La plus grande étendue d'eau de l'île. Spectaculaire et magnifique, il vous faudra traverser la grande jungle d'Anula pour gagner d'admirer ce splendide panorama. Du midi au début de soirée, le lac est totalement exposé et son turquoise brille au soleil. Les températures restent agréables pendant ce laps de temps, bien qu'un peu humides. La baignade n'est autorisée qu'a des endroits très définis du lac, et sévèrement réglementé. Le reste du lac est pour une bonne partie réservé au développement de la faune et de la flore.

Se jetant dans son grand frère le Lac d'Anula, la rivière Tulus est l'itinéraire le plus simple pour rejoindre ce dernier. Mais ce n'est pas le chemin le moins risqué pour autant. Trouvant sa source dans un ruisseau situé haut dans les montagnes qui surplombent la ville, le courant et le lit du petit Tulus s'est élargi. Si vous vous risquez sur ses rives escarpées, vous aurez l'honneur de l'admirer se jeter dans le lac sous la forme d'une chute d'eau.

La faune et la flore très riche de cette région n'a pas tardé à attirer les scientifiques en ces lieux. Néanmoins soucieux de ne pas interférer négativement dans la vie de l'écosystème, le récent centre de recherche a tenu compte de cela. Les murs extérieurs de la grande battisse sont faits de verre transparents et réfléchissants, aux couleurs de l'environnement. Il se fonde dans le décor et utilise exclusivement les énergies renouvelables pour son alimentation électrique. Plusieurs laboratoires sont disponibles pour les chercheurs, mais il s'agit surtout d'un lieu d'observation.

Paraît-il que ces marécages, contrairement à ceux de la région humides, sont toxiques. Ce n'est qu'une rumeur cependant, mais le brouillard pourpre, ajouté leur apparence mauve et même noire par endroits, parfois parsemés de bulles inquiétantes a donné à ces lieux leur nom. Oh, et on dit que la cabane abandonnée du coin est habitée par une sorcière... Vraiment?