Certes, Cesar n’a que très peu souvent dansé, et on ne lui a pas appris. Mais qu’importe, le but, n’est-ce pas de se déhancher sur le rythme de la musique? Et bouger dans tous les sens, c’est quelque chose que le jeune homme sait plutôt bien faire. Il n’a aucune idée de ce qu’il fait, et il entend bien les gens autour de lui qui se moquent a voix base… Mais rien ne lui importe, en fait. Il est tout simplement euphorique, et n’hésite pas à le montrer, surtout quand Anaïs vient le rejoindre. Il lui tend les mains et danse un court instant avec elle pour l’accueillir, avant de la laisser aller à sa manière sur la piste. Il tente d’imiter les mouvements de sa nouvelle amie pour découvrir un peu comment il faut danser, et lance quelques regard en coin à Charlie, qui ne les a pas encore rejoints. Il fait la moue alors qu’elle adresse la parole à un garçon brun plutôt mignon qui passe par là, et qui semble un peu peiné. Bah, elle ne le regarde déjà plus. Cesar haussa les épaules et reprit ses grands gestes sur le dancefloor. Alors qu’il tournait un moment sur lui-même, il se heurta à un autre danseur, un grand blond au costume extravagant multicolore. Cesar fut d’abord surpris par son intervention, puis il commença à ouvrir la bouche pour s’excuser, mais le jeune homme aux cheveux dorés pris la parole le premier. « Désolé, mon gars, je t’avais pas vu! Au fait, stylé, ta danse! » « Euh… Oh, bah, merci! J’aimerais bien danser avec Charlie, mais elle vient pas… » « Bah, invites-là, ta copine, la prochaine chanson, elle se danse à deux! » « … Hein? Mais, euh, c’est pas ma- »
Il fut interrompu dans sa tentative de se justifier en rougissant quand une jeune femme atterrit dans ses bras… Bah, tiens, Charlie, justement… Il est devin ce blond, ou quoi? Déstabilisé et p^lus rouge encore qu’il y a une seconde, Cesar fut d’abord prit de panique. Pourvu que son amie ne se soit pas fait mal… Et un autre genre de panique faisait battre la chamade à son cœur, mais ça, il préféra ne pas s’appesantir dessus. Interloqué, il lança un regard au blond qui s’éloignait en lui adressant un clin d’œil et un « V » de la victoire, après lui avoir glissé un « Go, l’asticot! » très peu discret. Cela n’aida pas Cesar, alors que Charlie s’éloignait déjà de lui, le rose aux joues... Quoi, déjà ?! Avait-il failli dire, déçu de déjà rompre ce contact qui l’avait quelque peu électrisé. Il avait l’impression que Charlie venant de rester tout près pendant un éternité. Une éternité pourtant bien courte, pendant laquelle il n’avait même pas eu le temps de tenter de l’embr- HEIN QUOI?! N’importe quoi! Il aurait juste bien aimé avoir un câlin, et Charlie n’a pas envie de se taper l’affiche, voilà tout! Elle lui avait bien dit, avant de partir, en plus. Bah, oui, ça ne peut qu’être ça. Dans tous les cas, il commençait à avoir vraiment chaud aux joues, là. Comme un gros béta, il sourit bêtement aux paroles de son amie sur la chanson, tout en évitant involontairement son regard… Oh, de l’eau…. Oui, de l’eau, ce serait chouette, ça… « Eeeeeh, mais ça m’a donné chaud, j’vais aller boire un petit coup, je reviens tout de suite! »
Ainsi, il laissa les filles entre elles, et se réfugia tout bonnement aux côtés du buffet ou on lui servit un vcerre d’eau. Il jeta un regard pleins de remords envers lui-même vers Charlie… Surement qu’elle a mal prit qu’il s’enfuie comme ça… Mais, au moins, avec Anaïs… Bah, Anaïs ne la gênera pas, au moins! Il se retourna dans la direction opposée, le regard dans le vide. Pour retomber sur le blond de tout à l’heure. « Bah, alors? Qu’est-ce qui se passe? » « Rien… Euh, non, rien, j’ai chaud, alors je bois! » « Faut l’inviter à danser, ta copine, sinon, elle va penser que tu veux pas danser avec elle… » « Mais peut-être que elle, elle veut pas danser avec moi non plus! Et arrêtes de dire que c’est ma copine! » « Tu peux pas savoir sans lui demander, l’asticot! Allez, regardes-là, lâches ce verre et fonce! » « Mais, mais, mais, maiiiiiiis! »
Le blond lui prit son verre des mains, et poussa Cesar vers la piste, en direction de Charlie. Il arriva dans le dos de cette dernière, un peu penanud… Elle avait du dire à Anaïs qu’il était bête et lâche, depuis le temps… Sans remarquer que la musique était devenue plus calme et entrainante, il posa doucement une main sur l’épaule de Charlie, et lui offrit un sourire doux.
« Dis… Charlie, tu veux danser? »
Le rytjme avait changer, et Cesar n’avait toujours pas vu que des couples commençaient à danser enlacés sur la piste autour d’eux… Un slow. Oups… Mauvais timing?
EVENT N°4
LIS MOIIII:
Alors, pendant que Cesar danse, il heurte et parle avec Emilio qui le pousse a inviter Charlie a danser. Charlie arrive dans les bras de Cesar, ce dernier rougit et va boire un verre car il se dégonfle Puis, Emilio vient de nouveau lui parler, et le pousse vers Charlie. Du coup il invite sa belle à danser, alors qu'un slow commence a passer sur le jukebox
Riku A. Nagel Administratrice
Messages : 453 Date d'inscription : 08/01/2014
Âge du personnage : 22 ans, née un 29 septembre Métier / Études : Championne Coordinatrice de Zazambes Pseudonyme(s) : ★ Miss Anarchy, Championne coordinatrice de Zazambes
Niveau : 66 Team active : ★
★ Bob - Bizarre - Sans Limite
★ Lance-Soleil
★ Tarja - Modeste - Contestation
★ Eboulement
★ Marilyn - Bizarre - Corps Gel
★ Vibrobscur
★ Janis - Discrète - Intimidation
★ Seisme
★ Lemmy - Hardi - Statik
★ Danse-Pluie
★ Floor - Naïve - Matinal
★ Ball-Ombre
Team spécifique : ★★
★ Jimmy - Discret - Essaim
★ Toxik
★ Ripper - Jovial - Brise-Moule
★ Tonnerre
★ Dio - Malpoli - Armurbastion
-
★ Li - Maligne - Force Pure
Finalement, il n’y a pas que les Elites qui me fait plaisir de rencontrer! Car voila mon ancien voisin qui se joint à nous. Enfin, à Grima et moi. Il n’a pas l’air de connaître la nouvelle Championne de Vanawi, et je pense bien à me faire un grand plaisir à la lui présenter. Je lance un grand sourire à Edwin, à côté de qui j’habitais depuis mon arrivée à Enola, chose qui a changé un peu brusquement depuis mon déménagement au début du mois, j’espère d’ailleurs qu’il n’a pas trop mal pris le fait que je parte ainsi en coup de vent… Enfin, c’est aussi ma façon de faire. Je l’observe s’approcher et voit que lui aussi s’est mis sur son trente-et-un. Je ne l’avait jamais vu en costume… Enfin, si, pendant sa performance à Anula, si je me rappelle bien, mais là, c’est pas tout à fait pareil! Le voila qui me salue, manifestement content de me voir ici, et en plus, il est accompagné d’une adorable Germignon qui commence à me faire la fête, puis part jouer avec Joan. Totalement craquant, comme scène. Jenny n’était qu’un tout petit bébé la dernière fois que je l’ai croisée dans le couloir de l’immeuble, et elle a drôlement grandi!
« Edwin, c’est cool que t’aies pu venir aussi! T’as mis le paquet sur le costard, beau gosse! »
M’exclamais-je pour rendre son salut au jeune brun. Je décroche pour observer les Pokémon un moment, un sourire gaga sur le visage, tout en sirotant mon gin tranquillement. Puis, je me mets à bouder mollement quand les deux autres coordinateurs se moquent gentiment de mes propos. Y’a pas à dire, je sais pas me tenir, moi. Mais c’est de famille, héhé. La famille, ça a toujours bon dos. Je ricane bêtement en réponse aux plaisanteries de Edwin et Grima, et décide finalement de les présenter.
« Ouais, bon… ça va, ma langue à fourché, j’y peux rien si j’aime trop tout faire péter pour mon propre bien… Et celui des autres, j’imagine. Woops! Euh… Ah, oui, bref! Grima, je te présente Edwin, mon ancien voisin, du temps ou j’habitais a Zazambes. Edwin, Grima, la nouvelle Championne Coordinatrice de Vanawi. »
Tout en m’adressant à chacun d’eux, je leur montre l’autre d’un signe de main. Plus on est de coordis, plus on rit, non? D’autant plus que Grima en rajoute. Comment ça les gens tuerait pour voir ça? C’est plutôt risqué pour les passants, oui… Enfin, si j’envoyais Bob mon Darumacho, ou encore Floor ma Tengalice, je crois que je ferais les chose en grand et que ça foutrait un peu le décor en l’air… On va donc éviter. Joan est trop occupée à jouer avec Jenny, et Janis, quant à elle… En bien, elle fait sa timide, depuis tout à l’heure. Elle rougit à ma place, je crois! Je lui grattouille un peu sa peau écaillée, sous sa gueule, d’un contact rassurant… C’est encore une enfant, des fois, cette Abo! En plus, je crois que le Goupelin de ma vis-à-vis aux cheveux bleus l’intimide. Il est vrai que ce Pokémon dégage une présence très singulière. J’adresse un nouveau sourire en coin à la Championne tandis que je reprends la parole.
« J’vais m’abstenir, quand même, hein! Je crois que Joan et Janis ont d’autres choses en tête que se donner en spectacle, ce soir! »
Propos que Janis me confirme d’un sifflement affirmatif, je crois. Je prend une autre gorgée de mon verre. Puis le pose un moment pour m’étirer. Y’a pas à dire, je commence à avoir envie de bouger, moi! Pas que la compagnie de mes collègues coordinateurs me pèse, bien au contraire, c’est dans ma nature d’avoir la bougeotte.
★
LIS MOIIIII:
Riku fait causette tranquillou avec Winter et Edwin, puis les présente. Pendant ce temps, sa Charpenti joue avec la Germignon de Edwin. Elle est bien là ou elle est mais commence a avoir un peu la bougeotte car c'est une gamine qui sait pas ce qu'elle veut, voila, voilaaa ° 3°
Alexander Nagel Administratrice
Age : 31 Messages : 880 Date d'inscription : 07/07/2013
Âge du personnage : 26 ans, né un 2 février Métier / Études : Tortionnaire, Dresseur a ses heures, Débute une carrière d'acteur, Se tient actif mais ne sait pas quoi faire de sa vie. Pseudonyme(s) : ›› Dio Silvery, Officier Subalterne du Régime (principalement tortionnaire et combattant, ponctuellement homme de main).
Ça sent la marée par ici… Nan, vraiment je dois être tombé dans le côté avarié du cageot de poisson. Y’a du niveau dans le négatif, dans mon coin… enfin, probablement que comme c’est un gala de charité, je devais pas m’attendre a croiser les mannequins qui font la une des magazines du coin et… Et pourquoi pas, en fait? Elles ont des thunes, alors elles devraient venir, alors pourquoi je suis entouré de toute cette basse-cour folklorique qui danse comme Cresselia quand elle revient de la tournée des bars en mauvaise compagnie?! Rah, je te jure… A ce rythme, là, j’ai fini par penser que la compagnie de Soltan serait plus passionnante. Je quitte donc avec une boule d’immeeeeeenses regrets au fond du coeur (enfin, je crois que c’est plutôt une envie de vomir due aux effluves de parfums totalement écœurantes de mes comparses) le plat de congres et morues qui se dandinent sur la piste, et m’enfuis vers le coin fumeur de la fête , pour rejoindre Terminator qui semble s’emmerder comme un rat mort. Ah, je l’enverrais bien sur la piste, les filles lui sauteraient dessus pour lui demander si sa carrure c’est naturel ou non, et ce serait a se pisser dessus, comme spectacle. J’ai même pas pu avoir la chance de croiser ma chère Victoria ou encore Sunny… Ah, c’est vraiment pas d’bol pour Alexander Nagel, ce soir! La pêche n’a pas été fructueuse. Je demande un verre de champagne et me rapproche du mastodonte, en faisant mine d’engager la conversation.
« Fais comme si on parlait, je veux pas que les grosses vaches rappliquent… » « Des vaches? Ou ça? » « Oh, putain, t’es con... » « Quoi, qu’est-ce que j’ai dit? Et Riku, elle est ou? » « J’en sais foutre rien, et figures-toi qu’on pourra partir que quand elle en aura marre et c’est pas demain la veille. Je m’emmerde, moi! » « T’avais l’air de t’amuser, sur la piste, pourquoi t’y retourne pas? » « Mais je t’ai dit, parce qu’il a des va- euh, des filles chiantes, je veux dire. »
Vaut mieux lui dire ça, sinon cet abruti va chercher les vaches toutes la soirée. Je roule des yeux et balaye la foule du regard, à la recherche d’un visage familier. Et je me rends compte que j’ai bien peu d’amis. J’espérais que Fraulein Cobra serait passée, de part son appartenance à l’Élite, mais aucune trace d’elle ce soir-là. Ou encore Azazigounette. Mais non, on me boude. Ma présence ne ravit personne, pas que cela m’étonne ou m’attriste, je peux m’amuser seul, mais j’ai comme l’impression que personne ne rirait à mes blagues. Et si j’ai pas un bon public, ça sert ça rien de faire le con. Je m’avachis le coude sur la table du buffet, et dévalisant sans aucune gène les plats de petits fours, ignorant les conseils de la grande asperge qui me soutient qu’en bouffant tout ça, je vais grossir, et que c’est pas bon pour mon entrainement. Cause toujours, It’s Christmas, biatch! Tout est permis! Enfin, je m’ennuie quand même un peu. Sauf quand, tout d’un coup, une chevelure blonde passe dans mon champ de vision, que je reconnais dans la seconde, et me redresse immédiatement pour lui courir après, en laissant Soltan sur le carreau, bien entendu, mais bon, ça, c’est moins grave. Je ricane bien malgré moi alors que je fonce presque comme un bolide vers le Prince de Caca qui a décidé d’honorer la soirée de sa présence. Il est seul, ce qui veut dire que je vais pouvoir l’emmerder sans retenue de politesse ou je ne sais quoi! Même si, clairement, même si ça copine était avec lui… Nan, je crois que je me la serais joué pseudo-gentleman parce que… Bah, pour avoir un baise-main, quoi. Juste pour le plaisir de voir la tronche de Aloidiot face à un tel geste vis-à-vis de sa dulcinée! Enfin, maintenant, je trotte gaiment (gayment?) vers Aloïs, en chatonnant presque. Eh oui, c’est moi ,je suis le conquérant, je vais enlever le Prince de Caca et le pervertir avec… Euh, bah, mon cosmos sombre, tiens! Attention, voici ma main divine qui s’abat sur… Son postérieur rebondit. PAF (et là, en principe, la caméra fait un gros plan, et remontre la fessée sous 3 angles différents, pour donner un effet dramatique)! Une fois arrivé à sa hauteur, je passe mon bras pas dessus son épaule, et blottit mon menton contre son épaule, d’un air des plus mielleux, sans oublier de sourire aux appareil photo quand ils se ruent sur nous. « Alors, mon canari laqué des îles, on dit plus bonjour à son Lelex adoré? »
Gayyyyyyyyyyy.
Event N°4
LIS-MOIIIIIII:
Alors, Alex s'embête horriblement sur la piste de danse alors il va boire un coup avec Soltan, mais finalement, c'est encore pire Enfin, il est sauvé de son ennui et lâche Soltan quand il aperçoit Aloïs, vers lequel il fonce pour lui mettre une fessée très gay et le saluer à sa façon
Anaïs M. Rinel Newbie
Messages : 76 Date d'inscription : 16/12/2014
Âge du personnage : 16 Métier / Études : Lycéenne (terminale L) et bassiste Niveau : 20 Team active : - Coupenotte ♀ - Symphonie - Rivalité - Docile
- Brocélôme ♀ - Prélude - Medic Nature - Joviale
- Nucléos ♀ - Mélodie - Garde Magik - Bizarre
Anaïs croyait que Charlie les aurait rejoints tout de suite, mais ce ne fut pas le cas, elle resta tout d'abord assise à la table tandis que l'adolescente rejoignait Cesar sur la piste de danse, lui prenant un court instant les mains pour faire quelques mouvements avec lui. Mais quand elle tourna la tête, elle vit bien que la jeune femme ne les rejoignait pas, et avait décidé au contraire d'aller parler à un jeune homme au niveau du buffet. Était-ce de la timidité ? Parce que cette fois, elle ne danserait pas toute seule. Pourtant, malgré le fait qu'elle avait eu l'air d'être très enjouée quant à la musique qui passait, elle n'avait pas suivi le mouvement. Cesar le remarque aussi d'ailleurs, et fit une petite moue. Il avait l'air plutôt déçu, mais il continua tout de même de danser. Anaïs se demanda qu'elle était les liens qui unissait les deux personnes qu'elle venait de rencontrer. Familiaux ? Amicaux ? Ou bien quelque chose de plus ? Elle n'avait pas vraiment osé poser la question, et de toute façon on ne lui avait pas répondu quand elle avait demandé à Charlie si elle et Cesar était venus ensemble.
L'homme aux cheveux gris bouscula un danseur aux cheveux blonds. L'adolescente, malgré la musique, était suffisamment proche pour entendre la conversation qui s'en suivit. L'homme blond demandait tout simplement à Cesar... d'aller chercher Charlie. Et apparemment, les deux hommes n'avaient pas l'air de se connaître. La discussion fut vite terminée quand la jeune femme ''tomba'' tout bonnement dans les bras de Cesar. Anaïs eu un petit sourire en coin. Pas pour se moquer, non, bien au contraire. Ainsi donc, ces deux-là était plus proches qu'elle n'aurait pu le penser... une fois de plus, elle ne dit rien, jugeant que cela serait malpoli de poser quelconques question. Et puis, elle avait bien le droit de les laisser danser tous les deux, non ? Cela ne la concernait pas. Après tout, elle venait tout juste de les rencontrer. Cesar avait rougit sous l'effet de cette main que posait Charlie contre son torse. C'était peut-être le début d'une histoire, alors... mais Anaïs ne pouvait pas tirer de conclusions trop hâtives puisqu'elle ne les connaissaient pas depuis assez longtemps. En tout cas, il fallait avouer qu'elle trouvait ce moment plutôt mignon.
Charlie finit par retirer sa main. Les deux adultes avaient le rouge aux joues, et la bassiste ne dit rien jusqu'à ce que la jeune femme lui adresse la parole, quelque peu gênée par ce qui venait de se passer.
« Euh, ouais, franchement pas mal ! »
Tiens d'ailleurs, encore un morceau qu'elle devrait noter dans sa liste des musiques à apprendre, pour les rejouer ensuite. Celle-ci, même si elle la connaissait, elle ne l'avait jamais testée. Mais maintenant qu'elle l'entendait, elle se disait qu'elle ne devait pas être si compliquée à apprendre.
Cesar partit à son tour au niveau du buffet, pour aller se servir un verre d'eau. Lui aussi avait l'air plutôt... déstabilisé, rapport à ce qu'il venait de se passer. L'adolescente se demanda tout naturellement quel genre de liens entretenaient les deux personnes qu'elle venait de rencontrer.
« Vous vous connaissez depuis longtemps, toi et Cesar ? »
Elle avait prononcé cette phrase pour rompre le silence, mais se rendit tout de suite compte que cela pourrait paraître un peu direct, et elle ne voulait surtout pas gêner Charlie encore plus qu'elle ne l'était à cet instant.
« Enfin... si c'est pas trop indiscret, hein ! »
Cesar revint ensuite, poussé par le blond de tout à l'heure. La musique changea alors, et le jeune homme proposa à son amie de danser... et tout cela alors qu'un slow démarrait. Bon, Anaïs ne pouvait définitivement pas rester là. Déjà, elle n'avait pas de cavalier, ce qui était une raison suffisante pour ne pas rester sur une piste de danse lorsque ce genre de musique se faisait entendre. Et puis, elle ne voulait surtout pas déranger Cesar et Charlie. Avec un sourire, elle s'éloigna donc et se dirigea vers le buffet, attrapant au passage un verre de jus de pomme, observant de loin les danseurs.
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Anaïs danse, puis observe toute la scène se déroulant entre Cesar et Charlie, et du coup, quand Cesar s'éloigne, elle demande à Charlie s'ils se connaissent depuis longtemps ^^ Et quand Cesar revient et que le slow commence, elle s'éloigne vers le buffet . N'importe qui peut venir lui parler, donc.
Oui, je suis très content de voir Riku, ça faisait longtemps que je ne l'ai pas vu, d'ailleurs, je me demande pourquoi je ne la vois plus à l'appartement, j'avais l'habitude de la croisée dans les couloirs, dans le hall d'entrée ou bien au parking. Bref, a-t-elle déménagée? C'est dommage, j'aimais bien lui parler. Va falloir que je lui demande son numéro de téléphone pour pouvoir la rejoindre de temps en temps ou bien se voir pour faire une soirée quelconque! Je lui répondis avec un large sourire lorsqu'elle me dit que c'était cool que j'ai pu venir. J'allais lui répondre que pour une cause comme celle-ci, il était hors question que je garde les yeux fermés, mais elle en rajouta en me disant que j'avais mis le paquet sur mon accoutrement et que je suis un beau gosse! Je rougis légèrement, visiblement pas habitué de me faire complimenter. Je lui répondis :
« Eh bien merci! Je l'ai acheté hier, je voulais opter pour quelque chose de classique et confortable pour cette évènement. »
Riku ricana lorsque la femme aux cheveux bleus insistait sur le fait que personne ici détesterait la vision d'une performance ou une bataille de coordinateurs de la part de Riku. Je hochai la tête à ces dires, ce fut presque adorable la façon dont Riku ricanait pour se défendre. Au moins, elle doit savoir que ces taquineries n'avaient rien de méchants. Une idée me traversa l'esprit, ça serait super si Riku affronte quelqu'un pour la cause des enfants, oui, des gens pourraient mettre de l'argent pour pouvoir voir un match coordinateur et avec toute l'argent amassé, ça ferait un autre don pour les enfants! Il y a une petite flamme en moi qui a toujours désirée de vouloir affronter mon amie Riku, intérieurement, j'aimerais bien un jour faire un match coordinateur contre elle. Bref, j'oublie rapidement cette idée fofolle puisque ma chère amie aux cheveux rouges fit les présentation en me présentant à la jeune femme aux cheveux bleus qui se nomme Grima, la nouvelle championne coordinatrice de Vanawi. Je lui fis un sourire radieux, puis je lui présentai la main pour officialiser la présentation, je rajoutai :
« Enchanté! Je suis heureux de voir que l'amphithéâtre de Vanawi est ouvert à nouveau. Ça va me faire plaisir de venir vous affronter. »
Dis-je sur un ton plutôt séducteur, mais pas trop, juste assez pour imposer un ton calme et légèrement provocateur, bah oui, faut bien que je projette l'envie de venir l'affronter. Bref, heureux d'avoir rencontrer la nouvelle championne, je remarquai plus en détail son pokémon qui est un beau Goupelin. Je m'approchai légèrement de lui pour le voir encore plus, puis avec un sourire, je le complimentai :
« Wow, tu es un beau Goupelin toi! Ravi de te rencontrer. »
Puis je me tournai vers Riku et Grima, j'eu une idée totalement folle qui me traversa l'esprit :
« Haha, nos trois pokémons de feu feraient un trio d'enfer! Bob le Darumacho, Ifrit le Dracaufeu et ce merveilleux Goupelin! Haha, je délire un peu. »
Ouais, quand je pars dans une bulle imaginaire, je peux créer pleins de situations imaginaires drôles, cocasses ou bizarres. Je pris une gorgée de mon verre. Puis je leur fis un sourire, je décidai de leur faire part de mon idée de tout à l'heure :
« Vous savez ce qui aurait été cool à faire? Se faire des matchs coordinateurs dans le but d'amasser des dons pour la cause des enfants, genre que des gens devraient payer une petite somme pour voir des performances et l'argent irait directement à la cause. »
C'était une superbe idée, mais bon, où le faire? Pas ici, il y a trop de monde. Soudain, j'entendis un " Germi! Germi germi mi mi germignon!". Mon pokémon qui discutait avec ses amis pokémons, Jenny se mit à radier d'un bel aura vert-turquoise, faisant ainsi briller son collier de bourgeons et sa feuille sur sa tête d'un vert pétillant, tout ça pour démontrer à ses amis ce qu'elle avait apprise pour les concours. Un merveilleux rune-protect se fit voir. Je sentis soudainement des regards se tourner vers nous, je rougis légèrement de toute l'attention portée ici. Tout de même, comme tout bon dresseur, je complimentai ma chère Jenny :
« C'est beau Jenny! C'est un excellent Rune-Protect. »
Elle finit par projeter l'aura vers le haut, éparpillant une énergie turquoise qui finit par disparaître en se divisant dans son propre chemin. Puis, tout comme si rien n'était, Jenny continua à discuter avec ses amies. Une pointe de fierté se créa, j'adore les progrès fait par ma belle Jenny. Mon regard se porta sur Riku et Grima :
« Ouep, Jenny a appris Rune-Protect il y a deux semaines, depuis ce temps, elle aime montrer la beauté de cette attaque à tout le monde. Hey, le saviez-vous? Lorsqu'un pokémon mange une attaque de son type, l'énergie mangé se répartit dans son corps et ça donne des effets supers beau à voir. Par exemple, j'avais essayé de lui faire pratiquer lance-soleil, mais à la préparation de son attaque, elle a glissé et elle a mangé la boule de lumière, en le mangeant, son collier de bourgeons et sa feuille sur sa tête se sont mis à briller et à émettre une énergie verte et électrisante. Bref, désolé, j'adore la coordination, j'en parlerais des heures et des heures. »
Je ne suis pas habituellement un moulin à paroles, mais ce qui concerne les pokémons et les concours, je pourrais en parler très longtemps. Je pris une autre gorgée de mon verre qui est maintenant vide! Grrr, ils sont petits ces verres là.
Edwin fait la connaissance de Grima, il continue à converser avec Riku et Grima, Jenny décide de démontrer Rune-Protect qui attire les regards des gens autour pour donner l'attention sur eux >.<
-Pokémons dans pokéballs : -Pokémons hors balle :
Charlotte S. Laurens Administratrice Fondatrice
Age : 31 Messages : 485 Date d'inscription : 28/04/2014
Âge du personnage : 19 ans Métier / Études : Championne Dresseur de Zazambes Pseudonyme(s) : Tabitha, surnom de dresseuse
Je me sens aux aguets, comme après avoir reçu un coup particulièrement douloureux. Sauf que la sensation qui vient de courir contre mon épiderme n'a rien de pénible ou désagréable, bien au contraire. Je me sens encore entourée dans un cocon de chaleur électrisante qui provoque un malaise enivrant. Je ne saurais l'expliquer. Comme si la tendresse qui émanait de ce contact inespéré m'avait jeté dans l'inconnu, dans un monde que je ne connais pas du tout et qui m'effraie. Je suis presque terrorisée, même si je tente de ne pas trop y penser, par ce que je viens de ressentir. Je me sens presque étourdie, confuse, comme si on m'avait poussé contre le sol et que je tentais de me lever en cherchant l'auteur de cette brusque attaque. Cesar n'a rien fait, pourtant. Rien du tout autre que de m'empêcher de tomber, que de me laisser envahir par sa chaleur qui m'enveloppe déjà depuis longtemps. Peut-être que ce sont tous ces gens qui me donnent le tournis. Peut-être y avait-il de l'alcool dans la préparation des plats délicieux dans lesquels je me suis lancée il y a quelque minute. Peu importe, je ne me sens pas tout à fait bien, et je sens que ma tentative de détendre l'atmosphère tombe un peu à l'eau. Si Anaïs répond avec enthousiasme, Cesar, lui, dit qu'il a chaud et s'éloigne en direction du buffet sans que je n'ai eu le temps de protester.
Merde. Merde merde merde merde merde. Sale idiote! C'est de ma faute s'il est parti. Je l'ai mis mal à l'aise c'est évident. Qu'est-ce qui m'a pris de garder ma main aussi longtemps sur son torse? Qu'est-ce qui m'a pris de trouver ce contact agréable? Qu'est-ce qui me prend d'avoir envie de recommencer? Les pensées s'emmêlent dans ma tête alors que je le vois s'éloigner, en proie de vives émotions qui s'entrechoquent en moi en renversant tout sur leur passage. J'ai presque envie de pleurer. Je ne sais plus quoi dire ou faire. Devrais-je lui courir après pour m'excuser? Pour m'excuser de quoi, au final? Je ne sais pas, je ne sais plus. J'ai le sentiment omniprésent d'avoir gaffé. Cette idée me plonge dans la perplexité la plus totale. Je ne sais plus où donner de la tête, jusqu'à ce qu'une voix, près de moi, vienne freiner ma brusque envie de me recroqueviller dans un coin et ne plus bouger. Anaïs. La pauvre, elle a du se sentir un peu de trop. Je n'ai pas été très accueillante pour elle. Une autre de mes bêtises. Je les accumule ce soir à un rythme effréné. Sa question est légitime, mais me fait rougir d'avantage.
«Je euh... Depuis quelques mois oui. Mais on est pas... Je veux dire... Tu sais? On est pas... amou...»
Je m'arrête. Je ne peux même pas prononcer ce mot. Je fais une grimace nerveuse, sentant mon coeur battre à la chamade. Il me faut me calmer moi, au plus vite. Alors que je vais ajouter que Cesar et moi sommes les meilleurs potes du monde, je sursaute en l'entendant approcher. Nul doute là-dessus, je connais sa démarche par coeur. Je me retourne vers lui lorsqu'il pose une main sur mon épaule. Il... veut danser avec moi. Je croyais que j'avais fait une bourde moi. Décidément, je ne comprends plus rien de rien. Je reste coite pendant quelques secondes, jusqu'à ce qu'une pointe immense de satisfaction m'envahisse, venant même faire paraître un sourire triomphant contre mes lèvres. Puis je réalise avec une certaine confusion que la musique a changé, qu'il s'agit d'un des slows que propose la soirée. Alors je rougis jusqu'aux oreilles. Il veut vraiment danser ça avec... moi? Je n'ai jamais dansé de cette façon, ainsi je jette des regards inquiets autour de moi, vers les couples enlacés qui bougent de façon adroite au rythme de la musique. Alors que je vais dire que ce ne serait pas chic pour Anaïs, je vois qu'elle est déjà en train de marcher vers le buffet. Mince. Plus de porte de sortie. Je n'ai plus aucune raison de refuser. Je n'en ai pas envie, de toute façon, de refuser je veux dire. Avec humilité, je m'avance vers mon nouveau cavalier, un sourire fort timide aux lèvres.
C'est devant lui que je me rends compte de la complexité de la chose. Il est grand, et je ne sais pas trop où poser mes mains. J'en pose une sur son épaule et une autre contre sa taille, gardant entre nous une certaine distance gênée... Akward. Tout mon être me crie que je ne fais pas les choses de la bonne façon, c'est insensé. Nous ne dansons pas, nous avons l'air de deux cornichons imbéciles.
«Par...don je ne suis pas... très... douée là-dedans.»
M'inspirant des autres danseurs, je me rapproche finalement de lui, venant poser ma tête contre son épaule. Aussitôt, un sentiment de bien-être m'envahit. Je soupire d'aise, ce qui ne doit pas lui échapper. Une certaine culpabilité se pointe au creux de mon estomac de prendre si grand plaisir à me trouver si près de lui, mais je repousse toute pensée négative. La même sensation électrisante parcourt mes membres avec un peu moins d'insistance. Je suis de nouveau imprégnée de la chaleur de mon ami, affichant un sourire béat alors que je raffermis ma prise autour de lui avec un peu plus de confiance. Je ne devrais probablement pas danser si près ou même y prendre autant de plaisir. Cesar sent bon, il est tout propre et beau pour moi, et en plus il me demande de danser. J'ai abandonné toute nervosité pour simplement vivre ce moment, bougeant lentement au rythme de la musique que j'ai déjà oublié. J'ai oublié la piste de danse aussi, ou les autres couples. Bordel, je suis trop bien.
Résumé:
Coeurs romantiques, attention, j'ai mouru Bref, Charlie répond à Anaïs et accepte de danser avec Cesar, ce qu'elle fait avec une certaine satisfaction après un début très akward xD robe de Charlie
(c)Golden
Aloïs F. Legrand Débutant
Messages : 195 Date d'inscription : 05/10/2013
Âge du personnage : 28 ans Métier / Études : Cuisinier Pseudonyme(s) : Mister Prince
Niveau : 30 Team active : Marie
Skitty ♀ - Joli Sourire - Foufou
Ève
Chlorobule ♀ - Tempo perso - Prudent
Jasmine
Démanta ♀ - Glissade - Modeste
Belle
Rozbouton ♀ - Médic Nature - Calme
Maui
Mystherbe ♂ - Chlorophylle - Malpoli
Team spécifique : Anna
Mistigrix ♀ - Infiltration - Timide
Faut que je me calme. Sérieusement. Mon attitude est à la limite du ridicule. J'aimerais m'infliger une claque. Mais pas mentale, hein ; une vraie claque. Pas sûr en revanche que ça soit conventionnel, tout ça... Alors bon, je fais ce que je peux pour avoir un comportement correct. Je sais même pas ce qui me prend, bordel ! D'accord, d'accord, alors réfléchissons. Je n'ai... pas trouvé ce que je cherchais. Et je suis censé m'en foutre. Sauf qu'au lieu de ça, ça me fait chier. De pas avoir ce que je veux. Ou plutôt de comprendre que la personne à laquelle je pensais n'est pas là. En voyant quelques têtes connues, je me dis que... ba heureusement pour lui, d'un côté. J'me dis qu'il fait attention, au moins. Ou alors peut-être qu'il en a rien à carrer, j'sais pas. Quoiqu'il en soit, s'il me trolle et qu'il fait exprès de se cacher de moi, on peut dire qu'il réussit à merveilles. Plusieurs minutes que je suis là à tourner comme un con et à faire les quatre coins de la salle sans le trouver. Alors ouais, il est fort. Ou absent. Ou fort. Ou absent. Enfin en même temps, vous m'direz, qu'est-ce qu'il irait bien foutre à un gala de charité, quoi. Le mec il arrache des ongles sans remord à des gosses et vous voulez qu'il aille à un gala de charité ? C'est n'importe quoi. Ou alors il y aurait été contraint par... ba par Riku. Mais elle est pas avec lui en ce moment. Donc il est pas là. Donc je suis déçu. Mais juste un peu, hein. N'allez pas croire qu'il me manque, hein. Surtout pas, haha. Pas du tout. C'pas mon genre. Du tout.
Bon... Je sais pas quoi faire, là. Je suis 'duper', comme disent les jeunes. Enfin, les plus jeunes. Pas que je sois vieux, mais voilà. Retourner auprès de Makenzie est une solution. Faire chier les gens en est une autre. Mais est-ce que je peux vraiment gâcher une soirée comme celle-là ? Assurément que non. C'est pas comme à l'anniversaire d'Althéa où on avait pris les verres des invités pour mettre du... Enfin bref. Pour une fois, peut-être que je vais passer une soirée normale et avoir une discussion 'normale' avec des personne 'norm-... Avec des personnes. Ou alors prendre le bras de n'importe qui et danser sur la piste. Ouais, c'est un bon plan, ça. Et je vous parle même pas des quelques filles qui me regardent en gloussant. Elles doivent reconnaître le type qui les a dragué une par une en boîte un soir, il y a quelques années ; car c'était bien mon genre de faire ça pour oublier ma peine, j'vous avoue sans honte. Ah, tiens, je vois même quelques photographes qui attendent d'avoir une scène croustillante à immortaliser avec leurs appareils. Sûr qu'il y a de quoi faire, ici, avec tout le gratin, c'est pas ça qui manque. Beaucoup louchent pas mal quand même sur la nouvelle Championne Coordinatrice, et c'est tout à son honneur. Mais c'est bien sûr les Maîtres qui sont les plus attendus auprès de ces fouineurs de reporters qui ne manquent pas un gramme de la cérémonie pour pouvoir mieux les diffuser après. Rien que pour les emmerder, je serais cap de rester là à rien foutre ; ils n'auraient ainsi rien à prendre en photo, hm ?
Mais bon. Comme d'hab', j'ai parlé trop vite. Faut dire que je manque de lâcher un petit cri suraigu pas franchement très masculin quand un taré de service me donne une tape sur les fesses. De surprise, mon expression ne devient plus que colère désormais et je m'apprête déjà à fusiller celui qui allait se faire défigurer pour avoir oser exécuter un tel geste grossier et non voulu. Mais je suis arrêté dans mon élan quand je reconnais le nouveau venu, et je me fige, passant de colérique à surpris. Je n'ai pas le temps de placer le moindre mot cependant car il passe un bras autour de mon épaule et s'y blottit, même, d'une façon plutôt tendre qui ne lui ressemble guère. Enfin, il fait son plus beau sourire mielleux et me salue à sa façon, alors que les paparazzis accourent déjà dans notre direction pour ne pas louper une miette de notre échange ; car quand on est tous deux dans les parages, impossible de trouver couple qui soit plus gay et fabulous que notre duo de choc. Si je me demande tout d'abord à quoi il joue, notamment quand il m'appelle 'canari laqué des îles', j'ai bien vite fait de me rappeler qui il est réellement, et c'est à mon tour de faire un sourire malicieux.
- Mais c'est toi qui t'est fait attendre, mon choupinou. Je me languissais de toi, tu sais.
Et pour ne rien arranger au contexte, je balade ma main sur sa hanche et le serre davantage contre moi, ce qui fait le bonheur d'un des journalistes qui, d'après son regard, aurait déjà des idées malsaines en tête à propos de nous deux et, qui sait, ne tarderait peut-être pas à écrire des fanfictions immorales sur nos personnes après avoir diffusé nos photos sur le net afin que tout le monde puisse les voir. Ma réputation ? Elle peut aller se faire voir où je pense, depuis le temps. Ce n'est plus ça qui me dérange, faut dire. Quand ma sœur est décédée, je passais mon temps dans les boîtes et les bars à noyer mon chagrin en draguant tout ce qui bougeait, que ce soit homme ou femme, mais personne ne se faisait prier pour venir passer une nuit avec moi, et il aurait presque fallu que j'installe une queue, à force. Je passe ma langue sur mes lèvres et ne contiens plus mon rictus joueur, avant de faire mine de chasser d'une main les photographes dans un geste digne d'une drama queen.
- Alors, Nagel Boy, tu fais la charité, maintenant ?
Car si je veux bien avouer que sa présence aura le mérite de m'avoir donné la satisfaction d'avoir eu ce que je veux (phrase-pas-française.com, bonsoir), je suis assez étonné qu'il soit venu. Alors certes, j'en connais qui rêveraient d'être à notre place, ne serait-ce que parce qu'il y a toutes les stars d'Enola réunies, mais je crois que je m'attendais à au moins le voir sous sa forme d'Irina. Je me serais amusé à le voir danser avec des hommes qui auraient essayé de deviner ce qui se cache sous sa robe de bal avant d'être sévèrement déçus et de tomber dans les pommes, leurs espoirs anéantis. Mais non, apparemment j'avais vu juste : c'est Riku qui l'a amené ici. Qui l'a forcé à venir ? Je ne sais pas. Pas comme s'il allait se faire prier pour s'amuser, en même temps. Mais peut-être qu'il s'emmerde tellement qu'il a décidé de venir dire bonjour à son... canari laqué des îles. Oui oui promis un jour je le féliciterai pour cette trouvaille mais en attendant je ricane intérieurement. Cette soirée promet d'être plus intéressante que je ne le pensais, finalement.
Réalisé par BlueBerry pour Orange
En gros:
Alo fait une réflexion sur lui-même avant de se faire surprendre par la fessée de Alex et se retourne pour constater que oh miracle il est là. Il joue donc au gay fabulous et tente de chasser les photographes qui n'ont rien de mieux à faire que d'immortaliser ce moment.:derp :
Faust M. Donovan Modératrice en Chef
Age : 27 Messages : 731 Date d'inscription : 27/09/2013
Âge du personnage : 27 ans Métier / Études : Bac ES, (mauvais) romancier de temps à autre. Pseudonyme(s) : .
Noctis (Résistance)
~> Voleur, espion.
Peter Davidson (nom d'auteur)
Méphisto (Conseiller)
~> Type ténèbres
Les galas, ce n'est pas le dada de Faust. Du tout. Lui, il préférerait passer le 23 tranquillement chez lui, à glandouiller comme il estimait avoir le droit de le faire. En plus de ça, il aurait pu faire deux trois trucs avec Alice étant donné qu'elle était en vacances et donc pas retenue par les horaires de l'école, mais non, il fallait qu'il se ramène à ce gala sous peine de 'lourdes conséquences'. N'allez pas croire qu'il était égoïste et ne voulait pas faire un effort pour les enfants, ce serait une erreur ; une grande partie de son salaire allait envers la charité, parce qu'au bout d'un moment l'argent ne sert plus à rien hormis s'entasser, yada yada. En fait, ce qu'il déteste au plus haut point, c'est être forcé de participer à un événement : si on le lui avait proposé simplement, il serait venu sans soucis, mais qu'on l'y oblige avait quelque modifié sa façon de voir les choses. L'année dernière déjà, et celle d'avant, il avait dû se soumettre à cet événement et c'était bien parti pour une année de plus. En se disant que ce n'était pas la mer à boire et qu'il trouverait sûrement le moyen de s'amuser, il avait fini par mettre un peu de son côté. Et puis de toute façon, ça passerait vite. Pour ne pas s'embêter, il avait pris son costume habituel de Méphito, en y ajoutant une toute petite touche : un chapeau de Père Noël, noir et blanc évidemment. Il en était très fier mine de rien, et souriait comme un abruti devant le miroir en s'observant, satisfait de ce qu'il voyait. Après avoir réajusté une dernière fois ses gants et sa cape, il finit par arriver. Il avait été difficile de choisir quels pokémon l'accompagneraient, et il avait fini par porter son choix sur Fae et Nero ; l'Absol chromatique était une valeur sûre de par son sang-froid et sa grâce naturelle, mais le Dimoret était plus une tentative un peu risquée. Faust savait plus que quiconque que ce petit malin pouvait devenir insupportable lorsqu'il était d'humeur, et il avait fallu un bon nombre d'avertissements avant que le Dimoret accepte de se tenir à carreaux. En échange de quelques pâtisseries et autres canapés, il se tiendrait bien ; la loi de l'estomac serait plus forte que celle de son tempérament, au moins.
En silence, il écouta le discours de Monsieur Image, non sans grimacer un peu intérieurement en voyant que la maladie l'affaiblissait à ce point. Son empathie naturelle pour les autres lui causait un peu de peine, mais il l'ignora du mieux qu'il le pouvait en se rappelant à quel point Nova s'agaçait que l'on s'apitoie sur son sort, alors ce devait peut-être être la même chose pour la majorité des malades. Un léger sourire amusé se dessina sur son visage lorsqu'il vit le Tylton s'envoler, attendri par ce spectacle. Il envoya Nero déposer son cadeau auprès des autres et, après avoir ravalé le fait qu'il détestait ça, dû comme nombre d'autres élites s'adonner à la signature de multiples autographes, tout ça avec un grand sourire digne de Colgate. Il ne comprenait pas le fait que des personnes pouvaient en admirer une autre au point de vouloir leur signature, mais il n'allait pas poser de questions ; il se contentait de faire ce que les gens voulaient, et point. Après une dizaine de minutes, il finit par s'excuser et prétendit avoir quelque chose à faire pour pouvoir s'éloigner tranquillement. Une fois cela fait, il erra un peu sans but, essayant de retrouver des visages connus dans la foule. Bon, ça, ce fut assez simple, et il n'eut pas de réactions pour la plupart des personnes qu'il vit, s'étant attendu à les remarquer. Toutefois, la vision d'une jeune femme aux cheveux bleus bien connue lui fit détourner brusquement le regard, et il chercha alors une distraction en urgence. Il la trouva vite en rejoignant Nova et Katya, qui discutaient en se goinfrant allégrement, ou du moins en toute discrétion ; mais le plat vide à côté d'elles en disait bien assez. Alors qu'il ne faisait pas attention, Nero s'était lui quelque peu détourné de son objectif initial de rester aux côtés de son dresseur et son attention avait été captivée par un Pichu assez insupportable, qui l'avait bousculé et s'était moqué de lui en le voyant tomber, l'air arrogant. Lorsque le Dimoret avait exigé des excuses, il ne s'était pris que des étincelles dans la face, ce qui avait fini par lui faire oublier toute notion de calme, et... Et il s'était mis à lui courir après. S'en suivit une scène digne de la musique du Benny Hill Show (nan vous savez, le saxophone à la con?), et bien évidemment le Pichu grimpa sur une table pour échapper à son poursuivant qui, vu qu'il était débile comme une huître, fit de même, sauf qu'avec son poids... Hé bien les plats tombèrent les uns après les autre et, s'emmêlant les pieds, le Dimoret finit par glisser gracieusement sur tout le long de la table et emporta avec lui les verres, les plats et la nappe, pour finir par tomber sur son postérieur à la fin. Le bruit du verre et de la porcelaine cassés résonna fortement, amenant de nombreux regards à se poser sur la scène. Tandis que les personnes aux alentours tentaient d'essuyer leurs vêtements trempés et tâchés, Faust remarqua (enfin) le carnage et resta immobile, mortifié. Je suis sûr que les verres étaient en cristal en plus, hein... Pas que ça soit un problème vu mon compte en banque MAIS MERDE À LA FIN !
Il courut rejoindre le lieu du crime, en s'excusant moult fois, alors que Fae à ses côtés essayait de ne pas montrer à quel point elle était blasée. Lui aussi, d'ailleurs, et le regard meurtrier qu'il envoya à son Dimoret, qui d'ailleurs avait l'air tout penaud, avait de quoi faire peur.
Résumé:
Alors... Faust, habillé en tant que Méphisto avec un bonnet de Père Noël sur la tête, vient parce que obligation et tout ça. Il écoute le discours, signe des autographes avant d'aller discuter avec Nova et Katya, accompagné de son Absol. Mais son Dimoret se laisse provoquer par un Pichu et il finit par renverser toute une table et son contenu par terre et sur les personnes autour. Puis, parce qu'il le faut, l'andouille d'hérisson va s'excuser Pokémon présents : Fae l'Absol*, Nero le Dimoret
Cesar Richter Administratrice
Messages : 165 Date d'inscription : 27/04/2014
Âge du personnage : 24 ans, né un 13 décembre Métier / Études : Vagabond Niveau : 42 Team active : .
Va-t-elle accepter? Charlie peut très bien se moquer de la proposition de Cesar. Qui aurait envie de danser avec un débile tel que lui? Car oui, c’est souvent comme ça qu’on le nomme. Tout à l’heure, quand il se dandinait de façon ridicule sur la piste, combien de gens se sont moqués? Alors, franchement, qui pourrait bien avoir envie d’accepter une telle proposition. Tout a coup en proie au doute, alors qu’il était si insouciant il y a quelques minutes, il lança un regard derrière lui, vers le blond au costume extravagant, qui leva le pouce pour le féliciter, tout sourire, en constatant qu’il avait réussi a inviter son amie à danser. Ce dernier lui adressa un signe de la main et disparu dans la foule, et Cesar se demanda qui était de gentil garçon, qui semble être plutôt connu. Peut-être qu’il devrait le remercier, un jour! Enfin, si Charlie accepte de danser, déjà, il devra lui être redevable de l’avoir poussé à inviter son amie. Les secondes qui passèrent par la suite, et l’attente de la réponse de son amie lui parurent passer à une lenteur insupportablement long. Et plus ce temps passait, plus il avait l’impression que la jolie championne allait refuser sans détour. Cesar se mordit la lèvre quand Charlotte se retourna enfin vers lui, et que Anaïs les laissa là, pour aller chercher quelque chose au buffet. Les joues roses, le jeune homme observa les autres couples sur la piste, déjà enlacés et dansant avec lenteur et délicatesse… Aura-t-il l’air aussi adroit, si il danse comme ça avec Charlie? La jeune femme ne lui donna aucune réponse, mais à la place, elle se rapprocha pour poser une main sur son épaule et une autre sur sa taille. Bien sur, ils avaient souvent eu des contacts que l’on pourrait qualifier d’un peu « intimes » lors des fois ou ils échangeaient des câlins, mais cette fois, c’était totalement différent, et Cesar ne put retenir un petit sursaut, pour finalement s’approcher à son tour, tandis que son amie posait sa tête contre son torse. L’imitant, Cesar passa à on tour ses mains le long des épaules de Charlotte, pour les descendre à sa taille, comme ça, il se sentait plus confortable. Et il espérait qu’il en est de même pour Charlie, qui est tout à coup si proche. Tiens… Avait-t-elle toujours été si fine? C’est la première fois que le grand garçon remarquait cela, que celle qui l’avait pris sous sa protection et sous son toit, la Championne de l’arène de Zazambes si forte au combat ait soudain l’air si menue, si frêle, alors qu’elle se trouve désormais entre ses mains.
Désormais enlacés l’un avec l’autre, Cesar sentit une vague de joie passer en lui, et ne puis s’empêcher de sourire jusqu’aux oreilles. Soudainement, il n’est plus du tout préoccupé par le rouge qui lui était monté aux joues. Il eut même un court rire quand il entendit Charlie s’excuser de sa maladresse… Maladresse qu’il partage, mais il s’en fiche complètement. Cesar est si bien, ici, il se sent si heureux qu’il décide pour une fois de se taire et de profiter de ce moment qu’il aimerait voir durer une éternité. Peu à peu, leurs pas s’accordent mieux au rythme lent et sensuel de la musique, et bien que le cavalier au cheveux d’argent ait au départ regardé ses pieds avec un peu trop d’attention, car il manquait souvent de marcher sur les pieds de sa cavalière, il finit par reporter son attention uniquement sur cette dernière (aux risques et périls des pieds de Charlie?), car, après tout, en ce moment, c’est comme si il n’y avait plus qu’eux deux sur la terre. C’est le cas, Cesar avait totalement zappé que d’autres personne dansaient autour d’eux, le blond en costard multicolore, Anaïs, il les mettait momentanément hors de sa mémoire, pour se concentrer uniquement sur Charlie. Mais, pourtant, il parait que quelqu’un a dit un jour que toutes les bonnes choses ont une fin. Cesar ne l’entendit pas, mais apparemment, la chanson prit fin, sauf que lui, il continuait à danser sans s’en préoccuper.
« Moi, tu sais, j’aimerais bien qu’on soit toujou… »
Il s’interrompt au milieu de sa phrase. Pourquoi, il ne sait pas trop, mais il avait tout d’un coup eu peur que ses propos promettent et sous entende bien plus que ce qu’il voudrait dire. « qu’on soit toujours… comme ça ? », c’est ça qu’il avait pensé? Après tout, il s’était sentit tellement bien avec Charlie dans ses bras, que cette pensée devait sembler totalement naturelle… non? Qu’il se pose tant de question sur cette interruption, c’est bien cela qui le travaille. En plus, il avait probablement gâché le moment. Un peu. Le garçon s’éclaircit la gorge et se détacha peu à peu de sa cavalière, comme il avait remarqué que la chanson était finie ? Pourtant, il avait imité un des autres danseurs et tout en ayant gardé une main sur la taille de sa vis-à-vis, il lui tendit son bras, comme tenant absolument à garder un contact tactile avec Charlie. Pour ne pas perdre les sensations qu’il venait de ressentir, probablement.
« On dansera encore, hein? Parce que euh je… euh… enfin, c’était, euh… Non, rien, laisse. M-Merci, Charlie. »
Comme pour se faire pardonner de ses propos étranges depuis quelques minutes, le jeune homme envoya un sourire doux à la Championne. Il ne savait pas ce qu’était cette chaleur qui était née dans son ventre, ou quelque chose semblait grouiller et faire battre son cœur plus fort et plus vite que d’habitude. Est-ce qu’il avait mal digéré quelque chose? Probablement pas… Il se sent trop bien en ce moment, il ne doit pas être malade. Ou alors, si, il commence a tomber malade. Dans une des plus délicieuses des maladies. Mais, ça, il allait lui falloir du temps pour l’apprendre. Et finalement, cela tombe bien, car, du temps, il en a bien assez devant lui.
EVENT N°4
LIS MOIIII:
Pas grand chose ici, Cesar danse un slow avec Charlie et ça le rend tout chose, mais il est super content. La chanson prend fin et il se détache un peu de sa cavalière en lui offrant son bras, tout en bafouillant des trucs pas trop compréhensibles ° 3°
Invité à une soirée bénéfice pour la cause des enfants de l'hôpital de Zazambes, en fait, j'étais convié à cette soirée, donc obligé à aller glander avec des gens que je ne connais pas. Oh, il va y avoir des célébrités comme le maître coordinateur et toute la brochette des conseillers de la ligue. C'est une excellente cause, mais être dans la présence d'une foule, je suis à peu près sur que je vais me noyer dans cette marre de gens. Il me semble que j'aurai pu juste poster une lettre avec un chèque et tout serait réglé? Tout le monde serait content : les enfants auraient de l'argent, je ne vais pas me noyer dans une foule et c'est ça.
J'essayais tant bien que mal de ne pas penser à cette soirée, mais je suis obligé d'y aller, bah, en fait, je ne suis pas obligé de me mettre en valeur, je peux rester à l'écart, boire un petit drink en espérant que personne ne me remarque et vouala! J'ai eu un match aujourd'hui, intense, mais rapide. J'ai eu donc l'après-midi pour m'habiller, en réalité, j'ai plus perdu mon temps à faire autre chose que m'habiller : j'ai joué avec mes pokémons...joué avec mes pokémons...oh et joué encore avec mes pokémons.
L'heure fatidique arriva, je du m'habiller à contre-coeur, je soupirai, au moins, Storm l'Emolga m'accompagnera pour rendre la soirée moins lourde. Pour ne pas me faire trop remarquer, je décidai de mettre un ensemble très ordinaire, donc un jean noir avec une chemise à manche courte blanche, puis un truc que je ne mets pas souvent ; une cravate noire à poireaux blancs. Je mis une paire de souliers bien ordinaire. Je sortis de mon arène pokémon et je me dirigeai en taxi jusqu'à Nuva Eja.
Je présentai mon billet d'invitation qui confirma ma présence en tant que Maxime Francis Warren, champion dresseur d'Amanil. En entrant, je me précipitai automatiquement en retrait de la foule pour ne pas me faire remarquer, j'observai les gens présents, pleins de monde que je ne connais pas. Finalement, l'apparition de Maxwell le maître coordinateur se fit dans une entrée digne de son titre. Mon regard se détourna rapidement pour scruter la place. Storm l'Emolga est planqué sur ma tête, aussi blasé que moi de cette soirée, ça tombe très mal, la soirée vient de commencer! Je soupirai, bon, je me levai en faisant attention pour ne pas croiser aucuns regards, je me dirigeai rapidement vers le bar, je me pris un verre de rhum que je payai avec un beau billet, je laissai le change au barman. J'allai m'asseoir à un endroit qui n'était pas trop pris, c'est-à-dire près de la piste de danse. Je regardai des jeunes gens se faire aller le popotin. Il y avait beaucoup des gens qui ressemblaient à des adolescents. Oh tien, je remarquai la championne de Zazambes, à elle que j'ai fais le cadeau de courtoisie de ma Machop. Bref, je restai assis, bien confortable sur ma chaise. Il faut juste espérer que cette soirée va passer le plus vite possible afin que je retourne à mon arène. Je caressai la tête de mon écureuil électrique volant, puis je lui dis :
« Ne t'inquiète pas Storm, la soirée va passer vite, on a juste à rester assis et cette soirée devrait être moins longue. »
Je fis un soupire d'ennuie, j'essayai de me trouver quelque chose à faire, je me mis à penser à ce que je pourrais bien faire.
Read me!:
Maxime a horreur des soirées, il s'est vite incrusté dans la salle, il s'est dirigé au bar pour se prendre un rhum et repartit aussitôt vers la piste de danse afin de se planquer sur une chaise confortable.
- Pokémon présent : Storm l'Emolga.
Samaël Enodril Modératrice Combat/Capture
Age : 27 Messages : 875 Date d'inscription : 11/07/2013
Âge du personnage : 20 ans Métier / Études : Bac ES / Modeste écrivain de livres pour enfants Pseudonyme(s) : . Sirius - Maître Dresseur Golden Wings - Résistant Ted Ibert - nom d'écrivain
Les mains de la jeune fille resserrent leur emprise sur lui, alors qu'il déglutit nerveusement et qu'il est bien à deux doigts de couper court à la danse. Mais depuis tout à l'heure, alors qu'elle est si près de lui, c'est comme une impression de déjà vu, pendant qu'il scrute les yeux verts de sa cavalière en se demandant s'il ne l'aurait pas aperçu quelque part autre qu'au parc d'attraction, où leur échange a été plutôt bref. De plus, son parfum lui est vaguement familier. Impossible cependant pour lui de se rappeler pourquoi, alors qu'il est pourtant sûr ne jamais l'avoir croisé jusqu'à son rendez-vous avec Natsume. Pour le moment, tout ce qu'il peut dire, c'est qu'elle a une définition de 'espace personnel' encore plus erronée que la sienne, alors que ça semblait improbable de faire pire que son dictionnaire. En tant normal, Sam n'aurait pas hésité à s'écarter vivement et à lui exprimer sa façon de penser, mais étant donné l'endroit où ils étaient et la raison pour laquelle il n'a pas pu lui refuser de danser avec elle, il doit trouver une autre solution pour se débarrasser de cette pot de colle. Pas qu'il n'aime pas les gens collants, au contraire même, parfois, mais là... juste, non. Trop c'est trop.
Alors qu'il soupire légèrement et qu'il croit qu'il va devoir employer les grands moyens, surtout lorsqu'il la voit encore séparer la distance qui les sépare, à tel point qu'il peut sentir son souffle contre lui, une main s'empare fermement de l'épaule de la blonde et celle-ci se retourne, surprise et en même temps agacée qu'on les ait dérangé. Mais en voyant le magnifique garçon qui les a interrompu, le regard de Samaël s'illumine, et il remercie intérieurement Arceus d'avoir envoyé son petit-ami pour lui sauver la mise. Mais tout à coup, il se fige et grimace en remarquant son sourire quelque forcé. Embarrassé au possible, il se demande tout à coup s'il va lui en vouloir d'avoir danser avec quelqu'un d'autre, et surtout s'il a été blessé de les voir si proche, alors que le nounours ne désirait pas tellement l'intrusion de l'adolescente dans son espace personnel. Il se souvient du déchirement qu'il a ressenti la dernière fois qu'il a été affreusement jaloux, et même si le contexte est 'légèrement' différent, il ne peut que se sentir un peu coupable d'avoir accepté de danser avec cette fille et regrette déjà de ne pas avoir mieux chercher Natsume pour ne pas avoir pu danser directement avec lui, alors qu'il est bien la seule personne avec qui il le voudrait.
Bien heureusement, le lapin trouve une excuse qui ne permet pas à Jadina de répliquer, et même sans ça, le simple fait qu'il passe son bras autour de la taille de son copain suffit à faire passer un message on ne peut plus clair. Eh oui, l'ourson est à lui, et à lui seul ; ça, la fille le comprend plutôt bien, et recule même assez brusquement quand elle aperçoit toujours le rictus du Shimomura dirigé contre elle, faisant passer ainsi comme un avertissement, au cas où elle aurait envie de recommencer ses tentatives d'approche. Non mécontent de s'être enfin débarrassé de l'emprise de l'autre, Sam se laisse entraîner par son copain, un petit sourire soulagé et tendre sur les lèvres, comprenant qu'il ne lui en voulait peut-être pas, au final. Un peu à l'écart du reste, il ronronnerait s'il le pouvait quand il sent les bras de Natsume se resserrer un peu plus. Voilà un contact qu'il appréciait grandement, au moins. Mais les paroles du lapinou le ramènent à ce qui vient de se passer. Avantageusement, l'éleveur n'a pas l'air si en colère que ça et utilise même le registre de la provocation en signe de bonjour.
- N-non, je... je...
Confus, il ne sait plus où se mettre. Il passe maladroitement sa main derrière sa nuque, cherchant à se justifier, avant d'avoir un instant de contemplation. En effet, il se surprend maintenant à admirer son petit-ami dans sa tenue qui lui va à ravir, et manquerait presque de baver. Ses mains glissent machinalement sur l'élégante veste du cadet, et il observe, examine, s'émerveille devant le costume du japonais ; car même s'il ne fait pas attention à l'apparence, il ne peut nier que Natsume, déjà adorable à la base, pourrait presque être qualifié de... 'sexy'. Après quelques secondes qu'il passe à gagater devant le plus jeune, il finit par le prendre dans ses bras pour l'entraîner dans un câlin, et pousse un soupir d'air, trop heureux qu'il soit présent à ce gala.
- Merci, Natsume. On peut dire que tu m'as vraiment sorti d'un mauvais pas. Je désespérais que tu ne viennes pas.
Peut-être que partir maintenant est une mauvaise idée, en fin de compte. Peut-être pourra-t-il finalement aller s'amuser avec les autres et oublier cette histoire de souvenir de la rafle qui lui monte à la tête et lui rappelle de douloureux souvenirs qui lui compriment le cœur à chaque fois qu'il y pense et qu'il passe devant la stèle commémorative. Il n'est pas seul. Il ne l'a jamais été, et la présence de Natsume lui assure qu'il ne le sera jamais. Il l'aime de tout son être, c'est un fait, mais c'est comme s'il le redécouvrait ce soir. Comme si c'était devenu encore plus évident, et que s'il a perdu un père cette année, il a trouvé le plus merveilleux des petits-amis à aimer. Sans trop l'étouffer, il le serre contre lui et plonge ses doigts dans ses cheveux, glissant même quelques bisous sur sa tête. Si Samaël était parti pour déprimer, il a retrouvé le sourire et pense même à aller danser de nouveau, mais en compagnie bien sûr de son cavalier préféré.
- Tu veux danser ? Il n'y a qu'avec toi que j'en ai envie.
S'il attendait une réponse de sa part, il est coupé dans son élan par la musique qui change, et il comprend rapidement que c'est l'heure à présent des slows. Si d'habitude l'Enodril n'aime pas tellement cette danse, tout est bon pour se rapprocher de Natsume et profiter de sa chaleur. Alors sans pressement, il l'invite à venir et lui prend la main avec douceur avant de l'entraîner sur la piste où quelques couples ont déjà commencé à danser. L'aîné passe donc ses bras autour de la taille de son copain et repose sa tête sur son épaule, profitant de cette position pour lui embrasser tendrement le cou et le caler un peu plus contre lui. Depuis tout à l'heure, son sourire ne l'a pas quitté ; il n'aurait pu rêver mieux pour ce soir, il en est certain, et pas de doute qu'il rivaliserait sans peine avec un moteur d'avion si les humains avaient la capacité de ronronner.
Si voir Sam et Natsume l'attendrit beaucoup et que ça le soulage de savoir que son ami ne va finalement pas passer la soirée seule à déprimer dans son coin, il ne peut s'empêcher de se demander ce qu'il fout là. Plus le temps passe, plus il a des doutes sur ce qu'il devrait faire ; et s'il serait bien resté pour profiter de la soirée, il ne sait pas pourquoi il a tout à coup envie de partir d'ici. Enfin, en fait, il sait très bien pourquoi : c'est parce qu'il a vu Adélia danser avec quelqu'un d'autre et que pour une raison qu'il ignore, ça le perturbe. Mais il y a des tas de filles qui recherchent encore un cavalier, alors il n'a aucune raison de se priver de danse sous prétexte que cette ravissante et merveilleuse et élégante et gentille et... et... bref, sous prétexte que son... amie soit déjà prise. Tristan n'est pas un si mauvais danseur que ça, contrairement à ce qu'il pense, tout modeste qu'il est ; mais il préfère éviter de faire n'importe quoi et de marcher sur les pieds de quelqu'un plutôt que d'accepter une proposition et de risquer par la même occasion d'être maladroit et de faire n'importe quoi. Il n'a aucune raison de rester éloigné d'Adélia ; il pourrait très bien aller la saluer, au moins, car ce n'est pas vraiment l'envie qui manque, pour tout dire. Mais il n'ose pas. De plus, il semblerait qu'elle soit avec des amis ; donc il ne ferait que la déranger. Pourtant, même s'il essaye, ou qu'il fait mine d'essayer, il ne peut détacher son regard de la jolie brune et de sa robe reflétant le ciel azuré. A ses yeux, elle illumine à elle seule le gala, et c'est comme s'il s'agissait de la seule fille de la soirée.
Mais il doit l'oublier et revenir à la réalité. Le Weber secoue la tête et reprend ses esprits, ne comprenant pas cette soudaine fixette sur la jeune femme. Reprends-toi, mon vieux ! Tu l'as vu qu'une fois ! Tu croyais vraiment que lui sauver la vie te permettrait de te rapprocher d'elle ? Il ne s'attendait à rien si jamais il la revoyait. Il la considère comme une amie qu'il a sauvé un soir alors qu'elle était mal en point. Mais peut-être qu'elle l'a oublié, elle. Peut-être qu'elle ne pense déjà plus à lui. D'un autre côté, Tristan ne peut se résoudre à cette pensée et que Adélia est bien trop gentille pour ne pas se souvenir de lui. Il l'apprécie véritablement, et c'est déjà un immense soulagement pour lui de la voir ce soir, car cela signifie qu'au moins elle est heureuse. Alors il la regarde de loin, sans se rendre compte qu'un sourire niais s'est dessiné sur son visage.
Soudain, un bruit de chahut se fait entendre. L'hôte de pension sursaute au moment où il remarque qu'un Pichu et un Dimoret jouent à Tom et Jerry au milieu du buffet et se coursent en faisant chuter un à un les plats, les petits fours et autres liquides qui tâchent les vêtements sophistiqués des invités. Instinctivement, Tristan s'empare du bras d'une jeune fille pour éviter qu'elle ne soit à son tour trempée par les boissons qui chutent devant le félin des glaces et l'entraîne à l'écart pour sauver in-extremis sa robe de la catastrophe. Soulagé, il soupire. C'était moins une ! L'épisode se terminant par un Méphisto confus et s'excusant, le Weber met quelques secondes à réagir et à remarquer qu'il a toujours son emprise sur la bras d'une inconnue. Il rougit immédiatement et lâche aussi la demoiselle avant de la scruter. Plus jeune que lui, elle est plutôt mignonne, avec ses cheveux d'ébène et sa jolie robe turquoise à ruban. Il bredouille des excuses et détourne légèrement le regard vers la piste de danse, avant de tendre la main à l'inconnue.
- Vou-voudriez-vous m'accorder cette danse ?...
Réalisé par BlueBerry pour Orange
En gros:
Sam est sauvé in-extremis par son copain et câline celui-ci en le remerciant avant de l'entraîner sur la piste de danse pour un slow De son côté, Tristan bave observe Adélia de loin pour admirer sa tenue mais n'ose pas la déranger. Suite au carnage de Nero sur le buffet, il prend le bras de Anaïs pour éviter que sa robe ne soit tâchée par les bêtises du Dimoret et en profite pour l'inviter à danser. Elle est libre d'accepter ou non, si elle préfère rester en retrait. Voilà voilou °3°
Natsume Shimomura Modératrice en Chef
Age : 27 Messages : 668 Date d'inscription : 24/05/2014
Âge du personnage : 19 ans Métier / Études : Diplôme d'élevage, L2 Sciences Pseudonyme(s) : . Wakagi
~> Nom de chercheur Athéris
~> Pseudonyme de soigneur
Sujet: Re: Event no°4; «I lived» Ven 2 Jan 2015 - 18:08
Event n°4
"I lived"
La jalousie n'est pas dans l'habitude de Natsume, pas par désintérêt mais plutôt par le fait qu'il ne supporterait pas d'avoir de pareilles pensées stupides, surtout qu'elles ne sont souvent que le résultat d'inquiétudes hautement imbéciles. Ainsi, qu'il se sente aussi mal en voyant quelqu'un d'autre être aussi proche de son copain l'avait déstabilisé, et la froideur qui serrait sa poitrine lui avait vite fait comprendre quelle était la source de son déplaisir. Il n'était pas habitué à ressentir ça, et autant dire qu'il comprenait subitement beaucoup plus la colère de Samaël lors de l'accident de la dernière fois : hormis l'envie de voir cette fille loin, très loin de l'autre adolescent, il ne souhaitait rien d'autre. La force de cette émotion l'avait surpris, mais vu qu'il avait réagi au quart de tour, il n'y avait pas à douter que la jalousie avait plus forte que sa raison cette fois-ci. Ce qui était fait était fait néanmoins, et en toute honnêteté il ne regrettait absolument rien, si bien qu'il était très content de lui et de ce qu'il avait fait, au final. Les balbutiements gênés de l'aîné n'auraient pas dû l'amuser car c'était quelque peu cruel de sa part de rire de la mésaventure de celui-ci, mais il devait avouer que sa tête gênée valait son pesant d'or, bien que Natsume n'était pas du genre à rechercher ce genre de vision, n'en voyant tout simplement pas l'intérêt. Mais autant dire qu'il ne pu s'empêcher de glousser, trouvant son copain adorable, et il ne dit rien de plus, ne voulant pas l’embarrasser inutilement : son but était d'engager la conversation, pas de le mettre mal à l'aise. Son but n'était jamais de le mettre mal à l'aise de toute façon, mais disons que lui, il était plus du genre à rire qu'à en faire tout un drame, surtout pour quelque chose d'aussi risible.
Toutefois, il eut vite fait de perdre son sourire provocateur lorsqu'il sentit les mains de l'autre glisser sur sa veste et qu'il remarqua enfin le regard admiratif de son copain posé sur lui, ce qui eut comme effet de lui couper le sifflet, de le faire légèrement rougir (mais pas autant qu'il l'aurait fait il y a quelques mois, vraiment) et de lui donner envie de regarder partout sauf là, et surtout de faire comme si il ne voyait rien. Ce moment d'inspection, si il le gêna, vu vite oublié que quelques secondes après, il eut le droit à un câlin qui eut le don de le faire fondre comme la grosse guimauve attardée qu'il était une fois dans ses bras. Un gros sourire niais sur le visage, il profite du contact en se rapprochant autant qu'il le peut, bien qu'à ce stade ça ne soit qu'une histoire de millimètres risible. Il sourit un peu en l'entendant avouer qu'il désespérait, se sentant soudainement très stupide de n'être pas venu plus rapidement par simple... Il aurait été incapable de dire si c'était de la timidité, de la stupidité ou de l'entêtement, voir les trois mélangés. Tout cela pour dire que les doigts qui passaient dans les cheveux et les bisous déposés sur sa tête avaient le pouvoir de le calmer et de lui faire oublier tout le reste. Il ne dit rien, préférant se taire en espérant que cela ferait un peu durer le moment, profitant de son odeur et de sa chaleur. L'autre lui proposa aller alors d'aller danser, ce qui le fit un peu hésiter. Déjà, il ne raffolait pas du tout de la danse en général, mais en plus ben... Il était bien, là. Mais il aurait eu bien du mal à lui refuser quelque chose, et il soupira intérieurement en se remarquant aussi faible et peu résistant. La précision 'que toi' attira son attention et flatta son orgueil, toutefois, si bien qu'il montra encore moins de réticence à y aller. Il n'eut néanmoins pas le temps de dire quoi que ce soit ou de répondre clairement, puisque la musique commença et que aussitôt, Samaël l'entraînait vers la piste où d'autres couples avaient commencé à danser
« A-a-attends c'est que j'ai jam- »
Sa protestation faible s'était tue alors qu'ils s'avançaient. Il aurait voulu lui dire avant qu'il n'avait jamais dansé de slow de sa vie (voir dansé tout court) et que c'était donc peut-être une mauvaise idée que de s'adonner à cette activité vu son incompétence notoire. Mais trop tard : la vilaine habitude qu'avait l'Enodril de ne pas l'écouter venait de couper court à toute possibilité de dire quoi que ce soit, et maintenant qu'ils étaient là, il aurait été incapable d'ouvrir la bouche pour dire qu'il était bien parti pour faire un massacre. Il prononça dans sa tête une prière silencieuse envers les pauvres pieds de son copain qui allaient devenir les victimes de sa maladresse, et suivit le rythme. Un peu mal à l'aise au départ, il n'osa pas relever les yeux et essaya de ne pas montrer qu'il n'avait pas la moindre idée de ce qu'il était en train de faire et improvisait comme il le pouvait. L'autre s'en sortait mieux que lui d'ailleurs, ou du moins c'était en comparaison avec la nullité phénoménale du lapin qui avait l'impression de faire des pas de travers à chaque fois, et ce n'était vraiment pas qu'une impression. Il se détendit un peu en sentant les bras de l'aîné contre sa taille et sa tête posée sur son épaule, et le sourire stupide de l'éleveur revient plus fort que jamais, se faisant même encore plus niais lorsqu'il eut le droit à un baiser dans le cou. Préférant le mutisme à des paroles qui n'auraient pas eu grand usage et qui n'auraient probablement rien voulu dire, il se cantonna dans son intention de ne pas massacrer les pieds de l'autre et... Échoua. Une fois, puis deux, puis trois. Puis quatre. Jusqu'à ce que, se rendant compte qu'il était en train de faire, il vira à l'écarlate à cause de la honte et se confondit en excuses balbutiées et quasiment incompréhensibles si on ne prenait pas le temps de les écouter.
« P-p-pardon e-euh j'avais j-jamais fait ça avant et j-je... »
Ah bah bravo au lapin, faut le dire. Même si il ne voyait pas trop l'intérêt de la danse hormis que c'était une façon socialement acceptable de franchir l'espace personnel des autres, il aurait bien aimé ne pas écrabouiller les pieds de son copain et lui donner un bon souvenir du moment. Sauf que sa maladresse légendaire et son goût de rester éloigné de ce genre d’événements avaient amené tout le contraire. Honteux, il s'écarta un peu, et passa une main sur son visage pour espérer se calmer un peu.
« Je peux creuser un trou et m'y cacher jusqu'à la fin de la soirée ? Juste pour faire comme si je ne t'avais pas transformé les pieds en bouillie ? »
Il grimaça, mal à l'aise. Utiliser de l'humour lui avait au moins permis de parler, mais là, il avait juste envie de faire exactement ce qu'il venait de dire. Pas sûr que le plancher soit suffisamment fragile toutefois. Mais tandis que d'autres couples profitaient du moment au rythme de la musique (ce que Natsume ne comprenait pas, jugeant que c'était plus impratique qu'autre chose), lui... Lui faisait n'importe quoi. Encore une fois toutefois c'était prévisible. Dans sa tête toutefois, creuser un tunnel était quelque chose qui pouvait se faire, avec un peu d'effort. Néanmoins, un bruit attira son attention et il sursauta un peu, avant de remarquer tout le carnage fait par Nero le Dimoret et un Pichu, ce qui l'amusa et le détendit un peu. La tête de Faust aurait dû être prise en photo d'ailleurs, et celle de Katya se retrouvant tâchée de sauce tomate et de champagne n'était pas en reste. Toutefois, cette vision, aussi amusante qu'elle soit, n'était pour lui qu'un moyen d'échapper très brièvement à la maladresse de la situation dans laquelle il était empêtré.
Résumé:
Ceci est un post quasiment entièrement composé de guimauve Hormis ça, Natsu manque de transformer les pieds de son copain en confiture et remarque le carnage, sauf que ça change pas grand chose hormis le faire glousser deux secondes Pokémon présent(s) : ///.
Dernière édition par Natsume Shimomura le Lun 5 Jan 2015 - 10:26, édité 1 fois
Charlotte S. Laurens Administratrice Fondatrice
Age : 31 Messages : 485 Date d'inscription : 28/04/2014
Âge du personnage : 19 ans Métier / Études : Championne Dresseur de Zazambes Pseudonyme(s) : Tabitha, surnom de dresseuse
Niveau : 60 Team active :
Akemi la Galifeu ♀ - Brasier - Naïve
Alastor le Carchacrok ♂ - Voile Sable - Rigide
Eryn la Crocorible ♀ - Intimidation - Joviale
Edwin l'Hariyama ♂ - Isograisse - Gentil
Astrid la Pandarbare ♀ - Poing de Fer - Calme
Miornir l'Hippoducus ♂ - Sable Volant - Brave
Team spécifique :
Soren le Lucario ♂ - Attention - Solo
Asaki le Grotichon ♂ - Brasier - Modeste
Fukuo le Bagguiguane ♂ - Mue - Jovial
Hayate le Karaclée ♂ - Fermeté - Pressé
Sujet: Re: Event no°4; «I lived» Ven 2 Jan 2015 - 20:46
I LIVEDEvent no°4
J'ai toujours cru que de me rapprocher des autres finirait par me conduire vers la douleur. Qu'au contact des autres, je ne pourrais ressentir que la plus grande des peines. Qu'on arriverait jamais à me comprendre véritablement. J'ai toujours pensé que ma place se trouvait à l'écart, et pendant plusieurs années cette tactique a fonctionné à merveille. Je me trouvais bel et bien isolée dans un monde que je pensais intouchable, dans ma forteresse végétale loin du chaos qui règne dans les rues de Zazambes, vivant ma vie comme je l'attendais, dans la peur grandissante de m'ouvrir. Pourtant, je sens que le phénomène se produit, finalement. Je suis en train de m'ouvrir, non seulement à Cesar mais à moi-même. Je me redécouvre, d'une certaine façon. Je m'étais interdit certaines parts de moi, profondément enfouies, immensément fragiles. J'ai l'impression de prendre un très grand souffle après des années sans respirer. C'est drôle comment je me sens... différente, comme si cette danse ce soir allait tout changer. Je ne le réalise à peine, blottie contre mon ami dont la présence me réconforte une énième fois. Vulnérable et protégée, vainqueur et vaincue, tout à la fois. Je ne saurais expliquer ce que je ressens. Je suis bien, voilà tout. Je nage dans cette ambiance tranquille en abandonnant mes dernières peurs. Bien sûr, elles m'attendent au détour. Sitôt ce moment brisé que le poids de mes angoisses m'engourdira à nouveau.
Une part de moi souhaiterait ne jamais en voir la fin. J'ai perdu toute notion du temps ou de l'espace. Il ne reste plus que quatre bras, deux corps enlacés, et la certitude profondément ancrée en moi que tout ira pour le mieux. Puis cette chaleur qui nous lie l'une à l'autre, nous rassemble comme pour unir ce que nous sommes. Une équipe depuis le début, n'est-ce pas? J'ai même abandonné mon sourire et fermé les yeux. La voix de Cesar me fait sursauter. Je reprends lentement conscience de ce qui m'entoure. Je réalise ce que je faisais, le bien-être qui s'est imposé à moi, la proximité qui est toujours nôtre. La musique... elle a changé. La danse s'est terminée et voilà que le monde tourne à nouveau, nous entraînant dans sa brusque réalité. Des moments comment ceux que nous avons partagé ont un goût d'interdit. Un frisson me parcourt alors qu'il avorte sa phrase au tout milieu. Je suis suspendue à ses lèvres dans un espoir que je ne comprends pas moi-même. Mon coeur tambourine ma cage thoracique avec violence.
Pourtant il ne dit plus rien. Il change de sujet, il se dégonfle. Je l'ignore. Je ne sais pas ce que j'attendais. J'ai la tête pleine de rêves, je peine à réfléchir. Il se détache de moi tout en gardant une main contre ma taille. Je le scrute, incapable de lui rendre son sourire, profondément confuse et un peu effrayée par la chaleur que je ressens. Si on dansera à nouveau? Une part de moi est tentée de refuser, paniquée par ces émotions que je ne sais pas identifier. L'autre me supplie de me montrer un peu plus courageuse pour une fois, me demande de ne pas le laisser tomber. Je prends son bras. Je sens qu'il n'a pas envie de rompre notre contact, pas tout de suite, et pour honnête, moi non plus. Je me souviens avec un nouveau frisson de ma main contre son torse tout à l'heure. De l'électricité qui m'a alors parcourue.
«Tu... tu voudras encore dans... ser avec moi? J'suis... pas très douée pourtant... Mais bon si tu tiens à t'infliger cette... torture je... je... Je t'inviterai la prochaine fois...»
Je me mets à rougir. À mon tour de vivre une soif dévorante. Mon regard se pose vers le buffet, dont une partie a été reversée. J'ignore ce qui s'est passé, mais je ferais mieux d'attendre avant de m'aventurer de ce côté. Un silence gênant s'installe progressivement entre nous deux. Que devons-nous nous dire à présent? Je cherche désespérément une issue quand une tête à piques entre dans mon champ de vision. J'ai du mal à le reconnaître dans ces beaux habits et dans les bras d'un autre adolescent mais... Il s'agit bel et bien de Natsume.
«Hé, c'est mon ami par là, allons le voir!»
En prenant la main de Cesar, je l'entraîne du côté de Natsume. Je place dans son dos en affichant un sourire des plus stupides en disant un peu trop fort :
«Ouhhh! Natsu a un copaiiiin!»
Ouais, on le saura, j'ai six ans dans ma tête. Six ans, encore, est bien généreux.
Résumé:
Bon alors Charlie est toute mélangée et un silence akward s'en suit après la danse avec Cesar. Elle voit Natsume et entraîne Cesar avec elle pour aller le voir. Elle arrive derrière Natsu et fait l'imbécile pour l'énerver :P Elle n'a pas encore vu Sam, qu'elle ne pourra pas reconnaître de toute façon. robe de Charlie
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Reiko Sawamura Débutant
Messages : 105 Date d'inscription : 30/09/2014
Âge du personnage : 22 ans Métier / Études : Conseillère Spectre Pseudonyme(s) : Cherazade - Conseillère Spectre
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Corail - Prinplouf♀ - Torrent - Douce
Nina - Nidorina ♀ - Point Poison - Malin
Ptyranidur ♂ - James - Prognathe - Brave
Evoli ♂ - Athos - Adaptabilité - Calme
Ptéra* ♀ - Lady - Tête de Roc - Jovial
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Frank - Ectoplasma ♂ - Lévitation - Calme
Ouranos - Noctunoir ♂ - Pression - Pressé
Suzi - Lugulabre ♀ - Corps Ardent - Malpolie
Desmond - Exagide ♂ - Déclic Tactique - Timide
Misty - Momartik ♀ - Rideau Neige - Pressé
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Sujet: Re: Event no°4; «I lived» Ven 2 Jan 2015 - 20:52
I LivedEvent no 4
Si le rouge et le vert sont les couleurs de Noël, elles ne ressortent sans doute pas aussi bien sur mon visage crispé. Par tous les dieux, il fallait vraiment que ça m’arrive! Il fallait vraiment que cette foutue bombe d’homme me rentre dedans! Ou était-ce moi qui lui ai rentré dedans? Je ne parviens même pas à me rappeler ce qui s’est produit alors qu’à peine quelques secondes se sont écoulées. Ma tête vide doit sans doute être bien visible de l’extérieur, car bientôt je me mets à entendre les rires synchronisés d’Adélia et de Kaoru en ma direction. Ce rappel à la réalité me fait sursauter. C’est vrai, je l’avais presque oublié, cette relation qu’entretiennent le champion d’Anula et la cousine de mon amie. Il faudra bien m’y habituer… Enfin, si une telle chose est vraiment possible. Comment suis-je sensée m’habituer à côtoyer deux vedettes, alors que je ne suis que cette petite Reiko que personne ici ne semble reconnaitre comme la Conseillère de type Spectre? Comment suis-je sensée m’habituer à tous ces gens qui brillent tant? Ces gens que tous admirent, alors que moi… Alors que moi, je ne suis, au final, que Reiko.
Je baisse les yeux, à la fois gênée de ma réaction devant Phantom et de nouveau insécure au milieu de cette foule qui se frotte à moi sans retenue. De nouveau, je me mets à regretter de m’être aventurée ici. De plus en plus, je me mets à songer à aller m’enfermer dans les toilettes. Parce qu’être tenue à me présenter à cette soirée ne veut pas dire que je dois être visible, pas vrai? La salle de bain fait bel et bien partie de la soirée, après tout… Secouant la tête, je finis par réussir à chasser cette pensée plus que ridicule, et daigne enfin relever la tête vers mon amie qui semble avoir terminée de se marrer. Son large sourire amusé s’est dissipé, à un tel point que je pourrais presque parier qu’elle vient de voir un fantôme. Elle se met d’ailleurs à reculer brusquement, pour au final terminer son parcours au sol, sur les fesses. Inquiète, je me retourne vivement vers l’endroit où regardait la jeune femme avant de perdre la tête, pour justement réaliser que se tient à cet endroit les deux petites filles que ne nous ont pas lâchées d’une semelle. Se pourrait-il que… Non, elle n’a pas pu les voir, pas vrai? Et puis, elle n’y aurait sans doute pas fait attention, si jamais ça avait été le cas? Non, tout ceci est bien peu probable, et je dois me résoudre à chasser cette idée de mon esprit. N’y pensant plus, je m’avance vers Adélia qui a entre-temps été relevée par sa cousine.
-Ça va? Tu t’es pas fait mal j’espère!
La jeune femme semble quelques peu sonnée, mais ne semble pas blessée. Cette histoire de talons me semble bien peu crédible, et ainsi je me remets malgré moi à penser à cette histoire bien louche. Bien que ma première théorie soit peu crédible, je ne peux m’empêcher d’y songer à nouveau. Et si elle avait pu les apercevoir, elle aussi, l’espace d’un instant? Et si elle avait vu l’un de ces êtres qui peuplent mon quotidien? Et si… Et si je n’étais plus seule? Sans même m’en rendre compte, je m’accroche à cette possibilité. Je veux y croire. Aussi égoïste soit-elle, j’aime bien cette idée. Avoir quelqu’un à qui me confier, avoir une amie qui pourrait, elle aussi, les voir, les entendre, les sentir…
-Hey Adélia, la modération ça s’applique à tout le monde!
Je suis si concentrée dans cette idée que je n’ai même pas réalisé que le champion d’Anula se tient toujours à nos côtés. Celui-ci s’est emparé de mon amie par les épaules pour la brasser légèrement, un sourire amusé au visage. Cette fois, au lieu de rougir, je me mets à rire avec lui, sans toutefois croire à cette histoire d’alcool. Personnellement, je m’accroche à mon idée, et je me permets même de détourner le regard vers la source de toute cette action, pour cette fois remarquer un autre détail. Un détail qui vient refroidir toute cette bonne humeur. Un pincement au cœur me prend, alors que je croise son regard au loin. Un jeune homme. Un charmant jeune homme qui observe de loin mon amie avec un regard qui dit tout, avant de brusquement se retourner vers le buffet. Je reste silencieuse, avec au plus profond de moi une impression de vide, comme si on venait de me dégonfler. C’était donc ça? C’était donc… un garçon? J’aurais dû savoir… J’aurais dû me douter que tout ceci était trop beau pour être vrai. J’aurais dû… savoir. Tout ceci était impossible, et pourtant, je m’étais laissé charmer par cette histoire. Mais à présent, je sais. À présent, mes illusions se sont envolées. Un garçon… Tout simplement. Pas un être invisible, non, pas une amie partageant mon univers, non, un simple garçon… Je ne peux retenir un petit soupir en le contemplant d’ici. Sans doute devrais-je être heureuse pour Adélia, de voir ce charmant jeune homme la contempler comme le champion d’Anula contemple sa douce. Sans doute devrais-je être soulagée de la voir immunisée à ce monde de la solitude dans lequel je vie, et pourtant, une part bien égoïste de moi ne peut s’empêcher d’être déçue.
Un sourire faux sur le visage, je me tourne de nouveau vers Adélia qui se fait toujours taquiner par le beau blond. Je sais que je dois me reprendre. Je sais que je ne peux me permettre d’en vouloir au monde entier d’être différente. D’être « spéciale » comme le dit si souvent Constance. Être « spéciale », c’est nul, mais ce n’est la faute de personne, et certainement pas de ma bonne amie qui vient de voir passer son propre Weston Elric ou son Maxwell Young. Je ne peux pas lui en vouloir, et surtout, je ne peux pas la laisser s’en vouloir. Elle ne doit pas réaliser mon malaise. Ce soir, c’est la fête pour tout le monde, pas vrai? Je libère un nouveau soupir, et souris cette fois d’un sourire franc à Adélia avant de la tirer par le bras et la libérer des moqueries du blond.
-Faut aller lui parler s’il te fait tant d’effet!
Je lui chuchote ces quelques mots à l’oreille avant de lui glisser un clin d’œil. Amusée, je la pousse délicatement en direction de son prince charmant, sans véritablement oser le regarder. Je sais bien qu’après coup je risque de me retrouver seule pour le reste de la soirée, mais enfin… C’est un risque à courir.
(c)Golden
Résumé:
En gros, Weston se moque d'Adé en croyant qu'elle est saoule, mais Reiko, elle, réalise ce qui se passe vraiment :B elle est un peu déçue, mais fini par encourager Adélia à aller parler à Tristan^^
Anaïs M. Rinel Newbie
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Âge du personnage : 16 Métier / Études : Lycéenne (terminale L) et bassiste Niveau : 20 Team active : - Coupenotte ♀ - Symphonie - Rivalité - Docile
- Brocélôme ♀ - Prélude - Medic Nature - Joviale
- Nucléos ♀ - Mélodie - Garde Magik - Bizarre
Sujet: Re: Event no°4; «I lived» Ven 2 Jan 2015 - 22:57
I lived
Event n°4
Anaïs ne se rendait pas compte à quel point danser lui avait donné soif. Le jus de pomme lui fit donc le plus grands bien du monde. Et puis, elle avait beaucoup mangé, sans forcément boire à côté, alors, elle avait la gorge sèche. Et elle se douta qu'il en allait de même pour Symphonie, à qui elle tendit un jus de baie, que la petite s'empressa de boire. Elles restèrent ici, à observer les danseurs, et particulièrement Charlie et Cesar. Pas amoureux, hein ? En tout cas, même s'ils ne s'en étaient pas encore rendus compte, l'adolescente voyait bien qu'il se passait quelque chose entre les deux personnes qu'elle avait rencontrés à cette soirée, et c'est justement pour cela qu'elle avait décidé de se retirer. Dans ces moment-là, on se sentait un peu de trop.
« Ah bah tu est là ! T'étais passée où ?»
Anaïs tourna la tête en entendant la voix de son frère. Elle ne l'avait pas vu depuis tout à l'heure et c'est maintenant qu'elle avait décidé de faire une petite pause qu'il débarquait. Elle lui expliqua comment sa Coupenotte lui avait échappée et de quelle façon elle avait bousculée Charlie, sous le regard amusé de son frère, qui eu aussi un sourire face à la maladresse de sa petite sœur. Elle continue donc rapidement en expliquant qu'elle avait finalement fait connaissance avec cette personne, la désignant d'ailleurs dans la foule de danseurs, aux bras de Cesar. Son frère ouvre de grands yeux et fusille sa sœur du regard. Il a très bien reconnu Tabitha. La brune, elle, hausse les épaules. Ça n'avait pas eu l'air de déranger Charlie qu'elle ne connaisse pas son surnom. Le blond soupire mais ne dit rien. Bon, c'est vrai que sa petite sœur ne regardait pas la télé tout autant que lui, loin de là. Lui, il s'intéressait beaucoup à la compétition, au point de vouloir y participer... mais pas tout de suite. Il n'a même encore rien dit à Anaïs. Il verrait quand il serait mieux décidé. Et de toute façon, ce n'était pas le moment de parler de ça.
« Et toi ? Je doute que tu sois allé avec les parents... tu t'es trouvé une cavalière ? »
Théodore rougit subitement, et ouvrit la bouche pour répondre quand un grand bruit se fit entendre, et Anaïs sentit qu'on lui tirait le bras. Elle lâcha un petit cri de surprise, avant de comprendre ce qui se passait. Près d'elle, la table s'était renversée, et un Pichu et un Dimoret semblaient en être la cause. L'adolescente se retourna alors pour voir le visage de celui qui l'avait empêchée d'être tachée. Elle ne connaissait pas la personne en question, ça c'est sûr. C'était un jeune homme brun, sûrement un peu plus âgé qu'elle, et il ne lui semblait pas l'avoir déjà vu quelque part.
« Ouf, merci ! »
L'inconnu garda quelques secondes sa main sur le bras de l'adolescente, avant de la retirer en s'excusant. Anaïs lui offrit un grand sourire pour lui montrer qu'elle ne lui en voulait pas. Elle pris sa Coupenotte dans ses bras et s’apprêta à retourner vers son frère quand le jeune homme lui adressa la parole... pour l'inviter à danser. Elle bugua un instant. Personne ne l'avait jamais invitée à danser de sa vie, et sûrement pas quelqu'un qu'elle venait à peine de rencontrer. Pourtant, c'était bien ce qui se passait.
« Euh... je... »
Ne sachant pas quoi répondre, il fallut que son frère, qui s'était approché, lui donne un petit coup dans le dos pour qu'elle s'avance vers le garçon. Elle retourna la tête, lui lançant un regard furieux, ce à quoi Théodore répondit par un clin d’œil. Au même moment, Symphonie descendit des bras de sa dresseuse, l'encourageant elle aussi à accepter la proposition. Pour la deuxième fois de la soirée, elle rougit Elle reporta son attention sur le jeune homme. Bon, il allait bien falloir qu'elle lui réponde quelque chose, elle n'allait pas rester plantée là comme une plante verte.
« D'accord... Ok ! »
C'était les deux seuls mots qui étaient sortis de sa bouche. C'était une soirée dansante, non ? Elle pouvait bien danser alors. Certes, elle ne connaissait pas celui qui se trouvait en face d'elle... mais il avait en quelque sorte sauvé sa robe, contrairement au pantalon de Théodore qui était tout tâché. Elle le suivit donc sur la piste. Le fait que son Pokemon ne soit pas avec elle lui fit bizarre... elle savait néanmoins que la petite femelle l'observerait tout au long de la soirée.
« Vous... vous appelez comment ? »
Connaître le nom de son cavalier lui semblait assez important, et elle ne voulait pas laisser le silence s'installer pour l'instant. Et puis, elle se sentirait mieux si elle connaissait au moins le prénom du jeune homme. Tout ce qu'elle espérait, c'est que ses parents ne la voient pas. Ils poseraient des questions et s'imagineraient tout de suite des choses, et l'adolescente n'avait pas envie de débattre de ça avec eux.
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Ana' est au buffet, elle regarde les danseurs et surtout Charlie et Cesar, avant que son frère ne la rejoigne. Ils commencent à discuter quand la table est renversée et que Tristan sauve la robe d'Ana. Elle accepte sa proposition à aller danser (recevant au passage les encouragements du frère et de Coupenotte) et lui demande son nom. C'est tout :3
Âge du personnage : 22 ans, née un 29 septembre Métier / Études : Championne Coordinatrice de Zazambes Pseudonyme(s) : ★ Miss Anarchy, Championne coordinatrice de Zazambes
Niveau : 66 Team active : ★
★ Bob - Bizarre - Sans Limite
★ Lance-Soleil
★ Tarja - Modeste - Contestation
★ Eboulement
★ Marilyn - Bizarre - Corps Gel
★ Vibrobscur
★ Janis - Discrète - Intimidation
★ Seisme
★ Lemmy - Hardi - Statik
★ Danse-Pluie
★ Floor - Naïve - Matinal
★ Ball-Ombre
Team spécifique : ★★
★ Jimmy - Discret - Essaim
★ Toxik
★ Ripper - Jovial - Brise-Moule
★ Tonnerre
★ Dio - Malpoli - Armurbastion
-
★ Li - Maligne - Force Pure
Sujet: Re: Event no°4; «I lived» Sam 3 Jan 2015 - 13:01
Je décide finalement de rester encore une peu en la compagnie de grima et Edwin. Ce serait bête de les abandonner ainsi alors qu’on pourrait parler coordination. Je ne suis pas la seule à m’enflammer, car voila que Edwin commence a s’emporter à son tour. Il nous déballe toute une flopée d’idées à la chaine. Pleins de ressource, ce garçon, me dis-je, avec un sourire un peu attendri par son comportement enfantin. Mais, quelque part, je me sens un peu inondée par son moulin à parole. A vrai dire, les gala de charité, je m’en tape pas mal. Ça n’a jamais été mon genre de me livrer à ce genre d’actes de générosité. En plus, faut pas le dire, mais je suis vraiment sur la paille, ces temps-ci, alors, même si c’est ma passion première, et que je participe au grand Festival avant tout pour progresser et m’éclater avec mon propre art et mes propres délires, eh bien, j’avoue que je suis aussi après les concours pour gagner des sous. Eh oui, elle est dure, la vie! Mais, j’approuve Edwin avec force pour ce qui est d’un éventuel trio Bob/Ifrit/Orio, pour sûr, ça botterait des culs de badassitude!
Son discours fut interrompu par sa Germignon qui réclamait de l’attention, et pour cause, elle se préparait à livrer une petite performance, j’observais d’un œil un peu distrait, car en même temps, Janis semblait s’agiter, et chercher quelque chose, se hissant vers la gauche et la droite. Je compris vite de quoi il retournait quand je m’aperçus que Joan avait disparu… La panique monta en moi et j’approuvais avec embarras quand Edwin félicita et nous vanta les mérites de Jenny. Zut, j’avais presque rien vu… Ou est-ce que cette andouille de Charpenti a pu passer?! Je sais qu’elle n’est encore qu’un bébé, mais j’ai peur qu’elle se perde, qu’elle tombe sur une mamie gaga des Charpenti qui la kidnappe et… Oh, non, je ne pourrais jamais la revoir!
« Edwin, Grima, j’suis désolée… euh… je… J’crois que Joan s’est barrée je sais pas ou… Merde… Joan! Joaaaaan! Sorry, on parlera plus tard, je dois aller la retrouver! »
Janis sur mon épaule tente de me calmer, mais voila que je me mets à crier comme une idiote sous le coup de la surprise quand un Dimoret se ramène a plat ventre sur le buffet, avec une charmante procession de verres cassés et de bouffe gâchée qui recouvre son visage. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais je suis trop sur les nerfs pour contrôler quoique ce soit. « YO WHAT THE FUUUUCK, MAN?! SURVEILLES TON RATON! »
Dis-je en m’adressant à celui qui semble être le dresseur, et qui vient s’excuser de manière copieuse. Je ne le reconnais pas sur le coup, je ne vois qu’un guignol avec un chapeau de papa nowel complètement ridicule, de toute façon, là, je suis trop sur les nerfs … Mais, heureusement, avant que je pète d’avantage mon câble, j’aperçois alors ma Charpenti, qui a du revenir, attirée qu’elle a dû être par le dawa. Elle accourt vers le Dimoret à l’air piteux et peu fier de lui. Je me dirige vers elle et lui tend les bras en hélant son nom d’un air soulagé et un peu larmoyant, mais Joan m’ignore royalement. On dirait qu’elle est totalement captivée par l’élégant Pokémon ténèbres couvert d’alcool et de toasts apéro… Oh. On dirait qu’il lui a tapé dans l’œil. J’existe plus. Janis peste près de mon oreille. Oui, je sais, elle est incorrigible, l’autre jour, elle est tombée amoureuse de Monstro, le Pandarbare de Soltan, puis de Nestor, son Megapagos. Et maintenant, un Dimoret?! Bon, elle est petite, je peux pas lui en vouloir, et puis c’est tellement mignon, quand elle est dans cet état. Confuse, je jette un œil vers le dresseur du Dimoret, et blanchit instantanément en reconnaissant Mephisto, le conseiller Tenèbres de la ligue d’Enola. Oh, merde… j’ai pas envie d’avoir des ennuis ce soir, moi! Le mieux serait peut-être de filer à l’anglaise. Je m’approche de Joan et tente de la prendre dans mes bras pour aller me balader ailleurs, mais elle refuse et court se réfugier derrière le Dimoret. Oh, punaise, Joan, tu m’aides pas, là…
★
LIS MOIIIII:
Euh... J'espère que je monopolise pas trop avec ce post ^^"
Alors que Riku écoute d'un air attendri les propos de Edwin, elle se rend compte que sa Charpenti a disparu, et commence à paniquer de l'avoir perdue. Elle s'excuse auprès de Edwin et Winter et s’apprête à aller chercher Joan, mais le Dimoret de Faust dégringole alors sur la table, et son intervention inopinée surprend et agace Riku qui se met à engueuler Faust.
Elle retrouver finalement sa Charpenti plus loin, qui est allé voir le Dimoret de Faust. Quand elle reconnait ce dernier, elle a honte de ses propos, et se prépare à emmener Joan avec elle dans un autre coin. Mais Dimoret à tapé dans l’œil de la Charpenti, et elle ne veut plus s'en aller. Du coup, Riku est coincée et confuse