune fille lui fallu rapidement l’attention des autres garçons. En se voyant jaloux, il comprit. Il osa donc l’embrasser durant une soirée entre copains. Elle ne le repoussa pas, au contraire. Ses sentiments à elle se développèrent après petit à petit. Ce n’était pas l’amour avec un grand A, mais c’était une relation confortable et en confiance. Elle dura deux ans. Avec lui, elle eut son premier baiser, sa première relation sexuelle et sa première séparation. D’un commun accord, ils se séparèrent. Leurs sentiments étaient revenus une simple amitié.
En finissant le lycée, elle était plus confiante que jamais. Elle était belle, intelligente (sa moyenne était d’environ 95%), populaire (surtout au près de la gente masculine), talentueuse (son groupe de musique faisait quelques concerts), mais pourtant il lui manquait quelque chose. C’est Mira qui lui fit réaliser ce qui lui manquait, l’art. Pas seulement la musique, le dessin et la peinture. Elle aimait son groupe et son travail à la pension, mais elle devait être honnête envers elle-même et s’avouer qu’elle s’ennuyait du dessin, du processus de création de chaque coup de crayon et les détails ajoutés par chaque coup de pinceau. Elle recommença donc les arts plastiques activement. Délaissant peu à peu son groupe de musique.
Rendu au moment des inscriptions à l’université, une dure décision s’offrit à elle. Reste étudier sur l’île et aider sa mère avec la Pension ou partir loin pour enfin goûter à la vraie liberté. Aujourd’hui, elle sait que si le régime avait déjà été en place à ce moment, elle ne serait jamais partie. Mais la tentation et ses relations devenues tendues avec sa mère réussirent à la convaincre de partir. Elle choisit l’Angleterre dans un programme de «fine art» (beaux-arts). Pourquoi ce pays? Parce qu’elle voulait voir le pays où son grand-père était né. De plus, elle avait toujours de la famille là-bas. Elle avait une grande tante qui avait toujours gardé contacte avec eux depuis la mort de son grand-père. Makenzie était certaine qu’elle pourrait la convaincre de la prendre chez elle le temps qu’elle s’ajuste au nouveau pays. Depuis trois ans, elle travaillait dans une boutique d’objets pour Pokémons. Elle avait mis de côté la majorité de cet argent (ne s’achetant pas beaucoup de vêtements). Elle avait donc un bon coussin qui rendait possible ce voyage. Malgré les réticences de sa mère, elle réussit à la convaincre de la laisser partir.
L’Angleterre fut toute une expérience pour la jeune femme. C’est là-bas qu’elle pu s’épanouir réellement. Elle découvrit l’Amour, le grand, le vrai. C’était un homme de 22 ans qui était dans le même programme qu’elle. Deux mois après leur première rencontre, ils emménageaient déjà ensemble. Sa grande tante Angie trouvait que c’était trop rapide, mais rien à faire, la jeune fille fonça. On devait avouer que c’était un couple parfait. Même ceux qui ne croyaient dans le concept des âmes sœurs pouvait y croire en les voyant. C’est ainsi qu’ils vécurent presque deux ans ensemble dans une relation en parfaite harmonie.
Un jour, Makenzie débarqua avec toutes ses choses chez Angie. Cette dernière ne comprit pas. Ces dernière semaine la jeune fille avait parut particulièrement joyeuse, mais là, devant elle, se tenait une personne troublé et même détruit. Personne ne comprit le soudain changement. Kenzie resta dans un mutisme agaçant. Peu à peu, elle fit comme si de rien était. La seule preuve du changement était ses cheveux qu’elle s’était coupé elle-même la journée de son retour chez sa tante. Elle tenta d’oublier ce souvenir douloureux. Elle ne put que l’envoyer au plus profond de son cœur sans pouvoir l’éliminer complètement. Mira était la seule à comprendre, la seule à savoir, la seule qui portant ne pouvait pas apporter les mots de réconfort qu’aurait eu besoin la jeune femme.
Au bout de trois ans passés en Angleterre, elle pu finir son bac. Elle n’avait alors aucune idée de ce qui se passait sur l’île, n’y ayant plus mis les pieds depuis son départ. Elle avait réussi à remonter la pente. Elle était une personne forte de nature, elle ne se laissa donc pas tomber au fond du puis. Même si ça aurait été plus facile. Sa mère l’attendait à l’aéroport. Elles s’étreignirent aussi fort qu’elles le purent. Cette séparation avait été douloureuse et les avait étrangement rapprochées. Au bout de quelques jours, sa mère lui expliqua se qui se passait sur l’île. Elle n’en revenait pas. Elle était tellement enragée qu’elle alla faire une course de deux heures pour se calmer. Elle admira rapidement la résistance, ces gens qui se battaient pour la liberté.
Makenzie était revenue depuis quelques mois. Elle avait maintenant 21 ans. Sa mère, débutant la quarantaine, paraissait avoir vieillit beaucoup en trois ans. Sa fille le mit sur le compte du Régime. Elle avait aussi remarqué tous les efforts de sa mère pour maintenir la pension. Elle avait commencé un jardin de légumes et d’herbes médicinales qui avait fier allure. Tout était net et rangé. Toutefois, plus le temps passait, plus elle se posait des questions. Elle remarqua que sa mère s’épuisait facilement, elle avait peu d’appétit, elle toussait beaucoup, elle avait peu d’énergie et elle avait même parfois des problèmes d’équilibre. Une journée, elle la confronta à ce sujet. Au début, elle resta évasive et prétendit une fatigue passagère et une mauvaise grippe. Mais les symptomes persistaient. Makenzie n’y croyait plus. À force d’insister, sa mère due avouer. Elle avait un cancer. Il était généralisé. Elle prenait des médicaments pour ralentir la croissance, mais il n’y avait rien à faire.
À partir de ce jour, Kenzie se consacra à sa mère. Elle passa le plus de temps possible avec elle et essaya de tout faire sur la pension. Elle n’avait pas vraiment le temps ni le goût pour avoir une relation amoureuse. Elle passa donc tout son temps à la maison avec Soana. La maladie frappa fort et rapidement. Elle eut toutefois une fin heureuse. Elle avait sa fille au près d’elle, c’était tout ce qui comptait. Pour ce qui est de Makenzie, elle pleura. Depuis le jour où elle avait enterré ses larmes sous le pommier, elle n’avait pleuré qu’une fois. Cette deuxième faiblesse était toutefois légitime. Les funérailles furent un processus long et pénible. Elle ne voulait pas de la fausse sympatie de gens qu’elle connaissait à peine. Elle souhaitait vivre son deuil seule. Peu à peu, lorsque cette torture se termina, elle pu enfin réfléchir. C’est alors qu’elle réalisa que désormais, elle était seule.
Elle fut désorientée pendant quelques jours. Elle ne savait pas quoi faire. Tout ce qui lui restait était Mira et cette pension remplis de souvenirs. C’est bien sûr sa meilleure amie qui la ramena à elle. D’un regard profond, elle transmit son message : «Bouge-toi les fesses et reprend cette pension en main!» C’est ce qu’elle fit. Depuis un an, elle avait repris le domaine familial. Elle se tenait occupée, lui faisant oublier sa solitude, mais parfois, seulement parfois, elle en souffrait. Dans ses moments, le goût de l’amour lui prenait. Pour le moment, ce qui comptait le plus pour elle était d’aider la résistance du mieux qu’elle le pouvait. Elle avait décidé de faire des œufs pour la résistance. C’était un geste subtile, mais très util. Elle se battait à sa façon. Son combat ne fait que commencer. La toile de sa vie n’était pas encore terminée.
HORS-JEUPSEUDO: EMP ou Mak ou Kenz ou Kenzie ou... chose?!?
ÂGE: Il y a des journées où j’ai 108 ans, d’autre où j’ai 5 ans, mais de façon général, j’ai 17 ans!
DISPONIBILITÉ: Bonne question… Je risque de venir voir tout les jours le forum mais pour répondre aux RPs, je vais probablement n’avoir qu’une ou deux journée.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM?: Il y a comme une petite mouche qui à chaque jour a murmuré à mon oreille de m’inscrire sur le forum. -.-
QUE PENSEZ-VOUS DU FORUM ET DU CONTEXTE? Je crois qu’ils auraient pu faire un effort mais bon…
PERSONNAGE SUR L'AVATAR: Jack Riot [Rock band, l’artiste est tknk, voici sa galerie :] et
Osaki Nana [Nana]
CODE:Enola restera forte
AUTRE:FICHE DRESSEUR
INFORMATIONS GÉNÉRALESRAPPEL GROUPE: Soigneur,
RésistanceRAPPEL RÔLE: Hôte de Pension,
Pierre de la résistanceVILLE DE RÉSIDENCE: Anula
TEAM CLASSIQUE[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - Evoli (Noctali) ♂ - Ezio - Adaptabilité - Hardi
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Rien de plus simple, elle a fait un œuf de evoli pour un client, mais celui-ci à changé d'idée, elle s'est donc retrouvé avec l’œuf! Bien sur comme il s'agit d'un evoli, elle l'a gardé pour elle.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] - Machoc ♂ - Isaac - Annule Garde - Brave
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Lorsque sa mère tomba malade, Makenzie se retrouva seule pour tout faire. Elle voulu donc se trouver quelques pour l'aider. Cette personne fut Isaac. Un machoc solitaire qui cherchait un partenaire. Lorsqu'ils se rencontrèrent par hasard en forêt, ils devinrent immédiatement amis.
TEAM ÉLITE [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]- Aquali ♀ - Mira - Absorb Eau - Douce
COMMENT L'AVEZ-VOUS CONNU?: Comme dit plus tôt, c'est le grand-père de Makenzie qui les présentèrent l'une à l'autre. Elle se connaissent depuis la naissance de Mira. Elles sont comme soeurs.